mitose expansion de la Bulle-Univers

 Voici la mitose fractale du BEC-fossile qui se multiplie en base 5 en 32 étapes soit 5³² pour créer 𝛏² = 10²² BEC-étoiles. La nature vivante reproduit souvent ce type de figures fractales par mitose.
 
Les 𝛏² = 10²² BEC-étoiles observées ont été créés en 32 étapes de mitose. Au 32eme rang de la suite de Fibonacci (liée à la mitose), on retrouve le nombre d'Or = (1+√5)/2 à 9×10⁻¹⁴ près ! La mitose fractale conserve la densité de matière alors que la vitesse augmente avec le rayon ! 

Animation

Le "moteur" du Big-Bang et son expansion, est l'effet de la mitose brutale du BEC-fossile lorsqu'il a été saturé. On sait que tout BEC tend à retrouver son isotropie interne et ici cela passe forcément par un division par  𝛏² ! Il y a 32 étapes de mitose en base 5 qui génèrent 5 couches principales de vitesses d'expansion.  En réalité, il existe une continuité de vitesse d'expansion de 0c à 5c. 

- Ce gradient de vitesses donnent l'illusion d'une isotropie d'expansion pour tout observateur

- Le BEC fossile est observé (depuis notre position x) à ~7 milliards d'années-lumière (~7G.y.l) sous la forme d'un "trou" unique de plus de 1 G.y.l !

- L'amortissement en 1/r² de la température d'annihilation primordiale (électron-positron) confirme  x(Température) = 7 G.y.l !

- La vitesse locale d'expansion,  de 0,51 c, nous permet de voir que tout s'éloigne autour de nous avec un horizon situé à 13,8 G.y.l.

- Le gradient de vitesse nous place dans une zone qui tend à s'accélérer vers la moyenne : 2,5 c. C'est ce qui est observé !

- Tout s'éloigne autour de nous : a) vers la moyenne 2.5c ; b) selon la direction tangentielle ; c) vers le BEC-fossile où nous observons des galaxies situées au delà de ce trou. Cependant il existe une légère différence liée au gradient de vitesse et cela est observé !

Voici les bases de discussion du modèle standard , je cite :   

"La découverte de l’expansion de l’Univers prouve que celui-ci n’est pas statique, mais laisse place à plusieurs interprétations possibles :
  • soit il y a conservation de la matière (hypothèse a priori la plus réaliste), et donc dilution de celle-ci dans le mouvement d’expansion, et, dans ce cas, l’Univers était plus dense par le passé : c’est le Big Bang ;
  • soit on peut imaginer, à l’inverse, que l’expansion s’accompagne d’une création (voire d’une disparition) de matière. Dans ce cadre-là, l’hypothèse la plus esthétique (1) est d’imaginer un phénomène de création continue de matière contrebalançant exactement sa dilution par l’expansion. Un tel Univers serait alors stationnaire.
Dans un premier temps, c’est cette seconde hypothèse qui a été la plus populaire, bien que le phénomène de création de matière ne soit pas motivé par des considérations physiques. L’une des raisons de ce succès est que dans ce modèle, appelé théorie de l’état stationnaire, l’univers est éternel (2). Il ne peut donc y avoir de conflit entre l’âge de celui-ci et l'âge d’un objet céleste quelconque.
À l’inverse, dans l’hypothèse du Big Bang, l’Univers a un âge fini, que l’on déduit directement de son taux d’expansion (voir équations de Friedmann) (3) .

Remarques : 

(1) où l'on retrouve cette manie du "OU" alors qu'il s'agit d'un "ET" ! En effet, la solution du gradient de vitesse permet de rendre cohérente l'addition des phénomènes : expansion + annihilation + création. Cependant c'est l'annihilation partielle (matière noire) qui est majoritaire.

(2) où l'on retrouve les travers du monisme et du binaire ! Il n'y a pas "l'univers" mais une dualité composée : a) d'une matrice éternelle et stochastique ;  b)  d'une Bulle-Univers provisoire ! 

