Enigme 83 : équivalence masse-énergie
Voir : sommaire , les cinq clés de la physique, l'éclaté du modèle, dualité du zéro.
Point zéro ℬody selon impulsion de Dirac ∫∂(ℳ) dℒ = 1
Les pôles s'annulent selon l'identité d'Euler : eiπ + 1 = 0.
L'aspect algébrique de ℒ permet la symétrie : ℳ.ℒ' +ℳ.ℒ = 0
l'opérateur dipolaire→monopolaire révèle les pôles {↔ ⇴ ↻}
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Ratios universels : 𝛼 = f(𝜉). Série 𝜉ⁿ, n =1 à 5 : lP → ƛo → ƛₑ → PZ → RBEC. 𝜉 = 1,54 ×10¹¹ ; 𝜉² = mPlanck / mélectron ; 𝜉³=RBEC / ƛₑ ; 𝜉⁴ = EM / EG ; 𝜉⁵ =RBEC/lP ; ℏ = mₑ ƛₑ²/ tₑ
Anisotropie (tangentielle / radiale) du BEC-fossile : 𝜉⁴ / 𝜉³ = 𝜉 déclenche la mitose-expansion des oscillateurs ℬodys
Anisotropie (tangentielle / radiale) du BEC-fossile : 𝜉⁴ / 𝜉³ = 𝜉 déclenche la mitose-expansion des oscillateurs ℬodys
Le ℬody suit la loi de Compton : ℳ.ℒ = Cte
paradoxe existentiel né de deux interdits : ℳ = 0 ; ℳ > 0 Point zéro ℬody selon impulsion de Dirac ∫∂(ℳ) dℒ = 1
Les pôles s'annulent selon l'identité d'Euler : eiπ + 1 = 0.
L'aspect algébrique de ℒ permet la symétrie : ℳ.ℒ' +ℳ.ℒ = 0
l'opérateur dipolaire→monopolaire révèle les pôles {↔ ⇴ ↻}
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- Sceptique : quand une réaction entre particule , produit n photons gamma, le modèle standard ne considère que l'équivalence masse-énergie sans se préoccuper de savoir où est passé la masse inertielle.
- En effet, le point de vue mathématique admet en toute rigueur cette équivalence – trouvée par Albert Einstein – qui permet de dire qu'une particule d'énergie E = m c² peut se transformer en un gamma : E = ℏ 𝜐. Cependant on ne cherche pas à comprendre pourquoi la masse inertielle a disparue. Mais il y a pire, car chaque que l'on inclut le phénomène de recul inertiel d'un photon, on utilise le calcul standard de l'impulsion : p = ℏ 𝜐/c qui lui est équivalent à p = m v , qui inclut bien une masse inertielle.
- Sceptique : donc la simplification apportée Monsieur Planck avec sa constante ℏ, élude deux phénomènes essentiels ; a) elle cache le fait qu'elle ne représente que les paramètres de l'électron ; b) elle permet d'éluder le problème de la masse d'un photon.
- La dualité onde-particule devrait s'appeler la dualité inertielle. On voit bien que la partie "onde" passe par où elle veut dans les fentes de Young alors qu'un photon (ou autre) détecté possède une trajectoire précise. La théorie quantique élude cela en l'abordant sous l'angle probabiliste. La réalité – bien mise en avant par le phénomène de l'intrication – relève de la dualité {quantique - subquantique} i.e, la dualité de vitesse (sub-quant). Un photon incident, possède une masse m = E / c² qui se masque quand il prend la forme d'une onde car il transite de l'état monopolaire à l'état dipolaire transverse via l'opérateur 𝕮 = {↔ ➤ ↻} .
- Sceptique : pourrait-on dire par analogie de l'aspect dipolaire d'un photon, qu'une onde sinusoïdale d'eau est alternativement un creux dans l'eau et une bosse dans l'air ?
