Enigme 91 : système d'unités canoniques (1)
Voir : sommaire , les cinq clés de la physique, l'éclaté du modèle, dualité du zéro.
-----------------------
Situation du problème
-----------------------
Situation du problème
Le
modèle standard utilise un système d'unités obsolète et arbitraire. Les bases premières sont le kg pour la masse ℳ, le mètre pour la longueur ℒ et la seconde pour le temps T. Ce système a cependant été optimisé et rendu cohérent avec l'organisation MKSA (mètre, kg, seconde et ampère). A cela a été rajouté la dimension température en Kevin ϴ . Il reste néanmoins que les combinaisons dimensionnelles n'apportent aucun indice via les intensités numériques correspondantes. Seuls les ratios ont un intérêt mais ils sont très mal exploités, comme par exemple celui des masses {Planck/électron} qui est cohérent avec la formule d'Eddington, le ratio très important de le force {coulombienne/ gravitationnelle} et bien d'autres. La référence ultime existe pourtant bel et bien : l'oscillateur-ℬody devenu paire {électron-positron}.
-----------------------
- Sceptique : pourquoi la référence canonique de la symétrie {électron-positron} n'est-elle pas prise en compte par la communauté scientifique ?
- A cause de : a) le rejet de la dualité de localité par une interprétation simpliste des variables cachées ; b) la non présence de positrons stables à l'état libre. La première "raison" n'est pas raisonnable car elle élude l'idée que des paires primordiales {électron-positron}, aient pu subir une réduction de localité suivie d'une délocalisation. Cela amène les paires voisines à se comporter comme des pseudo-bosons et donc ayant capacité à se condenser.
- Sceptique : admettons qu'un "+" se marie avec le "–" voisin issu d'un autre oscillateur-ℬody et que cela se généralise. Mais alors comment expliquer l'absence de positrons libres et stables ?
- La condensation en neutron-proton, induit forcément une asymétrie de nature géométrique. A l'origine, le hasard a disposé et généralisé l'électr-onde vers l'extérieur et donc le positr-onde vers l'intérieur du neutron. Ainsi c'est toujours l'électron qui est éjecté pour former un hydrogène atomique + un neutrino. Cette évidence résout beaucoup d'énigmes dont les quatre premières sont : a) pourquoi la charge du proton est strictement égale à celle du positron ? ; b) l'asymétrie (apparente) matière-antimatière ? ; c) la cause de la polarisation du "vide" ? ; d) l'instabilité de la création locale d'un paire ?
- Sceptique : donc la référence {électron-positron} est est la seule et unique base élémentaire pour construire un système d'unités canonique ?
- Oui en se souvenant la cause de l'existence de cette paire c'est l'oscillateur-ℬody dont la clé est ℳ.ℒ = Cte. Cela veut dire que ℒ =
- Sceptique : admettons qu'un "+" se marie avec le "–" voisin issu d'un autre oscillateur-ℬody et que cela se généralise. Mais alors comment expliquer l'absence de positrons libres et stables ?
- La condensation en neutron-proton, induit forcément une asymétrie de nature géométrique. A l'origine, le hasard a disposé et généralisé l'électr-onde vers l'extérieur et donc le positr-onde vers l'intérieur du neutron. Ainsi c'est toujours l'électron qui est éjecté pour former un hydrogène atomique + un neutrino. Cette évidence résout beaucoup d'énigmes dont les quatre premières sont : a) pourquoi la charge du proton est strictement égale à celle du positron ? ; b) l'asymétrie (apparente) matière-antimatière ? ; c) la cause de la polarisation du "vide" ? ; d) l'instabilité de la création locale d'un paire ?
- Sceptique : donc la référence {électron-positron} est est la seule et unique base élémentaire pour construire un système d'unités canonique ?
- Oui en se souvenant la cause de l'existence de cette paire c'est l'oscillateur-ℬody dont la clé est ℳ.ℒ = Cte. Cela veut dire que ℒ =