Origine mécanique de la charge élémentaire quantique (2)

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Voir  : modèle OSCAR, loi KOIDE-MAREAU,  SOMMAIRE , Les cinq clés de la physique, l'éclaté du modèle,  dualité du zéro

Sur le BEC-fossile, une paire de pôles délocalisés – devenue paire électron-positron –  fusionne sans s'annihiler car les potentiels L sont parallèles.


En revanche, la création locale (sans délocalisation comme le billet précédent) ne peut fusionner sans s'annihiler. Les potentiels subquantique L – déconnectés entre eux – ne peuvent assumer le retour à zéro (annihilation). 

Ci-après, le halo observé de la Galaxie a la rayon d'un BEC-étoile + le rayon de la partie visible soit 150 + 50 = 200 milles années-lumière.  



Commentaires

  1. Dominique MAREAU26 mai 2020 à 07:51

    L'animation montre une seule paire mais en réalité c'est 920 paires neutres qui émergent de la couche de rebroussement du BEC-fossile, pour former la partie neutre des neutron-protons.

    Ce nombre entier 1840 est cohérent avec ceux de toutes les particules composites (voir le lien Koide-Mareau). Ce nombre entier est l'arrondi de la variable d'ajustement existant entre les deux sources de mitose : 1835,36 = (α²)^(5+1) / ξ².

    S'agissant de la paire {e-p} : elle correspond au neutrino "électronique" éjectée par le neutron. Ce neutrino est le cousin (stable donc non local) du positronium (local donc instable).

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  2. LC26 mai 2020 à 10:42

    Je viens de voir les deux derniers articles et inutile de vous dire que j'aime bien cette approche où la charge devient un effet dans le quantique et n'a plus de raison d'être dans le subquantique !
    Chaque branche du BODYs est auto-porteur de son retour au point zéro, en parfaite symétrie avec son alter-ego de l'autre coté.

    La saturation a provoqué la séparation violente du couple ML sur la dernière couche, mais chaque entité a gardé un petit faible pour son partenaire. L par la gravitation et M par les forces électriques qui sont probablement issus de la même cause mais sous une forme différente (effet différent).

    A ce stade, il reste quand même la question de l'annihilation primordiale non complète (1/137, 036), qui a permis que nous soyons les témoins conscients de cet événement !

    Ensuite il restera à affiner/préciser ce qu'est la matière noire, ces enroulements M,L, qui n'arrivent pas à être parallèles (et potentiellement matière), ni opposés (et donc s'annihiler).

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  3. Dominique MAREAU27 mai 2020 à 17:01

    Oui toutes ces questions sont pertinentes ! Je travaille d'ailleurs sur l'une d'entre elles.

    Pour l'annihilation primordiale c'est en fait (1/137.036)² car les évènements sont en 2D.

    Je pense que la mitose fractale joue un rôle pour amortir et empêcher l'annihilation complète. Difficile d'en dire plus !

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