Enigme 90 : la dualité du néant

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Voir  : sommaire , les cinq clés de la physique, l'éclaté du modèle, dualité du zéro.

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Situation du problème

Le modèle standard évoque des choses mystérieuses comme la "singularité" ou les "fluctuations quantiques", choses qu'il a sciemment renoncé à expliquer. Pour évoquer les causes du Big-Bang, il y a deux solutions : a) spéculer ; b) s'appuyer sur la clé de symétrie duale qui est vérifiable directement ou indirectement dans la structure de l'espace-temps du modèle en couches. Ces bases ont été éludées via le mot magique "champ" qui permet de ne pas avoir à expliquer le détail de la médiation des forces dans le "vide". En renonçant à voir la 5eme dimension (lien avec le niveau subquantique), le modèle standard remplace les êtres physiques par des êtres mathématiques. Cela génère la croyance (sic) en un zéro absolu et donc une notion de néant à jamais indéfinissable. En s'appuyant sur le fonctionnement des oscillateurs-ℬodys, ancêtres de la paire électron-positron, on peut montrer en détail que le néant est une notion profondément duale. Elle est basée sur le paradoxe existentiel lié à l'impossibilité d'une inertie zéro absolu ! Le dual de cette impossibilité est l'impossibilité existentielle d'une inertie plus grande que zéro. La seule réaction physique à ce paradoxe est l'oscillation "entre les deux" ! Comme l'énergie ne saurait exister ces oscillateurs-ℬodys sont d'essence dipolaire afin de générer un zéro parfait mais non absolu mais relatif à la symétrie propre à chaque oscillateur-ℬody. Comme la masse ℳ est de type scalaire, l'exigence de la physique consiste en une inséparabilité du produit constant ℳ.ℒ. Ce mariage à l'état quantique et subquantique, se vérifie dans la Bulle-Univers où nous vivons. Ainsi l'aspect stochastique à entropie (de désordre) maximale  est compensée par une stricte symétrie intrinsèque .

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 - Sceptique : admettre un zéro mathématique absolu en physique c'est de condamner à ne jamais comprendre la matrice ayant créé la Bulle-univers ?

- Oui mais cependant le zéro absolu joue un rôle important comme attracteur impossible du couple ℳ.ℒ.  Cet attracteur pousse à chaque cycle (aléatoire) des oscillateurs-ℬodys, à réduire le plus bas possible l'inertie originelle du "point zéro" afin que son amplitude (à venir) tende vers l'infini. Cependant un oscillateur à amplitude infinie n'est plus un oscillateur. Mieux, son existence est à jamais injustifiable.

- Sceptique  : combien le "point zéro" peut-il générer de niveaux de masse originelles ?

- Une infinité ! Encore une fois, si les notions de zéro absolu et d'infini, sont interdites en matière de paramètre physique, elles sont autorisées en matière de statistique. Sur le plan statistique, il existe une infinité de niveau d'origine.

- Sceptique : mais comment sont décidées toutes ces origines aux points zéro ?

- C'est le règne de l'aléa. Il existe un flou ou une incertitude intrinsèque au point zéro. Le hasard possède un potentiel infini pour hésiter (osciller) entre le zéro impossible et une valeur d'inertie toute aussi impossible. 

- Sceptique : quel est le nombre d'oscillateurs-ℬodys, dans cette matrice stochastique ? 

- Ce nombre est infini ou pour le moins incommensurable car chaque oscillateur dipolaire présente strictement zéro paramètre physique car ils sont annulés dans la dualité confinée. Il n'y a ni espace, ni temps ni masse apparente. Idéalement, l'entropie de désordre est infinie. En réalité elle présente des "défauts" sous forme d'amorces (généralement instables) de BECs                         
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Ratios universels : 𝛼 = f(𝜉). Série 𝜉ⁿ, n =1 à 5 :  lP → ƛo → ƛₑ → PZ → RBEC.  𝜉 = 1,54 ×10¹¹ ; 𝜉² = mPlanck  / mélectron ; 𝜉³=RBEC / ƛₑ ; 𝜉⁴ = EM / EG ; 𝜉⁵ =RBEC/lP ; ℏ = mₑ ƛₑ²/ tₑ
Anisotropie (tangentielle / radiale) du BEC-fossile :  𝜉⁴ / 𝜉³ = 𝜉 déclenche la mitose-expansion des oscillateurs  ℬodys
Le ℬody suit la loi de Compton : ℳ.ℒ = Cte
paradoxe existentiel né de deux interdits : ℳ = 0 ; ℳ  > 0
Point zéro ℬody selon impulsion canonique de Dirac ∫∂(ℳ) dℒ = 1
Les pôles s'annulent selon l'identité d'Euler : eiπ + 1 = 0. 
L'aspect algébrique de ℒ permet la symétrie :  ℳ.ℒ' +ℳ.ℒ = 0
l'opérateur dipolaire→monopolaire révèle les pôles {↔ ⇴ ↻}
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Commentaires

  1. Dominique MAREAU6 janvier 2020 à 15:29

    Dirac dit : le zéro absolu n'existe pas* car la probabilité d'avoir quelque chose (ici l'inertie) est unitaire.
    Euler pose la clé de l'oscillation dipolaire qui induit un zéro relatif à la notion de symétrie duale des composants internes et opposés.

    * en fait ce zéro est un attracteur indispensable mais impossible à atteindre.

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