(3) où l'on retrouve le travers de l'amalgame : "puisque que tout s'éloigne autour de nous, alors l'univers (!) n'a pas de centre". (C'est faux voir le point 4). Il est dit ensuite :
         
"Le Big Bang ne s’est pas produit en un point d’où aurait été éjectée la matière qui forme aujourd’hui les galaxies, contrairement à ce que son nom suggère et à ce que l’imagerie populaire véhicule souvent15. À l’« époque » du Big Bang, les conditions qui régnaient « partout » dans l’Univers (du moins la région de l’Univers observable) étaient identiques. Il est par contre vrai que les éléments de matière s’éloignaient alors très rapidement les uns des autres, du fait de l’expansion de l'Univers. Le terme de Big Bang renvoie donc à la violence de ce mouvement d’expansion, mais pas à un « lieu » privilégié. En particulier il n’y a pas de « centre » du Big Bang ou de direction privilégiée dans laquelle il nous faudrait observer pour le voir. C’est l’observation des régions lointaines de l’Univers (quelle que soit leur direction) qui nous permet de voir l’Univers tel qu’il était par le passé (4) (car la lumière voyageant à une vitesse finie, elle nous fait voir des objets lointains tels qu’ils étaient à une époque reculée, leur état actuel nous étant d’ailleurs inaccessible) et donc de nous rapprocher de cette époque. Ce qu’il nous est donné de voir aujourd’hui n’est pas l’époque du Big Bang lui-même, mais le fond diffus cosmologique, sorte d’écho lumineux de cette phase chaude de l’histoire de l’Univers. Ce rayonnement est essentiellement uniforme quelle que soit la direction dans laquelle on l’observe (5), ......".

(4) où l'on retrouve encore un amalgame : "le passé se trouve dans toutes les directions et donc il ne peut avoir de centre". Encore une fois, le "OU" naïf l'emporte sur le "ET" de la dualité. Les deux propositions ne sont pas forcément opposées ! On dit également la naïveté suivante : "comme nous n'avons pas de position privilégiée et que tout s'éloigne autour de nous, il ne peut y avoir de centre ".  

On néglige la solution de la mitose-fractale-expansion avec gradient de vitesse, qui rend cohérentes ces 5 propositions : 

- 1) il y a un centre (observé vers l'éridan) 
- 2) le passé est visible dans toutes les directions 
- 3) tout s'éloigne autour de nous 
- 4) nous n'occupons pas de position privilégiée !
- 5) la densité est quasi constante alors que la vitesse augmente avec le rayon.  

(5) la soi-disant parfaite isotropie est battue en brèche depuis quelques temps. En effet, les dernières observations montrent de légères variations selon les directions de l'expansion ! Or si le modèle en couches de gradient de vitesse, donne l'illusion d'isotropie, elle  présente effectivement quelques différences du taux d'expansion, selon la direction. Là encore l'observation, conforte le modèle en couche !  

Une dernière naïveté courante : considérer l'espace comme un tissu continu (comme un gaz) ! Cela est à ranger parmi les spéculations comme l'inflation, la singularité initiale ! Non l'espace-temps n'est pas sorti tout fait – comme par magie – de la cuisse de Jupiter ! Il s'est construit dans le BEC-fossile à partir des cordes 1D 𝓑𝓞𝓓𝓨s devenues synchrones, selon un processus clairement justifié et expliqué.       


      

Commentaires

  1. très claire animation pédagogique !

    1. le gradient de vitesse d'expansion entre 0c et 5c devait être très fort sur un petit espace juste après la mitose.
    Mais plus le temps bulle univers passe et plus ce même gradient se desserre, d'autant plus que le 5c a doucement ralenti.
    Localement, au niveau de notre position à 0,51c, notre couche accélère. Si on applique cette observation à toute la bulle univers, alors le modèle standard justifie cette énergie nécessaire par l'énergie sombre.
    Est-ce bien cela?
    Cependant, si notre couche accélère, c'est bien que de l'énergie lui est fournie. Est-ce que c'est simplement l'énergie gravitationnelle de la matière (ordinaire et noire) des couches plus en avance qu'elle?

    2. L'origine du 0,51c de notre couche est le bord du BEC fossile observé à 7 Gly (en cohérence avec 13,8 Mrd d'années). Mais si le (rayon ou diamètre?) du trou de l'Eridan est estimé à 1 Gly, c'est qu'il est lui même en expansion. Si tel est le cas, ne faudrait-il pas rajouter cette vitesse d'expansion, sans quoi on pourrait doubler l'erreur d'origine si on regardait quelque chose de l'autre coté du vide de l'Eridan?
    (A moins que cette taille du vide de l'Eridan ne soit qu'apparente compte tenu de notre position et de notre vitesse d'éloignement relative !).

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    1. Votre commentaire est arrivé pendant que je faisais un procès au MS. Je répondrai bientôt à votre sympathique commentaire.

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    2. 1/ oui mais "juste après la mitose" se situe après 32 rang de mitoses. A ce moment effectivement le 5c est complet. Il ne ralentit qu'après au fur et à mesure via la gravitation.
      Oui le modèle standard associe l'accélération (et même sa dérivée) à l'énergie sombre. Même un enfant de cinq ans sait mettre un nom sur une énigme.