- Oui mais il faut être prudent avec les analogies ! Prenons l'exemple d'un caillou jeté dans une eau calme : le choc de la transition air → eau, génère une onde qui se propage. Elle s'exprime à la fois dans le milieu eau et air. Mais si on perturbe l'onde, cela ne provoque une réduction du paquet d'ondes vers le choc initial. Certains voudraient interpréter l'analogie comme un renversement du temps mais c'est faux. Le couple eau-air n'a rien à voir avec le couple quantique subquantique. En revanche, dans les deux cas, il existe une usure de l'onde. Dans l'eau le son se propage à 1500 m/s alors que dans l'air, c'est 340 m/s. Le milieu subquantique n'a rien à voir avec celui d'une matière quelconque mais il est sous forme d'un condensation d'oscillateurs ℬodys.
- Sceptique : alors la réduction du paquet d'ondes électro-magnétiques se fait comment ?
- Elle transite via le niveau subquantique à la vitesse des oscillateurs ℬodys qui est 𝜉³ fois plus élevée que celle de la lumière.
- En effet, le point de vue mathématique admet en toute rigueur cette équivalence – trouvée par Albert Einstein – qui permet de dire qu'une particule d'énergie E = m c² peut se transformer en un gamma : E = ℏ 𝜐. Cependant on ne cherche pas à comprendre pourquoi la masse inertielle a disparue. Mais il y a pire, car chaque que l'on inclut le phénomène de recul inertiel d'un photon, on utilise le calcul standard de l'impulsion : p = ℏ 𝜐/c qui lui est équivalent à p = m v , qui inclut bien une masse inertielle.
- Sceptique : donc la simplification apportée Monsieur Planck avec sa constante ℏ, élude deux phénomènes essentiels ; a) elle cache le fait qu'elle ne représente que les paramètres de l'électron ; b) elle permet d'éluder le problème de la masse d'un photon.
- La dualité onde-particule devrait s'appeler la dualité inertielle. On voit bien que la partie "onde" passe par où elle veut dans les fentes de Young alors qu'un photon (ou autre) détecté possède une trajectoire précise. La théorie quantique élude cela en l'abordant sous l'angle probabiliste. La réalité – bien mise en avant par le phénomène de l'intrication – relève de la dualité {quantique - subquantique} i.e, la dualité de vitesse (sub-quant). Un photon incident, possède une masse m = E / c² qui se masque quand il prend la forme d'une onde car il transite de l'état monopolaire à l'état dipolaire transverse via l'opérateur 𝕮 = {↔ ➤ ↻} .
- Sceptique : pourrait-on dire par analogie de l'aspect dipolaire d'un photon, qu'une onde sinusoïdale d'eau est alternativement un creux dans l'eau et une bosse dans l'air ?
- Oui mais il faut être prudent avec les analogies ! Prenons l'exemple d'un caillou jeté dans une eau calme : le choc de la transition air → eau, génère une onde qui se propage. Elle s'exprime à la fois dans le milieu eau et air. Mais si on perturbe l'onde, cela ne provoque une réduction du paquet d'ondes vers le choc initial. Certains voudraient interpréter l'analogie comme un renversement du temps mais c'est faux. Le couple eau-air n'a rien à voir avec le couple quantique subquantique. En revanche, dans les deux cas, il existe une usure de l'onde. Dans l'eau le son se propage à 1500 m/s alors que dans l'air, c'est 340 m/s. Le milieu subquantique n'a rien à voir avec celui d'une matière quelconque mais il est sous forme d'un condensation d'oscillateurs ℬodys.
- Sceptique : alors la réduction du paquet d'ondes électro-magnétiques se fait comment ?
- Elle transite via le niveau subquantique à la vitesse des oscillateurs ℬodys qui est 𝜉³ fois plus élevée que celle de la lumière.
Le principe de dualité onde-corpuscule s'applique au photon qui au moment de l'impact , possède une masse fugace. C'est juste sa forme onde qui n'a pas de masse...apparente. En fait elle masque deux masses opposées et diffuses.
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