Cycle de l'Univers dual

 Le "néant" est représenté par une infinité de cordes ℬodys – dont les paramètres M, L, T sont annulés par les deux pôles opposés – peuple la matrice permanente du "néant". Le fort brassage met en place une synchronisation aléatoire des points zéros, qui génère le BEC-fossile.  Le "néant" n'a rien à voir avec le zéro absolu mathématique.


Le flux de synchronisation sature le BEC-fossile qui entre en mitose-expansion. Les BEC-étoiles se groupent en galaxies et amas et les collisions les transforment en matière noire. Au fur et à mesure de la croissance de la Bulle-Univers, la matière disparait et l'influence désordonnée de la matrice tend à désynchroniser les BEC-étoiles. La Bulle-Univers arrive au stade où elle s'évapore dans la matrice..... Le cycle recommence avec des conditions aléatoires différentes. Il y a un grand nombre de Bulles-Univers avortées avant que l'aléa stochastique ne tombe sur des paramètres ayant une chance d'aboutir.

Deux niveaux de très faibles probabilité :
  
1/ La phase synchronisation n'aboutit qu'après un très grand nombre d'échecs.

2/ La phase saturation-mitose-expansion du BEC-fossile ne produit une Bulle-Univers réussie qu'après un très grand nombre d'échecs car les valeurs aléatoires doivent pouvoir trouver une variable d'ajustement adéquat pour créer de la matière stable.

Globalement, la probabilité d'aboutir à une Bulle-Univers viable, est infiniment proche de zéro. Cependant, comme le temps ne s'écoule pas, l'aléa dispose d'un infinité de brassages des oscillateurs ℬodys  qui amène donc une probabilité unitaire de générer une Bulle-Univers. 

Entropie de désordre : le cycle est généré par le fait que l'entropie de désordre de la matrice stochastique, tend vers l'infinie. Or comme cela équivaut à un brassage qui tend vers l'infini, il vient une augmentation de la probabilité de synchronisation (baisser l'entropie de désordre) ! Un BEC est caractérisé par sa très basse  entropie de désordre.        

Flux de synchronisation : tout est affaire d'influence et ici dans la notion (duale) d'intérieur et d'extérieur. Les premiers ℬodys ont une chance infiniment faible de voir confondre leur points zéros. Mais après une quasi infinité d'essais aléatoires, le BEC commence à prendre forme. Lorsque sa densité interne dépasse celle (aléatoire) du lot (aléatoire) qui l'entoure, la probabilité d'un flux entrant continu, devient réelle. A partir de ce seuil, le flux de synchronisation s'accélère d'une manière exponentielle ! Cette allure exponentielle favorise le premier BEC potentiel ! Ainsi durant le cycle (relativement court) de la Bulle-Univers, la chance de voir "éclore" un nouveau BEC-fossile est quasiment nulle. Les multivers sont des spéculations !

Le seuil d'isotropie : Le BEC est en parfait équilibre si l'intervalle radial est égal à l'intervalle tangentielle. Sa densité est parfaitement répartie. Cependant, le flux ne "connait pas" cet équilibre et au contraire, il accélère. Il arrive à un stade où l'intervalle entre cordes-ℬodys est tel, qu'au point de rebroussement les forces de Coulomb l'emportent sur les forces de Laplace et c'est la fusion généralisée. voir l'animation "annihilation".     

          

Commentaires

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  2. La formule d'Eddington donnait le rayon maximal de la Bulle-Univers selon : R = 3 ℏ² / (4𝜋 G me³ 𝛼²) = 296 G.yl, sans toutefois inclure le taux d'annihilation 𝛼² au dénominateur (rajouté ici). On retrouve le même R maxi par la formule de l'oscillateur harmonique, soit R = 296 G.y.l . C'est ~20 fois le rayon de Hubble (13,8 G.y.l).

    On voit qu'il utilisait ℏ = me 𝜆e² /te, soit (sans le savoir) les paramètres du seul électron (ex-pôle de Body) ! En reprenant la formule avec cela nous avons : R = 3 𝜆e⁴ / (4𝜋 G me te² 𝛼²) qui se rapporte directement aux pôles séparés.

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  3. La flèche du temps matérialise l'augmentation d'entropie de désordre durant la phase expansion. Ensuite la synchronisation revient à réduire le désordre mais ce n'est pas le même type de temps qui s'écoule ! Il ne peut s'estimer à partir du temps élémentaire (te) multiplié par le nombre de brassages. En effet, le temps élémentaire connu (te) représente la moyenne du lot stochastique à synchroniser. Il y a donc une symétrie pour la flèche du temps (mais sans inclure l'intensité numérique).

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  4. j'ai deux questions supplémentaires que j'ai posté à la suite de votre dernière réponse dans le précédent article.

    Pour celui-ci:
    En considération de temps, nous sommes à 1/20iéme du temps total pour atteindre le rayon maxi de la bulle univers.
    Si le rayon actuel de la bulle univers est d'environ 60 G.l.y, cela veut dire qu'en considération d'espace, nous sommes à 1/5ième de l'extension maximale.
    Cela veut dire que les couches en avance vont devoir sacrément ralentir la cadence pour arriver à l'heure du RDV à la position donnée (296 G.l.y) !
    Est-ce encore réalisable?

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  5. Le 296 G.y.l est une projection à masse égale sans tenir compte de l'influence de la force propre aux BECs. La formule d'Eddington revient à dire qu'à terme, tous les BECs sont les motifs d'une "toile" sphérique en 2D. Par définition cette "toile" offre deux surfaces d'échange bien plus grandes que la Bulle-Univers d'aujourd'hui. Cela veut dire que son évaporation va en s'accélérant.

    Ce 1/2 cycle (aller sans retour) est basé sur le seul critère des masses. Cependant, il demeure une inconnue : le temps d'évaporation ou de dissipation des BECs dans la matrice stochastique.

    Votre question : le delta R entre les couches 5c ↔ 2,5c est beaucoup plus grand que le delta R entre 0c ↔ 2,5c ! De ce fait, la décélération "externe" et largement plus forte que l'accélération "interne". Cela vient de cette formule classique : R = v² / 2 a ou la vitesse v est élevée au carré et "a" l'accélération.

    Par ailleurs si la densité dans nôtre horizon cosmique est quasi homogène, l'animation montre que la "création" fractale est moins nourrie dans les dernières couches.

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  6. je précise : l'animation du billet précédent https://sciencesetuniverspourtous.blogspot.com/2020/05/mitose-expansion-de-la-bulle-univers.html

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  7. Merci pour ces précisions !

    Et pour les deux questions rajoutées dans l'article précédent?

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  8. Est-ce cela ?

    - "au sein de l'ex BEC originel, il n'y a probablement plus de point zéro. Pourtant tous les BEC restent synchronisés entre eux, sans BEC maître (ou père).
    C'est donc une synchronisation délocalisée et généralisée qui est en oeuvre.
    Sans la matière qui est perturbatrice et couplée aux BECs, les BECs pourraient-ils perdre cette désynchronisation entre eux, accélérant le processus de retour à l'entropie maximale ?"

    Le BEC-fossile après mitose ne laisse qu'une trace "vide"* car il a "légué son ADN" aux BECs-fils. Ceux-là sont effectivement liés entre eux via le couplage BEC(a)-matière-BEC(b) et au fur est à mesure que la matière disparait , le couplage disparait. Cela veut dire que in fine, les BECs disparaissent séparément dans la nature. Leur désynchronisation devrait être "en même temps" que leur dissociation.

    * ce "vide" est rempli de Bodys stochastiques !

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