Enigme 49 : localité et stabilité
Voir : sommaire des énigmes , les cinq clés de la physique fondamentale et l'éclaté du modèle Oscar.
- Sceptique : pourquoi le modèle standard élude-t-il ce qui est pourtant avéré : il n'existe que deux particules stables à l'état libre : le proton et l'électron. Que dit le modèle Oscar à ce sujet ?
- Épistémologiquement la méthode a été de classer les particules en fonction de leurs comportements locaux. Au sujet de la localité, on a confondu deux choses : a) la validité de la localité pour toutes les localités (vrai) ; b) la validité des expériences locales étendue à la "non localité" (faux). Sur la base de cet amalgame, PAULI a cru à l'universalité de l'expérimentation locale.
- Sceptique : pourquoi des guillemets à "non localité" ?
- Parce que c'est un abus de langage ! Le principe universel et intangible de dualité symétrique, doit en tout rigueur s'appliquer à la localité selon ces termes : localité restreinte & localité élargie. En effet, le terme de non localité impliquerait une action instantanée qui induirait elle-même des termes d'infini, de zéro absolu et de monisme ! Or tout cela est impossible en physique. Il existe donc également une dualité des zéros : a) le zéro absolu mathématique dont la validité ne concerne que les nombres ; b) le zéro relatif physique qui résulte de la somme de deux éléments causalement reliés et opposés !
- Sceptique : on en vient donc au ℬody subquantique, comportant deux pôles opposés qui s'annulent ?
- Oui car la dualité : quantique - subquantique, est cohérente avec la dualité de localité. Cela conduit à la dualité de vitesses causales : a) la vitesse c quantique ; b) la vitesse c° des ℬodys subquantiques synchronisés qui contrôle c. Cela est confirmé par la causalité élargie des spins intriqués (voir les expériences réalisées par ASPECT).
- Sceptique : il y a donc une non prise de conscience du principe universel de dualité et notamment celle propre à la localité.
- En niant la dualité de localité concernant la création de particules, on a posé à tort comme étant universelle, la dichotomie entre fermion et boson. Celle-ci n'est vraie que lors de création locale. Une clé essentielle de la dualité est le principe universel de symétrie chirale. De ce fait on a pas vu l'importance de la paire électron-positron ! Il est vrai que le positron visible n'est pas stable comme son alter ego l'électron. Mais son confinement ne l'empêche pas d'être stable.
- Sceptique : on peut comprendre cette difficulté puisque le positron n'apparaît pas comme symétrique à l'électron puisqu'il est toujours observé comme étant instable à l'état libre.
- En effet l'apparence est trompeuse mais elle contredit le principe intangible de symétrie. Si l'on avait mis en avant la dualité {stable-instable} comme il se doit, on aurait vu à quel point il est naïf de classer l'électron dans la même famille que le muon ou le tauon qui eux, sont instables. Encore une fois, l'électron est la seule et unique particule élémentaire à l'état libre qui soit stable ! Ce fait est totalement éludé tellement on voudrait croire (sic) à la stabilité des quarks ! Non les quarks sont instables à l'état libre car ils sont induits dans le confinement des baryons. De plus on a montré que la paire électron-positron est issue d'une paire de pôles d'un ℬody qui lui aussi est géré par la loi universelle : ℳ.ℒ = Cte .
- Sceptique : alors pourquoi le positron stable serait-il toujours confiné dans le proton ?
- La structure d'un neutron est faite d'un grande partie neutre, composée de paires électrons-positrons et d'une paire célibataire. Le hasard initial a placé l'onde positron à l'intérieur de l'onde électron de telle sorte que seul ce dernier a le pouvoir d'émerger. Cela se vérifie car la charge électrique du proton est bien celle d'un positron célibataire.
- Sceptique : le positron ne peut jamais sortir de son confinement alors pourquoi observe-t-on des positrons dans certaines réactions ?
- Dans ces types de réaction, il s'agit de création locale (dans le confinement de l'atome) d'une paire électron-positron. La paire est donc instable. On a vu comment s'opère l'annihilation d'un positronium entre le positron émis et un électron environnant, réputé stable. Ici c'est l'effet tunnel qui opère (via le tissu subquantique) pour échanger (commuter) le statut de l'électron conservé dans le confinement de l'atome et l'électron quelconque extérieur. En quelque sorte il y a échange du statut de stabilité.
- Sceptique : l'électron est issu du changement de localité d'un pôle de ℬody mais qu'en est-il de la cause de l'existence du proton, seule particule composite stable à l'état libre ?
- On a vu que la mitose fractale du BEC-fossile avait eu lieu à partir de deux causes différentes : a) l'anisotropie des intervalles élémentaires de facteur 𝜉² ; b) le déclencheur qu'a été le facteur d'annihilation quasi générale, 𝛼². Les deux facteurs ont la même conséquence : élargir les intervalles ! Les 6 incréments de mitose liée à 𝛼² soit (𝛼²)⁶, doivent correspondre strictement à 𝜉² ! Comme ces ratios sont indépendants, il aura fallu une variable d'ajustement qui n'est autre que le nombre brut de paires électron-positrons soit 1835,26. En fusionnant selon la règle ℳ.ℒ = Cte, la fusion (concentration), augmente d'autant, (par symétrie), la valeur de l'intervalle élémentaire pour ajuster les deux paramètres de mitose. Toutes les autres particules sont instables et le modèle explique leurs causes à caractère local mais avec l'intervention d'un processus global informatif.
