Enigme 85 : la constante cosmologique (1)

Voir  : sommaire , les cinq clés de la physique, l'éclaté du modèle, dualité du zéro.
Ratios universels : 𝛼 = f(𝜉). Série 𝜉, n =1 à 5 :  lP ƛo ƛₑ PZ RBEC.  𝜉 = 1,54 ×10¹¹ ; 𝜉² = mPlanck  / mélectron ; 𝜉³=RBEC / ƛₑ ; 𝜉 = EM / EG ; 𝜉 =RBEC/lP ; = mₑ ƛₑ²/ t
Anisotropie (tangentielle / radiale) du BEC-fossile 𝜉 / 𝜉³ = 𝜉 déclenche la mitose-expansion des oscillateurs  ℬodys
Le ℬody suit la loi de Compton : ℳ.ℒ = Cte
paradoxe existentiel né de deux interdits : = 0 ; ℳ  > 0
Point zéro ℬody selon impulsion canonique de Dirac ∂() d = 1
Les pôles s'annulent selon l'identité d'Euler : eiπ + 1 = 0. 
L'aspect algébrique de permet la symétrie :  ℳ.ℒ' +ℳ.ℒ = 0
l'opérateur dipolaire→monopolaire révèle les pôles { }
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- Sceptique : cet article de l'Université de Genève indique que la théorie des champs propose une constante cosmologique 𝛬 = 3,83×10⁶⁹ m⁻² incompatible avec la mesure de certains indices du fond diffus qui indiquent une valeur de  𝛬 = 1,11×10⁻⁵² m⁻². Le ratio de l'erreur est énorme : 3,5×10¹²¹

- La première valeur (𝛬 = 3,83×10⁶⁹ m⁻²) est juste l'inverse du carré de la longueur de Planck. La seconde valeur est rattachée à une période considérée comme "finale" ou comme le seuil où la vitesse d'expansion dépasse c. Cet immense ratio incompréhensible vient de trois fausses hypothèses
-1) la courbure élémentaire est donnée par 1/ƛₑ² et non par l'inverse du carré de la longueur de Planck. De plus elle n'est qu'un gradient élémentaire de la courbure cosmique 
-2) la seconde porte sur l'hypothèse de mono connexité du modèle standard. L'Univers est multiconnexe via les BECs enchevêtrés en cours de déchevêtrement. Les surfaces élémentaires des BECs restent constantes et ne sont donc pas raccordées directement à une certaine étape de l'expansion (celle d'aujourd'hui) qui n'est donc pas privilégiée
-3) dans le modèle en couches d'expansion, le principe de localité est essentiel. L'expansion de notre couche locale actuelle est de 0,51 c.  Soit une vitesse moyenne de ~ 0,25 c, depuis l'origine (BEC fossile).  L'expansion moyenne actuelle est de 2,5 c

- Sceptique : quel est le ratio entre la courbure élémentaire et la courbure globale orriginelle  ?

- Il est simple : 𝜉/𝛼². C'est le nombre de paires électron-positrons initiales et également le carré du ratio entre la force coulombienne et la force gravitationnelle sur l'aire du BEC-fossile.

- Sceptique : Le modèle standard indique que le rayon global actuel serait d'environ 45 Gyl

- Effectivement mais là encore il est parti sur une théorie d'univers de type mathématique, en le considérant comme un fluide continu, mono-connexe (et d'origine inconnue). Le tableau montre comment évolue l'univers en couches, muni d'une vitesse moyenne d'origine à v = 2,5 c. Cela permet de connaître le gamma moyen de ralentissement qui fixe le rayon moyen actuel à 33,5 Gyl. Il est légèrement inférieur à 2,5 c t à cause du taux de ralentissement. Mais le rayon global actuel (hors horizon) est quasiment 4 fois plus grand soit  134 Gyl . Soit la moyenne de la vitesse locale v(t) = 0,51 c résultat de l'accélération au cours du temps. La vitesse moyenne est égale à environ ~ 0,255 c. Cela représente un ratio de 19,2  avec les couches à 5 c. On a ainsi approximativement R(t) = 19,2 × 7 = 134 Gyl. Quand l'horizon aura atteint le rayon moyen (33.5 Gyl), on pourra alors compter la totalité des 𝜉 galaxies primordiales (154 milliards). Or selon cette source on compte actuellement 1,7 milliards de modes vibrationnels sphériques qui pourraient être liés au nombre de galaxies primordiales visibles pour l'instant.    

A suivre...             



   

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