La médiation électromagnétique de champ est l'expression subquantique

Voir  : modèle OSCAR, loi KOIDE-MAREAUSOMMAIRE , Les cinq clés de la physique, l'éclaté du modèledualité du zéro

L'animation montre un pôle de l'oscillateur ℬody où l'amplitude (onde pilote) L, s'enroule en inertie M, selon ML = Cte. L'entité ML a deux composantes alternées : M & L. La variation dm/dl induit un spin dont le sens de rotation est alternatif {montée-descente}.  

limite du BEC                                                                              point zéro

Au niveau subquantique, la garantie du lien causal autour du point zéro (r) des deux pôles opposés, n'est pas assumée par une charge électrique Q mais tout simplement par le freinage du à la variation d'inertie. Au niveau quantique, on vérifie que la charge élémentaire Q² = ML !

On rappelle que l'inertie M maximale du pôle équivaut à M électron et que cette masse diminue à Mo = M /𝜉² au point zéro :  r = R / 𝜉² avec R = L max.

Onde pilote : En 1927 Louis De Broglie propose la théorie de l'onde pilote. En 1952 David Bohm en propose un développement plus approfondi. Les tenants de l'école de Copenhague (les psychorigides) l'ont rejetée ! Ils ont notamment rejeté l'idée qu'il puissent y avoir des "variables cachées" dans un niveau subquantique. Pour cela ils s'appuient sur une déclaration tronquée de Bell !

Il y a là un grave amalgame peu connu : ceux qui argumentent pour rejeter les variables cachées liées à l'onde pilote, s'appuient sur Bell (qui fait référence) qui a déclaré : "il n'y a pas de variables cachées .... LOCALES". Sauf qu'ils "oublient" de parler de la clé qu'est la LOCALITÉ ! Ils refusent d'envisager la dualité de localité !

John Bell a regretté plus tard, de n'avoir rien su de l'onde pilote ! Bien sûr qu'il n'y a pas de variables cachées locales puisque par définition, elles sont "non locales" ou plutôt à localité élargie.

En deux mots, l'onde pilote de Bohm est :

1/ une entité physique et non un artifice mathématique.
2/ Il existe des particules ayant des trajectoires bien définies.
3/ la vitesse des particules varie en fonction inverse de la masse M : v = 1/M
4/ cette particule agit au potentiel subquantique et quantique.

Le modèle OSCAR s'inscrit dans la lignée De Broglie → Bohm → Bell avec une approche plus physique (la réalité) que mathématique (le vecteur de description de la réalité). Bohm a dit qu'il n'y a pas "d'écroulement magique et mathématique de la fonction d'onde" (Schrödinger) mais une dualité de présence (locale et non locale) qui se replie physiquement sur elle-même dans un temps ultra court.

A cet égard, on retrouve un autre amalgame : les expériences d'ASPECT sont interprétées comme si la médiation entre les spins des particules écartées, était instantanée ! Comment accepter cette folie alors que l'on rejette la dualité de vitesses {quantique-subquantique} !

Un mot sur une autre dualité : "localité-non localité". Cette expression est aisée mais elle laisse entendre une instantanéité. On devrait dire la dualité : localité c et localité co avec un ratio
𝜉²

La médiation des forces électromagnétiques n'est absolument pas expliquée par le modèle standard ! Elle a juste été (très bien) décrite par Maxwells. Cette "magie" des forces à distance est juste l'expression subquantique et mécanique des ℬodys . L'influence locale de tout phénomène quantique vient déformer la symétrie spatiale des pôles de ℬodys structurant l'espace-temps. Cette déformation revient à une courbure (voir Einstein) qui est la clé de tous les types de médiation dans l'espace.

Dans le prolongement des idées de Bohm, le Mo = mₑ / 𝜉², naissant au point zéro émet une onde pilote L=R qui s'efface par enroulement en faisant croître la masse. Au retour, la perte de masse, accélère le pôle à une vitesse vo = c 𝜉² au point zéro r = R / 𝜉² = ƛₑ 𝜉 . Le temps du pôle vaut le temps de l'électron tₑ divisé par 𝜉², soit le temps de Planck ! L'épaisseur de la corde L à la dimension de Planck  ƛₑ / 𝜉² et sa longueur maximale :  R = ƛₑ ξ3 .

Dans le BEC-fossile, l'intervalle saturé a délocalisé les pôles de la couche externe. A cet instant, le M (pôle) était égal au M (électron ou positron).     

les voisins se repoussent car ils s'enroulent en sens contraires 

odys.ℒ = Cte ;𝛼 = f(𝜉) 𝜉, n =1 à 5 : lP ƛo ƛₑ ƛ₁ Rp RBEC ;𝜉=1,54×10¹¹ ;π, = mₑ ƛₑ²/ t

Commentaires

  1. Excellent !

    Alors là, je commence à mieux cerner le BODYs et cette nouvelle description permet d'avancer dans la compréhension. Intuitivement (oui, ce n'est pas très physique) cela semble être une très bonne voie et répond bien à la curiosité.
    Il me semble que les rotations ressemblent plus à des spirales, inversées entre deux bodys montants adjacents (ou descendants). Lors de la saturation/séparation, l'un tourne dans un sens, l'autre dans l'autre sens, expliquant l'opposition physique des charges électriques + et - naissantes.

    Cela veut-il clairement dire que les charges quantiques dépendent directement du sens de rotation du Spin?
    La valeur de spin peut-elle être assimilée au sens d'enroulement de cette onde pilote?


    Je reviens alors à la charge (LOL) avec ma question de l'article du 29 avril.
    Est-ce vraiment que le hasard qui fasse que (me/te)^2 est quasi égal à pi*e ? (e comme charge élémentaire)
    En effet, en ayant que des rapports de paramètres électrons, peut-être peut-on s'affranchir des unités artificielles?
    Que le carré de (Me sur une période Te) soit égal à la charge élémentaire multiplié par pi (pi qui représente la moitié d'un tour, et qui fait donc que quelque soit le sens de rotation spin, on retombe sur la même valeur) n'est pas du tout choquant, voir même assez cohérent quand on regarde la nouvelle description du BODYs.


    Je retiens également que dans le subquantique, il n'y a que du mécanique et cela semble très rassurant (Ockham).

    Enfin, dans cet article, il y a plusieurs paragraphes en double.

    Encore merci pour vos éléments !

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  2. Merci pour vos commentaires. Je répondrai en détail demain mais déjà on peut dire que la surface tournante augmente en r² et c'est ce qui augmente d'autant le moment d'inertie comme une toupie.

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  3. J'ai corrigé les doublons ! Il faut que je revois tout cela demain !

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  4. En effet, le signe du spin est assimilable au sens de rotation.

    Concernant cette égalité (taux erreur = 1,0064) pour l'électron : (M/T)² = Q π, je confirme qu'il s'agit d'une coïncidence. En effet, elle s'exprime à partir de 3 unités arbitraires. Si l'unité kg eut différé d'un facteur "x" ; l'unité seconde, d'un facteur "y" et l'unité mètre, d'un facteur "z" (1), les valeurs numériques seraient différentes même si l'électron est, sans conteste, la particule élémentaire autour de laquelle les paramètres prennent un valeur significative.

    (1) L est concerné car Q² = ML.

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