- Épistémologiquement la méthode a été de classer les particules en fonction de leurs comportements locaux. Au sujet de la localité, on a confondu deux choses : a) la validité de la localité pour toutes les localités (vrai) ; b) la validité des expériences locales étendue à la "non localité" (faux). Sur la base de cet amalgame, PAULI a cru à l'universalité de l'expérimentation locale.
- Sceptique : pourquoi des guillemets à "non localité" ?
- Parce que c'est un abus de langage ! Le principe universel et intangible de dualité symétrique, doit en tout rigueur s'appliquer à la localité selon ces termes : localité restreinte & localité élargie. En effet, le terme de non localité impliquerait une action instantanée qui induirait elle-même des termes d'infini, de zéro absolu et de monisme ! Or tout cela est impossible en physique. Il existe donc également une dualité des zéros : a) le zéro absolu mathématique dont la validité ne concerne que les nombres ; b) le zéro relatif physique qui résulte de la somme de deux éléments causalement reliés et opposés !
- Sceptique : on en vient donc au ℬody subquantique, comportant deux pôles opposés qui s'annulent ?
- Oui car la dualité : quantique - subquantique, est cohérente avec la dualité de localité. Cela conduit à la dualité de vitesses causales : a) la vitesse c quantique ; b) la vitesse c° des ℬodys subquantiques synchronisés qui contrôle c. Cela est confirmé par la causalité élargie des spins intriqués (voir les expériences réalisées par ASPECT).
- Sceptique : il y a donc une non prise de conscience du principe universel de dualité et notamment celle propre à la localité.
- En niant la dualité de localité concernant la création de particules, on a posé à tort comme étant universelle, la dichotomie entre fermion et boson. Celle-ci n'est vraie que lors de création locale. Une clé essentielle de la dualité est le principe universel de symétrie chirale. De ce fait on a pas vu l'importance de la paire électron-positron ! Il est vrai que le positron visible n'est pas stable comme son alter ego l'électron. Mais son confinement ne l'empêche pas d'être stable.
- Sceptique : on peut comprendre cette difficulté puisque le positron n'apparaît pas comme symétrique à l'électron puisqu'il est toujours observé comme étant instable à l'état libre.
- En effet l'apparence est trompeuse mais elle contredit le principe intangible de symétrie. Si l'on avait mis en avant la dualité {stable-instable} comme il se doit, on aurait vu à quel point il est naïf de classer l'électron dans la même famille que le muon ou le tauon qui eux, sont instables. Encore une fois, l'électron est la seule et unique particule élémentaire à l'état libre qui soit stable ! Ce fait est totalement éludé tellement on voudrait croire (sic) à la stabilité des quarks ! Non les quarks sont instables à l'état libre car ils sont induits dans le confinement des baryons. De plus on a montré que la paire électron-positron est issue d'une paire de pôles d'un ℬody qui lui aussi est géré par la loi universelle : ℳ.ℒ = Cte .
- Sceptique : alors pourquoi le positron stable serait-il toujours confiné dans le proton ?
- La structure d'un neutron est faite d'un grande partie neutre, composée de paires électrons-positrons et d'une paire célibataire. Le hasard initial a placé l'onde positron à l'intérieur de l'onde électron de telle sorte que seul ce dernier a le pouvoir d'émerger. Cela se vérifie car la charge électrique du proton est bien celle d'un positron célibataire.
- Sceptique : le positron ne peut jamais sortir de son confinement alors pourquoi observe-t-on des positrons dans certaines réactions ?
- Dans ces types de réaction, il s'agit de création locale (dans le confinement de l'atome) d'une paire électron-positron. La paire est donc instable. On a vu comment s'opère l'annihilation d'un positronium entre le positron émis et un électron environnant, réputé stable. Ici c'est l'effet tunnel qui opère (via le tissu subquantique) pour échanger (commuter) le statut de l'électron conservé dans le confinement de l'atome et l'électron quelconque extérieur. En quelque sorte il y a échange du statut de stabilité.
- Sceptique : l'électron est issu du changement de localité d'un pôle de ℬody mais qu'en est-il de la cause de l'existence du proton, seule particule composite stable à l'état libre ?
- On a vu que la mitose fractale du BEC-fossile avait eu lieu à partir de deux causes différentes : a) l'anisotropie des intervalles élémentaires de facteur 𝜉² ; b) le déclencheur qu'a été le facteur d'annihilation quasi générale, 𝛼². Les deux facteurs ont la même conséquence : élargir les intervalles ! Les 6 incréments de mitose liée à 𝛼² soit (𝛼²)⁶, doivent correspondre strictement à 𝜉² ! Comme ces ratios sont indépendants, il aura fallu une variable d'ajustement qui n'est autre que le nombre brut de paires électron-positrons soit 1835,26. En fusionnant selon la règle ℳ.ℒ = Cte, la fusion (concentration), augmente d'autant, (par symétrie), la valeur de l'intervalle élémentaire pour ajuster les deux paramètres de mitose. Toutes les autres particules sont instables et le modèle explique leurs causes à caractère local mais avec l'intervention d'un processus global informatif.
Les mots hérités du moyen âge qui bloquent la compréhension : a) création → la magie naïve de de l'absolu ; b) le zéro mathématique appliqué à tort à la physique ! ; c) le monisme en matière de localité ; d) le grave amalgame suivant : l'équivalence entre toutes les localités (vrai) et l'équivalence entre une quelconque localité et la non localité globale (faux). Est-ce si difficile à comprendre ?
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