Enigme 54 : onde de Kotov

Voir  : sommaire des énigmes , les cinq clés de la physique fondamentale  et l'éclaté du modèle Oscar.



- Sceptique : dans le dernier billet vous indiquez que le nombre des énigmes évolue en fonction des questions complémentaires que l'on peut être amené à se poser au fil du temps.  Donc ce document de 2004 issu du Collège de France, relate une énigme supplémentaire. Il s'agit d'une onde cosmique inexpliquée de période ~ 9600 secondes (160 minutes) qui touche  des dizaines d'étoiles dont le soleil. Est-ce que le modèle Oscar a une idée de cette onde mystérieuse, relative à l'échelle des étoiles ? 

- Tout d'abord, il faut bien voir que les étoiles visées par ces observations, ont des tailles et masses différentes.  Mais le modèle Oscar indique qu'elles occupent chacune  le centre d'un BEC qui lui, a des paramètres physiques invariants. La période brute d'un BEC est de 150 000 années alors que la période brute relative au rayon interne (Rstar) est de l'ordre de 30 secondes. Il y a donc un facteur d'environ 311,9 avec la période mesurée de Kotov.  Le tableau joint, montre d'abord que la période brute se recoupe précisément selon deux méthodes différentes.  Ensuite il indique le coefficient permettant d'adapter cette période brute à celle de Kotov. 

- Sceptique : comment peut-on expliquer ce coefficient multiplicateur (311,90) qui fait passer de la période brute à celle de Kotov ?

- Le modèle Oscar indique que certains paramètres mesurables sont ceux qui régnaient lors de la mitose du BEC-fossile après l'annihilation de taux 𝛼 . A ce stade, chaque galaxie comportait exactement 𝜉 BEC-étoiles ! C'est cette influence qui augmente la masse interne et donc allonge son amplitude globale d'autant selon la loi ℳ.ℒ = Cte. Comme pour l'extraction des bosons vecteurs, l'influence subquantique des autres étoiles-BECs – via les protons au niveau quantique mesurable – agit selon √(𝜉/𝛼).  

- Sceptique : la dernière relation du tableau fait ressortir l'intervalle élémentaire tangentiel qui à déclenché la fusion généralisée et donc masquage des charge → annihilation → déclenchement mitose.

- Cet intervalle est confirmé par cette relation qui indique 𝜉⁴ intervalles tangentiels alors que radialement il n'y en a que 𝜉³. Cela confirme cette anisotropie comme la cause du Big-Bang sous forme de saturation-mitose. On voit que la précision de la constante G = 6,67242081502×10⁻¹¹, est générée par les différentes puissances de la constante 𝜉 = 1,54581978898386×10¹¹  qui est largement confirmée à la hauteur de 14 chiffres significatifs.
    

          

Commentaires

  1. Si dans la dernière relation, on pose dans la racine 5eme : xi^6, en lieu et place de xi, on trouve la longueur de Planck.

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  2. Le paradoxe du modèle OSCAR est qu'il évoque deux états d'univers qui apparaissent contradictoires à première vue : a) il s'appuie sur une mitose (Big-Bang) caractérisée par une variation des paramètres ; b) la persistance mesurable des paramètres constants primordiaux. Il indique également qu'il existe un état d'univers potentiel, permanent et stochastique qui débouche sur une Bulle-Univers, dotée d'une période (limitée). Et enfin, il indique que le centre des galaxies produisent de la matière par imitation (en bien plus faible) de la saturation primordiale du BEC-fossile et du changement de localité qui en découle.

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  3. Bonjour Mr Mareau,
    1. Tous ceux qui affirment que l'univers est en expansion sous entendent implicitement que notre bulle univers s'agrandit dans quelque chose qui lui est, non pas plus grand, mais différent. Ils ne peuvent donc que reconnaitre que le modèle OSCAR est une option très crédible: deux états d'univers coexistent, celui de la bulle univers (dont la localité est étendue, en augmentation de taille mais seulement vu de l'intérieur, une entropie très limitée qui suppose une "organisation") et un autre état plus difficile à appréhender par l'esprit humain (entropie maximale d'une infinité de zéros relatifs, meilleure approche possible du néant physique... le zéro absolu étant tout aussi physiquement impossible qu'un paramètre physique infini).

    2. La théorie du tout est un Graal pour certains, persuadés que l'unification de la physique quantique et de la physique "macro" permettra enfin de répondre à tout ! Si une discontinuité entre les deux physiques est très fortement improbable, je doute que cette unification soit suffisante à l'esprit humain (cf point 3). D'ailleurs, le modèle OSCAR répond parfaitement au critère d'unification de ces deux physiques, non pas en les réunissant, mais en montrant qu'il s'agit de la même physique, issue des mêmes causes, l'infiniment grand et l'infiniment petit étant clairement reliés (à Xi au cube près !).

    3. Je ne sais pas comment rédiger ce 3ième commentaire car il semble opposer deux parties de la population: celle des analytiques ou scientifiques qui cherchent à comprendre et celle des croyants (de toute religion) qui s'en remettent à quelque chose de supérieur. Les deux sont-ils si incompatibles? Le modèle OSCAR nous montre combien à la (les) dualité(s) est(sont) omniprésente(s) partout, à toutes les échelles. La véritable unification ne serait-elle pas celle là? (unification des réponses pour unifier les hommes...).

    4. Cependant, si la dualité est omniprésente, partout à toute les échelles, alors le terme ou le but "unification" est un voeu pieu ! Car ce n'est pas l'un ou l'autre, mais les deux à la fois et cela ne veut pas dire unifier. Si l'un disparait, l'autre aussi. Et si on arrive à les réunir, c'est qu'il existe autre chose d'une manière duale.

    5. Pourquoi toutes ces questionnements/commentaires ?
    Le modèle OSCAR répond remarquablement bien à la physique de l'univers (et de sa bulle !). Il nous donne même de très sérieuses explications sur l'apparition de la vie (très schématiquement matière spécifique organisée) et de son évolution. Mais il subsiste le questionnement "supérieur" qu'est celui de la conscience. Quelle est sa nature ? d'où vient-elle? quel est son but?
    On constate que la conscience à permis à l'homme d'arriver à de très belles choses, mais que l'aspect matérialiste l'a apparemment emporté sur autre chose.
    Encore un déni de dualité, en plus de celui de localité?

    Bon dimanche.

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  4. Merci pour ce long commentaire enthousiaste ! Le cheminement vers la conscience part de la dualité apportée par la peau. Dehors c'est l'entropie de désordre alors que dedans c'est la lutte pour conserver sa synchronisation.

    Ensuite il y a l'instinct de survie (une mouche évite la main) c'est la peur de mourir ! La dualité proie-prédateur nécessite un état de conscience.

    Je me sens plus à l'aise avec les clés physiques de l'univers et mon prochain billet sera dévolu à expliquer en détail l'amalgame que l'on a historiquement fait entre : a) l'équivalence avérée entre toutes les localités ; b) la non localité ou plutôt la brisure de localité primordiale qui passe d'une localité élargie (Bodys) à une localité restreinte sous forme de paires non appariées d'électron-positrons. Cet amalgame est lourd de conséquences !

    La clé est que l'on vérifie que toute création locale est instable alors que toute création non locale est stable.

    Au début du siècle dernier, on a fait ce grave amalgame en ne réalisant pas que la dichotomie boson-fermion est juste une exception locale ! Ainsi sur ces bases fausses, FERMI et PAULI ont rejeté l'idée d'un proton fait de paires électron-positron.

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  5. J'ai modifié une coquille survenue dans la dernière formule t^2 au lieu de t^4.

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