      La clé du modèle en couche, se situe dans l'enchevêtrement des BECs soumis à l'expansion. Il s'agit des BECs intergalactiques car ceux des galaxies restent compacts. On a montré qu'il existe un couplage entre matière et Bodys des BECs. Or ce couplage est fort pour les galaxies car la matière est visible (non dégénérée). Dans les BECs inter-galactiques, la matière est rare ou noire ! Or la matière noire (dégénérée) possède un couplage faible. Cela veut dire que ces BECs se déchevêtrent avec l'expansion. Même faiblement, ils sont couplés entre eux. Or ce couplage en fait globalement un tissu élastique. Ainsi la vitesse moyenne à 2,5 c, est un attracteur pour accélérer les BECs intérieurs et décélérer les BEC extérieurs.

      2/ Oui il faudrait tenir compte de la vitesse d'expansion du bord . Si on considère une linéarité, alors cette vitesse à R = 0.5 G.y.l se trouverait à 10% de celle de notre rayon, soit 0,05 c. Mais ce rayon a été calculé sur la base du rayon du BEC fossile après mitose soit 32 × 0,15 M.y.l = 5 M.y.l = 0,005 G.y.l. C'est négligeable mais cependant rien ne prouve que ce soit linéaire. Il apparaît même que plus l'effet retard est grand, plus l'accélération sera tardive et forte. Avec l'effet retard, le trou de l'éridan est plus grand que ce que l'on voit !

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    3. merci c'est très clair,
      j'ai quand même une autre question qui me taraude:
      si les 5 phases de la mitose ont "explosé" dans toutes les directions, alors il ne devrait pas y avoir de vide de l'Eridan.
      Donc s'il y en a un c'est que:
      - soit la mitose s'est effectuée seulement vers l'extérieur
      - soit les vitesses d'éjection vers l'intérieur étaient compensées par la vitesse d'expansion de la phase de mitose précédente
      - soit le BEC originel, s'étant complètement vidé des Bodys synchronisés, ne pouvait permettre un déplacement de matière en son sein
      - soit, mais c'est la même chose, le bord extérieur du BEC originel est devenu le bord intérieur de notre bulle univers, de laquelle rien ne peut s'échapper.

      Du coup cela me fait penser à une autre question:
      au sein de l'ex BEC originel, il n'y a probablement plus de point zéro. Pourtant tous les BEC restent synchronisés entre eux, sans BEC maître (ou père).
      C'est donc une synchronisation délocalisée et généralisée qui est en oeuvre.
      Sans la matière qui est perturbatrice et couplée aux BECs, les BECs pourraient-ils perdre cette désynchronisation entre eux, accélérant le processus de retour à l'entropie maximale?

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  2. Toutes les nouvelles observations cosmologiques, démentent le modèle standard ! La première grande erreur est de parler de "l'univers" alors qu'il est strictement dual comme toutes choses.

    Ensuite il parle d'une "expansion" qui ne peut être une "explosion" centrale car la densité baisserait avec la distance et ce n'est effectivement pas le cas ! Où est l'erreur ?

    L'animation ci-dessus montre bien que la mitose fractale est de type "explosion"centrale sans perdre de densité avec la distance. Encore et encore le monisme OU ! C'est bien ET car c'est une explosion de type expansion telle que nous l'observons.

    La spéculation "singularité" initiale est applaudie par le Pape. Sommes nous en sciences ou en religion ?

    La causalité générale constatée du cosmos, dément le modèle standard ! Allez hop, une autre spéculation : l'inflation.

    La grande naïveté de Friedmann est d'appliquer la notion de courbure d'Einstein, à l'ergonomie de la Bulle-Univers. Si la relativité d'Einstein est bien réelle localement dans ses effets dus à la constance de c, son extension mathématique visant l'ergonomie de la Bulle-Univers, est une pure spéculation. Là encore, on confond explication et description !

    Les math sont là pour décrire APRES sur la base de l'explication donnée par l'approche physique. En faisant la démarche contraire, on en vient à spéculer à outrance ! Par exemple, appliquer le zéro absolu mathématique à la physique, au sujet de l'inertie ! Cette grossière erreur est la cause principale de l'énorme crise provoquée par la non confirmation des observations cosmologiques.

    Il y a par exemple : la singularité initiale ; l'accélération de l'expansion ; l'anisotropie d'expansion cosmique qui casse le très naïf "principe cosmologique" ; la matière noire majoritaire ; l'immense trou unique vers l'éridan... et bien d'autres démentis formels.

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