Enigme 67 : Comment le temps découle de ℳ.ℒ

Voir : sommaire des énigmes , les cinq clés de la physique fondamentale  et l'éclaté du modèle Oscar.

- Sceptique : Je suppose qu'il s'agit du temps élémentaire et universel, porté par l'électron ex-pôle négatif de ℬody ?

- Oui et le raisonnement est le suivant : la physique fondamentale est bâtie avec 3 unités arbitraires (kg, mètre, seconde) que le système MKSA a su harmoniser au mieux. Cependant, le caractère arbitraire de ces trois unités, masque certains liens intéressants dans l'électron, hérité du pôle négatif d'un ℬody .  Ici nous ne regarderons pas les facteurs d'intégration géométrique tels que 2 ou 𝜋. En revanche il faut se rappeler que la constante ℳ.ℒ est fixée au croisement médian de l'amplitude. Quand ℳ est à mi-intensité à mi-chemin montant, le reste à parcourir ℒ est également à sa demi valeur. D'où la valeur constante du produit.


- Sceptique : mais l'idée de réduire le nombre d'unités arbitraires n'est pas nouvelle ?   

- En effet mais jusqu'à présent on a juste cherché à normaliser telle ou telle constante comme par exemple c. Mais ce qui est proposé ici, est d'utiliser non pas une astuce de normalisation mais les fondements du fonctionnement de l'électron ex-ℬody. De par le produit constant ℳ.ℒ , l'unité kg et l'unité mètre se confondent en une seule unité arbitraire.  Comme ℳ est le miroir de ℒ et réciproquement, la racine carrée confère la même valeur numérique à ces deux entités miroirs et élémentaires. Le tableau montre que la charge électrique est équivalente à ℳ ou ℒ . 

- Sceptique : mais de manière standard, si la charge e² est bien proportionnée à ℳ.ℒ comment justifier l'élimination de 10⁻⁷ ? 

- le coefficient 10⁻⁷ est juste là pour convertir les anciens cm et les grammes. Le facteur 𝛼 stipule le ratio d'annihilation qui a agrandi l'intervalle élémentaire. Avant cela – sur le BEC-fossile – l'égalité entre E = m c² et l'énergie électrique, était égale sans 𝛼. Mais la contrainte importante est de  vérifier  que  i = e / tₑ soit unitaire.        
- Sceptique : pourquoi ? 

- Dans le fonctionnement du ℬody comme celui de l'électron, on peut comparer la charge e et la période te. Physiquement parlant, il n'existe qu'une seule charge durant le déroulement de la période d'un cycle ! Cela veut dire que le courant  i = e / tₑ ne peut-être qu'unitaire. Contrairement à ce qui a pu se faire, ce n'est pas un choix arbitraire mais juste l'exploitation d'une réalité physique. Ainsi le tableau montre que l'on peut réduire M,L,T,Q à une seule unité arbitraire.     

- Sceptique : Cela revient à considérer la charge équivalente à un espace 1D ?    

- Dans chaque pôle de ℬody, le produit des deux charges contraires et opposées garantissent la non séparation des pôles pour raison de symétrie donc de conservation du zéro physique. Il convient donc qu'elle soit de même intensité que le produit ℳ.ℒ . Il en est de même pour la période car elle dépend elle aussi, de ℳ.ℒ.  Oui l'analogie e ↔ ℒ avec la mécanique est possible même si la traduction de l'inertie ℳ (scalaire) ne convient pas au paramètre induction qui lui correspond. Cependant, l'inséparabilité de ℳ.ℒ autorise de porter le côté non scalaire par l'orientation des ℒ et ℒ' dans les 2 pôles opposés. Cette harmonie n'est rendue possible qu'en considérant l'électron comme entité élémentaire. 

Le modèle standard – à cause de sa non prise en compte de la dualité de localité – porte la lourde charge d'assumer une asymétrie inconcevable de la matière. Il signe cela en plaçant l'électron comme une vulgaire autre particule alors qu'elle est la seule à être à la fois élémentaire, libre et stable. En conséquence, il porte le poids de plus de 60 énigmes qu'il n'ose même pas recenser.