Enigme 73 : une révision de la loi Koide-Mareau dévoile le neutrino !

Voir  : sommaire des énigmes , les cinq clés de la physique fondamentale, l'éclaté du modèle Oscar, la dualité du zéro.
Ratios universels : 𝛼 = f(𝜉). série 𝜉ⁿ, n =1 à 5 :  lP ƛo ƛₑ PZ RBEC
 𝜉 = 1,54 ×10¹¹ ; 𝜉² = mPlanck  / mélectron ; 𝜉³=RBEC / ƛₑ ; 𝜉 = EM / EG ; 𝜉 =RBEC/lP

C'est l'anisotropie (tangentielle / radiale)  du BEC-fossile  𝜉 / 𝜉³ = 𝜉 qui déclenche la mitose-expansion.
  
- Sceptique : le tableau présente une modification sur la masse (en unité électron nu), du neutron soit 1844 remplaçant 1842. Cela améliore-t-il la compréhension du neutrino ?

- Oui et ce billet signe un tournant important dans le modèle Oscar. Le modèle standard considère comme possible que le neutrino électronique soit sous la forme Majorana, i.e qu'il soit sa propre antiparticule. Or le tableau montre clairement que si le neutron contient une "réserve" d'une paire électron-positron célibataire supplémentaire, cela améliore encore la cohésion entre particules de genres différents.  Cela explique alors clairement pourquoi il éjecte un neutrino ! Sa forme dipolaire en fait un ody quantique qui – à l'image du ody subquantique – possède deux pôles contraires qui s'annulent.   

- Sceptique : mais le fait qu'il "oscille" en d'autres "saveurs" de neutrino, prouve qu'il a une masse !  Alors qu'est-ce qu'il ne colle pas ?    

- On a vu que si le ody subquantique est perturbé, son asymétrie d'amplitude est compensée par l'émission d'une masse. C'est toujours la même règle : ℳ.ℒ = Cte.  C'est exactement la même chose avec le neutrino : s'il est non perturbé, alors sa masse est annulée et il file à la vitesse de la lumière ; en revanche, s'il est perturbé à un niveau qui coïncide avec par exemple le muon, alors il devient neutrino muonique. 

- Sceptique : comment les neutrinos (muonique et tauique) font pour avoir deux pôles opposés pour osciller comme un  ody quantique composite ?

- Il suffit de voir que la partie neutre d'un muon (206-2) peut se diviser en 2 pôles  (102 +)  et (102 –) et donc former un oscillateur ody quantique composite. 


- Sceptique : via la transition par un boson W, la désintégration d'un muon c'est donc l'émission d'un électron  (ou d'un positron) + un neutrino électronique (𝜈ₑ = p+e) + la division muon neutre en 2 parties qui s'annulent mutuellement, en prenant la forme d'un neutrino (𝜈µ) de type ody ? 

- Oui mais pas forcément en 2 parties ! Par exemple pour un muon négatif, on a : (206 + 1)2 (𝜈µ)1 = 204 pôles condensés en 102  odys ! Ce qui compte c'est que le nombre initial soit pair. Le détail de la désintégration du tauon sera donné dans un prochain billet.  La résonance multiple que montre le tableau, ne peut être fortuite. En unité électron nu (entier) la résonance lie 5 particules de 4 genres différents (hadron, muon, méson, lepton). Cela prouve que la paire électron-positron est la particule élémentaire qui compose toute la matière. 

Cela résout élégamment l'ambiguïté entre le fait d'avoir une masse non nulle (oscillation) et se déplacer à la vitesse de la lumière !  

      

 
 

Commentaires

  1. Le big bang a produit des neutrinos qui sont des répliques des Bodys sub où la structure dipolaire annule les masses. Si la création d'une paire électron-positron est locale alors l'association est un positronium instable + 1 gamma. La même paire – si elle est de création non locale – est un oscillateur dipolaire stable. Par résonance de type Boltzmann k ln(N), 2 types de groupement sont possibles : muon et tauon. Chaque type peut prendre deux formes : a) la forme dipolaire groupée → neutrino sans masse* ; b) forme particulaire monopolaire avec expression des masses.

    * le zéro masse exige une symétrie parfaite de la structure oscillante dipolaire. Comme pour le Body sub, toute perturbation apporte un certain taux d'assymétrie et donc l’émergence d'une masse proportionnelle à ce taux. C'est pour cela que le neutron peut filer à vitesse c tout en ayant la possibilité d'avoir une masse lors de ses mutations. Majorana avait raison !

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  2. La dimension fractale (d) de la mitose de la Bulle-Univers dépend du ratio des logarithmes : nombre de fractales (xi^2) et log du facteur d'agrandissement (homothétie = xi) soit : d = ln(xi^2) / ln(xi) = 2.
    En effet, si la taille du body est celle de Planck = lambda / xi^2, l'intervalle = lambda /xi s'agrandit jusqu'à lambda. La preuve la vitesse de la lumière vaut c = lambda/te.

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