Couche de rebroussement
Voir : modèle OSCAR, loi KOIDE-MAREAU, SOMMAIRE , Les cinq clés de la physique, l'éclaté du modèle, dualité du zéro
L'animation montre une section de la couche de rebroussement. Elle est alternativement occupée par les pôles descendants et montants.
Sur le BEC fossile, lors de la saturation, l'intervalle se réduit et les pôles (de ℬodys) contraires s'attirent par la force de Coulomb pendant le court arrêt du rebroussement. Mais en cours de trajet, les pôles sont repoussés par les forces de la Laplace, générées par les courants parallèles contraires.
La "magie" électrique {onde-corpuscule} quantique est juste l'effet de la simple mécanique subquantique.
La dualité {onde-corpuscule} est un des effets de la dualité {quantique-subquantique}.
Encore l'action du principe universel de dualité.
RépondreSupprimer- La force dynamique de LAPLACE entre charges mouvantes permet de conserver les intervalles car les pôles se repoussent mutuellement.
- La force statique de Coulomb permet de fusionner les pôles au point de rebroussement, si et seulement si, les intervalles sont suffisamment réduits (saturation du BEC-fossile).
sur une portion de surface d'une couche montante du BEC, qu'est ce qui différencie les pôles voisins en termes de charge électrique?
RépondreSupprimerIls sont synchronisés, issus du même point zéro, et émis en même temps. Chaque pole est en opposition avec son frère jumeau de l'autre coté du BEC. Mais qu'est ce qui pourrait rendre la charge des pôles d'une même couche montante, opposée à celle de ses voisins en terme de charge électrique ?
En revanche, une fois que toute cette couche a fait demi tour au point de rebroussement, tous ses pôles constituants sont en opposition de charge par rapport à tous les pôles montants de la couche suivante. En effet, celle qui a fait demi tour voit son dm diminuer (ainsi que son L par rapport au point zéro) alors que la couche montante a son dm (et son L par rapport au point zéro) qui augmente. Ne pourrait-ce pas être cela qui donne la charge + ou - entre deux pôles voisins?
Et dans ce cas, la saturation concernerait non pas une seule couche, mais deux couches successives du BEC?
La charge électrique matérialise le ML (+) d'un côté et le ML (–) de l'autre du dipôle . C'est la clé pour qu'ils s'annulent mutuellement dans le Body.
RépondreSupprimerIl est vrai que "montant" et "descendant" sont ambigus. En fait, l'animation montre que toutes les 10^-21 secondes, on a alternativement les "trous" (à l'emplacement des pôles qui sont au "point zéro", puis ceux qui sont au point de rebroussement. Si les voisins étaient de même charges, ils fusionneraient dès la sortie du "point zéro".
Le calcul montre qu'il y a bien une seule couche saturée. En fait, si les pôles "montants" et les "descendants" étaient en même temps, il serait 2 fois plus serré. Ils arrive alternativement par des lignes parallèles différentes.
Revoir la cage de la Z machine qui fusionne brutalement au centre toutes les charges qui circulent dans le même sens. Pour mémoire, la fusion Z machine donne 5/8 du T électron !
La charge électrique reflète le M (scalaire) × L (algébrique). Mais c'est bien la direction de l'amplitude qui porte un signe. En statique, les signes opposés car la clé du dipôle est la non séparation de chacun des pôles pour garantir l'annulation des paramètres physiques qui n'ont pas de justification d'existence.
RépondreSupprimerL'attirance est le gage d'une réduction d'énergie complète. Dans le Body, l'énergie de masse et l'énergie cinétique sont strictement confondues.
J'ai du mal à faire comprendre ma difficulté à comprendre.
RépondreSupprimerLes deux pôles d'un Body sont strictement identiques (symétrie oblige). L'aspect algébrique apparait en effet évident pour que la somme algébrique des paramètres soit en permanence égale à zéro. Mais le coté algébrique ne colore pas en rouge un pole et l'autre en bleu. Les signes algébriques opposés à l'intérieur d'un BODY viennent seulement de leur position relative au zéro, au sein même du dipôle.
Même raisonnement pour un Body voisin.
Les pôles d'un même Body étant strictement identiques et symétriques en permanence, les pôles voisins sont donc également strictement identiques.
En revanche, ce qui peut faire la différence dans un BEC en équilibre, c'est que l'un des pôles est montant alors que son voisin est descendant.
Et donc on peut très bien imaginer le BEC avec cette alternance de pôles montants et descendants, comme celle de l'animation. Par convention, on peut alors colorier en rouge les montants et en bleu les descendants (ou l'inverse), ce qui peut également être écrit "+ " ou "-".
Cela ressemblerait alors beaucoup à votre animation, sauf qu'il n'y aurait pas de trou. Au point de rebroussement, les pôles qui étaient rouges (montants) passent au bleu, et les bleus (descendants) passent au rouge. Et ils changent alternativement de couleur rouge/bleu (ou signe) à chaque cycle.
Le signe (+ ou -) serait porté localement par l'espace/inertie/temps en fonction de la montée ou de la descente du pole. Son voisin aurait bien sûr un signe opposé afin de garantir l'équilibre du BEC.
