Enigme 82 : le neutrino, un positronium NON local

Voir  : sommaire , les cinq clés de la physique, l'éclaté du modèle, dualité du zéro.
Ratios universels : 𝛼 = f(𝜉). Série 𝜉, n =1 à 5 :  lP ƛo ƛₑ PZ RBEC.  𝜉 = 1,54 ×10¹¹ ; 𝜉² = mPlanck  / mélectron ; 𝜉³=RBEC / ƛₑ ; 𝜉 = EM / EG ; 𝜉 =RBEC/lP ; = mₑ ƛₑ²/ t
Anisotropie (tangentielle / radiale) du BEC-fossile 𝜉 / 𝜉³ = 𝜉 déclenche la mitose-expansion des oscillateurs  ℬodys
Le ℬody suit la loi de Compton : ℳ.ℒ = Cte
paradoxe existentiel né de deux interdits : = 0 ; ℳ  > 0
Point zéro ℬody selon impulsion de Dirac ∂() d = 1
Les pôles s'annulent selon l'identité d'Euler : eiπ + 1 = 0. 
L'aspect algébrique de permet la symétrie :  ℳ.ℒ' +ℳ.ℒ = 0
l'opérateur dipolaire→monopolaire révèle les pôles { }
----------------------------

- Sceptique : cette étude indique en page 21 la quasi disparition de la masse du positronium {électron + positron}. Ce fait est inexpliqué et les auteurs suggèrent, pour l'expliquer, l'existence d'un univers miroir en page 20. Les auteurs citent également cette étude sur l'univers miroir N'est-ce pas ce que prévoit le modèle Oscar ?

- Oui cela vient confirmer le changement d'état universel qui annule les masses, soit : état monopolaire → état dipolaire par l'opérateur { }

- Sceptique : qu'est-ce qui différencie la création d'un positronium d'un neutrino électronique ?

- Le neutrino électronique est issu d'une paire de création non locale prélevée par exemple, au neutron. En revanche, le positronium est issu d'une création locale donc instable.

- Sceptique : en quoi consiste physiquement une création locale alors que les photons émis par annihilation, restent stables ?

- Le modèle standard se borne à décrire l'apparition d'une paire par l'équivalence (réelle) énergie-masse mais n'explique pas le processus physique de cette apparition. La réalité physique n'est pas du tout une "création" mais juste une extraction de dipôles subquantiques. Le processus est le suivant : 1) extraction avec l'opérateur dipolaire → monopolaire  { } et les masses apparaissent ; 2) liaison dipolaire au rayon de Bohr (𝛼 fois plus grand que le Compton de l'électron, ƛₑ). Le tableau montre que la force électrique et la force centrifuge s'équilibrent. Les deux monopôles mutent alors en un seul dipôle et les masses se masquent mutuellement. La force centrifuge (de type m v²/r) disparaît, laissant la force coulombienne libre de fusionner et donc annihiler la paire. C'est l'action de l'opérateur { }.

- Sceptique : à quel point cet opérateur est-il universel ?

- C'est la stricte application de la réduction de localité initiale sur le BEC-fossile. Les pôles de ℬodys, auparavant sans masse apparente, voient leur masse se révéler quand leurs pôles se séparent et deviennent autonomes. Cet opérateur de commutation  { } se retrouve à tous les niveaux. 

- Sceptique : est-ce que la durée de vie est liée à  cette commutation ?

- Oui car le taux d'accélération de la seule force coulombienne pour  une distance rapportée au rayon de Bohr, donne un temps de   2,41888×10⁻¹⁷ s  pour l'accélération 𝛶 = F/mₑ. Or ce temps est très exactement 2 𝛼³ fois plus petit que celui calculé pour la durée de vie du p-ps. Ce ratio est à attribuer au temps de commutation.        


  

Commentaires

  1. Bonjour Mr Mareau,
    Le modèle se précise un peu plus chaque jour !
    Je reviens juste sur les commentaires du post 79. "Un neutrino électronique est dipolaire, et un neutron est monopolaire". Mais cela n'est vrai que dans le périmètre quantique.
    Vous confirmez bien que pour le neutron (ou le proton), il y a bien la contrepartie perturbée subquantique et qu'on a donc monopolaire quantique mais dipolaire quantique /subquantique?

    RépondreSupprimer
  2. Bonjour LC,

    Oui l'aspect dipolaire transverse est de l'ordre du couplage perturbatif et se mesure de 3 manières : a) les particules virtuelles qui trahissent le masquage d'une partie de la masse du proton car il ne "pèse" pas 1841 unités électron mais seulement 1836,15 ; b) la dualité onde-particule qui laisse des traces d'interférence dans les fentes de Young ; c) la conservation à longue distance de l'intrication du spin.

    Il n'y a pas de purs monopôles. Les seuls dipôles parfaits sont les Bodys du BEC-fossile avant saturation.

    RépondreSupprimer

Enregistrer un commentaire

Posts les plus consultés de ce blog

L'atome Schrödinger-Oscar

La Bulle Univers est un trou noir

D'où vient la fameuse constante de structure fine = 1/137,03599.. ?