Electron : oscillation entre Compton et Planck


Voir  : modèle OSCAR, loi KOIDE-MAREAUSOMMAIRE , Les cinq clés de la physique, l'éclaté du modèledualité du zéro
L'animation montre l'oscillation de l'électron (selon ML = Cte) entre sa taille de Compton et sa taille de Planck, couplée à la corde Body.

le bref Body Kiss avec la corde de Planck
 
Le spin est composé d'une oscillation axiale + une rotation 4 π + une translation hélicoïdale observée comme un "tremblement" ou Zitterbewegung. La notion de "ponctuelle" n'a pas de validité physique.

Au repos :

- à sa taille de Planck il courbe légèrement le dipôle couplé qui lui concède une légère masse supplémentaire appelée "masse virtuelle". Pour le proton, c''est la clé de la différence entre la mesure brute (1836,36 me) et 1841, le nombre entier en unité nue (voir KOIDE-MAREAU générale et restreinte ).    

- Sa charge courbe fortement et algébriquement le dipôle couplé qui le répercute aux voisins via le point zéro. Cela est appelé classiquement, le "champ" électrique.

- Son spin – couplé avec un dipôle –  informe potentiellement tout le BEC.

En dynamique

- La masse prélevée au dipôle augmente quand la vitesse approche celle de la lumière (relativité selon le facteur de Lorentz). 

L’ambiguïté de la vitesse tangentielle au rayon de Compton (v = c) disparait car la masse de l'électron est quasiment nulle à ce stade, selon le ratio avec l'aire de Planck. En effet c'est au rayon de Planck que sa masse est mesurée (voir ML = Cte).

On peut décomposer l'électron en un paquet d'ondes distribuées en ξ^2  couches, chacune espacée de la longueur de Planck. La masse de la dernière couche à vitesse c est donc ξ^4 fois plus faible que la masse totale de l'électron.

La somme des circonférences (1D) des couches de l'électron, équivaut à la longueur du Body. 

L'électron contient donc virtuellement ξ^6 "boules de Planck" soit le nombre de paires électron-positrons formant une étoile primordiale.

L'oscillation est entretenue par l'alternance de type {extension-réduction} du paquet d'ondes. En terme de courants de Laplace, on peut dire que le début de la phase "réduction" vient du collapsage généré par les courants parallèles. Ensuite la superposition progressive des couches, annule l'effet Laplace et c'est l'accélération radiale de type : v²/r,  qui l'emporte pour l'extension à suivre et ainsi, relancer le cycle.  




         

Commentaires

  1. L'électron (comme le positron normalement confiné) est l'entité élémentaire de la Bulle-univers car il est un ex-pôle séparé de son Body dipolaire. Bien que resté coincé en mode M, il continue de satisfaire ML = Cte. Son seul moyen de communiquer avec son alter ego (pôle délocalisé à l'opposé du BEC fossile) passe par l'ensemble des Bodys formant l'espace-temps.

    L'attracteur ultime étant le zéro global, la Bulle-Univers rapproche (collisions) tous les "séparés" via la DM. Petit à petit toute la masse sera annulée pour retourner dans désordre stochastique.

    La masse (en fait l'inertie M) est le contre-point de l'ampleur L de l'agitation stochastique. C'est la saine lutte entre conservateur et progressiste.

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