Mais ce signe d'un pole n'aurait rien à voir avec le signe algébrique de ce même pôle au sein du dipôle. Le signe algébrique au sein du dipôle est constitutif du Body et permet l'annulation algébrique des paramètres en permanence.
Le signe + ou - est lié à la phase du pole (montante ou descendante) et rien ne peut dire par quoi il est porté, car M, L et T son intimement liés.
Quant à la force de liaison entre les deux pôles d'un BODY, je ne la voit pas comme une force de liaison, mais comme ceci: à la sortie du point zéro, le déplacement M, L, T génère une charge et donc une force induite qui tend à ralentir le pole au fur et à mesure du déplacement jusqu'au point de rebroussement. Au point de rebroussement, la charge change de signe mais le sens du déplacement aussi, ainsi la force induite reste dirigée vers le point zéro et accélère le retour.
Comme nous avons deux forces identiques de chaque coté du BoDY, mais opposées en direction, dans un espace 1D, c'est comme si cela était une force de liaison, alors que c'est juste l'expression de deux variations MLT identiques opposées au sein de l'espace 1D symétrique.
Evidemment je n'affirme rien du tout, mais cette version là j'arrive à la comprendre, alors que l'autre laisse le sceptique perplexe.
Bon dimanche.
Le signe "–" et le signe "+" témoignent, non pas de la phase "montante" ou descendante", mais de l'opposition spatiale : L+ ou L– des pôles. Et donc le signe en phase montante est conservé en phase descendante.
RépondreSupprimerL'animation montre que la couleur de charge de change pas de signe au point zéro. Le "bleu –" traverse le point zéro tout comme le rouge +. En fait "+ et –" ne sont que des repères relatifs à l'opposition duale. L'espace étiré à gauche est de signe contraire que l'espace étiré à droite. La masse est un scalaire et c'est donc le couple ML qui est algébrique.
Ce qui ralentit un pôle est sa diminution du "reste à parcourir" L et donc l'augmentation de sa masse imposée par : ML = Cte ! L'augmentation de la masse génère l'augmentation de la charge électrique et donc l'augmentation de la force de rappel.
La répartition spatiale globale (mettons gauche et droite) d'un BEC reste symétriquee et donc il y a autant de + et de – à gauche qu'à droite.
L'alternance 1/2 des pôles présents, permet de conserver les intervalles via la force de Laplace qui repousse les courants contraires qui dans ce cas, sont des charges contraires circulant dans le même sens par exemple dans le train montant. Le croisement du train descendant (au milieu) est tellement fugace (grande vitesse), qu'il n'a aucun effet notable.
Les contraintes sont multiples :
a) repousser les parallèles en phase dynamique
b) conserver le rayon du BEC par la somme des "+ –" du groupe A suivi du groupe B, le cycle suivant.
c) fusionner en phase statique (rebroussement) si saturation.
d) croiser dans des chemins particuliers les groupes A et B.
J'avoue que c'est loin d'être facile !
Bon dimanche également !
si "c'est loin d'être facile", c'est peut être que le principe de parcimonie d'Ockham n'a pas encore atteint son terme !
RépondreSupprimerQuand vous dites: "Le signe "–" et le signe "+" témoignent, non pas de la phase "montante" ou descendante", mais de l'opposition spatiale : L+ ou L– des pôles. Et donc le signe en phase montante est conservé en phase descendante" c'est parfaitement clair.
Mais si un observateur se place au point zéro et qu'il regarde l'éloignement de chaque pôle, quelle différence physique y a t-il? Pour des raisons de symétrie, c'est exactement la même chose de chaque coté qui s'éloigne. Et donc si on parle d'un pole + et d'un pole -, on peut très bien inverser ce signe. Et donc pour 2 BODYS voisins, les deux demi-pôles qui s’éloignent cote à cote sont exactement les mêmes choses.
Finalement ces signes ne sont valables que dans le confinement du dipôle. Entre deux dipôles adjacents, ces signes n'ont plus de sens physique.
La charge + ou - telle que e^2=ML vient donc d'ailleurs.
Soit un observateur au point zéro qui regarde un body : il voit un pôle partir à "droite +" et un pôle partir à "gauche –". Si les + et – sont juste des symboles, ils représentent cependant une réalité physique géométrique et algébrique. La dernière permettant d'annuler des inerties interdites.
RépondreSupprimerSoit un observateur au point zéro qui regarde deux Bodys : il voit à "droite" un pôle + et un pôle – voisins partir parallèlement. il voit la même chose à gauche. Ainsi ce n'est pas le concept relatif "droite" ou gauche" qui donne le signe mais le principe de symétrie globale "vu" dans le point zéro.
Si tous les "droits" étaient + et donc les "gauches" étaient –, on aurait un univers énantiomère où une partie n'aurait que des électrons et l'autre que des positrons. Ce n'est pas le cas . En plus le concept "droit" et "gauche" dans une sphère, n'a pas de sens.
Globalement, la symétrie n'est sauvée que grâce à la répartition alternée.
La forme : √Q = M.L & √Q' = M.L' montre que les signes + et – sont inutiles.
Le principe de symétrie est vraiment une contrainte incontournable.
De plus, le fait d'avoir des "courants contraires" entre voisins, est le seul moyen d'équilibre pour le BEC.