Enigme 20 : expansion et trou noir

- Sceptique : le modèle standard indique que "l'expansion de l'Univers est en accélération" de plus en plus forte. A-t-il raison ?

- C'est encore et toujours négliger la notion de dualité de localité ! Je dirais plutôt en première analyse : "La Bulle-Univers locale est en expansion accélérée ce qui laisse entendre que la partie non locale décélère".  En seconde analyse, comment comprendre cette accélération sans ne rien connaître des causes de l'expansion ?

- Sceptique : comment expliquer cette accélération de l'accélération (dx / dt³) ? 

- Les couches en avance sont celles qui ont cumulées 5 incréments de mitose, chacun à vitesse c (donc 5c) ! Les couches les plus en retard, sont celles dont le vecteur vitesse du premier incrément était à 90° de l'axe radial. Elles ont ainsi une vitesse d'origine nulle. A cette échelle, l'entité élémentaire est le BEC-fils. Or – via le couplage avec la matière – les BEC-fils ont mutuellement une force de liaison qui les maintient enchevêtrés. Cette force vient s'opposer à celle du déchevêtrement dû aux vitesses différentielles. Ainsi les couches en retard, attirées par celles en avance, accélèrent. L'attracteur est la vitesse moyenne (elle-même en décélération sous l'action de la gravitation). Comme pour un élastique, cela crée un effet retard qui se rattrape en accélérant.

- Sceptique :  le modèle standard indique que le ratio de la mystérieuse "énergie noire" est de : 68,3% et que les 32,7% restant relèvent de la somme :  matière noire + matière visible. Le ratio est de 2,15 !

- La clé est dans le modèle en couches de vitesse. Notre horizon cosmologique se situe entre les couches d'expansion : 0 et 0,51 c.  En première approximation, c'est la vitesse moyenne de 2,5 c qui accélère ensemble, notre couche  (v = 0.51 c) et les couches antérieures (< 0,51 c).  Il existe un effet retard (de type élastique) que confirme la mesure de l'accélération de l'accélération. En première approximation le taux d'effet retard peut-être calculé comme suit : 𝜏 = 1 – v  / 2,5 c = 0,8.  Ainsi on obtient le différentiel de vitesse qui est cause de l'accélération :  𝛥v = 2,5 c – v 𝜏 = 2,1 c.   Le potentiel de l'énergie cinétique est fonction de 𝛥v² / 2 = 2,20 ! Comme le potentiel d'énergie de masse est de type : c² = 1, ce ratio est proche des mesures du satellite Planck : 68,3 / 32,7 = 2,15.  En réalité, la vitesse moyenne actuelle est légèrement plus faible que 2,5 c puisqu'elle a ralenti sous l'effet de la gravitation. L'accord avec le satellite Planck se précise si la vitesse moyenne actuelle est ramenée à 2,48 c.      

- Sceptique : au delà des étoiles à neutrons pour lesquelles le modèle standard indique que la limite incompressible est le noyau du neutron, ce modèle se perd en conjecture pour expliquer le cœur des trous noirs.

- Même s'agissant de l'étoile à neutron, il y a erreur car la limite d'incompressibilité n'est pas le neutron ! Le modèle en grappe disparaît pour faire place au modèle en couches où la limite est l'intervalle de Planck !  Il faut voir ceci.         


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