Enigme 81 : géométrie de l'univers

Voir  : sommaire , les cinq clés de la physique, l'éclaté du modèle, dualité du zéro.
Ratios universels : 𝛼 = f(𝜉). Série 𝜉, n =1 à 5 :  lP ƛo ƛₑ PZ RBEC.  𝜉 = 1,54 ×10¹¹ ; 𝜉² = mPlanck  / mélectron ; 𝜉³=RBEC / ƛₑ ; 𝜉 = EM / EG ; 𝜉 =RBEC/lP ; = mₑ ƛₑ²/ t
Anisotropie (tangentielle / radiale) du BEC-fossile 𝜉 / 𝜉³ = 𝜉 déclenche la mitose-expansion des oscillateurs  ℬodys
Le ℬody suit la loi de Compton : ℳ.ℒ = Cte
paradoxe existentiel né de deux interdits : = 0 ; ℳ  > 0
Point zéro ℬody selon impulsion de Dirac ∂() d = 1
Les pôles s'annulent selon l'identité d'Euler : eiπ + 1 = 0. 
L'aspect algébrique de permet la symétrie :  ℳ.ℒ' +ℳ.ℒ = 0
l'opérateur dipolaire→monopolaire révèle les pôles { }
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- Sceptique : Jean Pierre Luminet propose une forme d'univers de type dodécaédrique pour définir une topologie finie mais sans frontière ni bord. Mais le modèle de concordance ne penche-t-il pas pour un univers "plat" ? 

- Les dernières données du satellite WMAP favorisent plutôt un univers fermé. Par ailleurs, un univers sans courbure positive appelle des notions d'infini qui sont incompatibles avec la physique. Le modèle Oscar montre par plusieurs voies que la gravitation arrête l'expansion dans un temps fini.

- Sceptique : alors le modèle dodécaédrique de M. Luminet serait compatible avec le modèle Oscar ?

- Il est compatible au moins sur la finitude et la multiconnexité. Le modèle standard pariant au contraire, sur un univers simplement connexe et plat. La multi-connexité sphérique est compatible avec les BECs-fils enchevêtrés qui structurent l'univers.  

- Sceptique : alors quelles sont vos divergences avec le modèle de M. Luminet ?

- La première tient dans le fait que la topologie Oscar découle directement du processus complétement expliqué (pas seulement décrit) alors que le modèle dodécaédrique relève juste d'une interprétation de l'observation. Il n'est pas corrélé à l'ensemble des énigmes résolues. La seconde divergence est marquée par le fait que le modèle Oscar  assume totalement la notion de bordure. Ce sont les BECs périphériques qui assurent cette fonction. Ces BECs sont eux-mêmes des couches d'oscillateurs ℬodys qui contrôlent parfaitement leur amplitude maximale. Au-delà de cette frontière, règne le monde stochastique où la multiconnexité est poussée à l'infini. L'univers n'est pas moniste et il faut bien distinguer l'état "matrice stochastique" contenant l'état "Bulle Univers". Du coup le problème du bord disparaît car les BECs périphériques jouent naturellement ce rôle.
   
- Sceptique : mais la notion d'infini n'est-elle pas impossible en physique ?

- Elle est valide quand il s'agit de nombre d'éléments ayant zéro paramètres physiques ! C'est le cas des oscillateurs ℬodys stochastiques. La courbure générale de la Bulle-Univers est ainsi générée par la somme des courbures particulières des BECs.   

- Sceptique : le taux 𝜉 fixe le nombre de galaxies, soit 154 milliards qui contiennent (à l'origine) chacune 𝜉 étoiles. Les grands vides sont apparus par l'annihilation. Cela fait 3 niveaux de structure mais comment sont fixés les deux autres,  amas et superamas ?

- La configuration en filaments, favorise les nœuds. Il y a également les collisions multiples qui tendent à créer des regroupement.   

- Sceptique : et les grands vides cerclés par les filaments de galaxies, ne seraient pas liées au "+1" de "5+1" ? 

- Oui et il faut tenir compte de l'évolution provoquée par l'expansion. Mais on retrouve assez bien le ratio de l'annihilation (𝛼 ~ 137) entre le diamètre de ces vides (Rvide = 0,25 Gyl) et l'épaisseur moyenne des filaments de galaxie (x ~ 2 Myl). Ces filaments ne sont pas des concentrations mais juste les rescapés de la grande annihilation primordiale.  

- Sceptique : s'agissant de l'unique et immense trou de l'éridan, les tenants du modèle standard réfutent l'idée qu'il puisse être le centre de la Bulle-Univers. Sur le site Futura, on trouve ce genre d'argument : ".... ce grand vide est certainement issu de l'une des infimes non-homogénéités des premiers temps et s'est amplifiée avec l'expansion ...". 

- Cet argument résume parfaitement l'état d'esprit des tenants du modèle standard. Ils nient le fait que la taille de ce vide est unique. Les nombreux vides cernés par les filaments de galaxies ont une taille moyenne environ 8 fois inférieure, soit 0,25 Gyl.

- Sceptique : pourquoi éluder cette taille unique puisque c'est un fait ? 

- A cause de l'amalgame fait sur le fameux principe cosmologique. On a confondu : "toutes les localités sont identiques" avec la dualité "localité/non localité". Les tenants du MS disent qu'il n'existe pas de lieu privilégié puisque qu'à partir de tous lieux, on observera la fuite des galaxies et donc l'expansion. Mais cela n'interdit pas un centre s'il a été émetteur de couches de vitesses d'expansion. Ainsi, en (presque) tous lieux non privilégiés, on observera la fuite des galaxies d'une manière (presque isotrope).

- Sceptique : pourquoi "presque" ? 

- Les dernières mesures montrent effectivement qu'il existe une légère différence sur les décalages spectraux. C'est normal car depuis notre position à v = 0.51 c, l'accélération de l'expansion évolue différemment dans l'axe éridan - Grand Attracteur. L'axe vers l'éridan montre une plus grande accélération que l'axe vers l'extérieur où l'accélération a tendance à baisser en s'approchant des couches moyennes d'expansion (2,5 c).

Les amalgames du modèle standard viennent de l'interprétation erronée du principe cosmologique. Il confond la dualité localité / non localité et l'identité de toutes les localités. 
 a) si l'univers était moniste alors bien sûr, il serait justifié de rejeter l'idée d'un centre ; 
b) la matrice permanente d'univers n'a effectivement pas de centre mais la Bulle-Univers qu'il a engendrée en synchronisant un BEC-fossile, a forcément un centre ; 
c) le gradient de vitesses d'expansion émises autour de ce centre, apporte une (presque) isotropie observationnelle pour toutes les localités qui ne sont donc pas privilégiées ; 
d) l'immense taille unique de l'éridan ne peut-être confondue avec les vides cernés par les filaments. La distance qui nous sépare de ce vide, laisse présager que sa taille réelle est largement plus grande que celle observées.


Commentaires

  1. La puissance des mathématiques (dans les domaines qui sont les siens) vient de la possibilité de de diviser les algorithmes d'un problème complexe, en petites parties plus faciles à traiter. C'est un immense succès pour les codages de tous les problèmes courants.

    En revanche cette méthode est désastreuse pour comprendre l'Univers qui est un tout indissociable. Par définition, la division est stérile car elle détruit la possibilité d'un recoupement des dizaines d'énigmes de natures différentes, mais de source unique.

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