Réflexion sur l'existence d'un Body

  L'animation montre l'oscillation d'un  ℬody. La masse des pôles   augmente quand l'amplitude restant à parcourir ,  diminue.  Au départ M → 0 a pour miroir L → ∞ car ML = Cte.


Un lecteur assidu L.C, me pousse dans mes derniers retranchements sur la signification profonde des charges électriques. Je l'en remercie.

On a vu dans le détail combien l'option d'un néant statique fait d'un "zéro" absolu moniste, est naïve ! La dualité universelle commence par le zéro. Les "points zéros" du néant existent par le duel entre le zéro absolu non atteignable et le zéro relatif. Cette dualité se traduit par l'existence d'une infinité d'oscillateurs aléatoires appelés ℬodys [Boson Oscillateur, Dipolaire Yin (yang)] . Ces ℬodys aléatoires, manifestent un zéro non pas absolu mais relatif à leur parfaite symétrie.

Cette conception du ℬody repose sur le principe physique le plus canonique : la dualité du zéro dans la parfaite symétrie dipolaire. Tout "point zéro" du néant est le centre d'un oscillateur dipolaire dont la somme de ces composants est strictement nulle.

Chaque début de cycle aléatoire d'un pôle de ℬody répond à : ML = Cte. Il existe une infinité de solutions entre toute inertie M aussi petite que l'on veut et le zéro absolu La contrepartie (miroir) est une amplitude spatiale L aussi grande que M est petite. L ne peut-être infini car il annulerait l'oscillation garante d'une future évolution vers une Bulle-Univers tangible.

Le zéro absolu (et son miroir infini) est une notion mathématique pour dénombrer et dont le seul rôle en physique est celui d'attracteur impossible.  

La dualité du ℬody s'applique à son aspect dipolaire mais signifie également une dualité de type {confiné-global}. Le zéro relatif est au niveau du ℬody.  

Le dénombrement des "ℬodys = 0" peut donc être infini par l'absence de paramètres physiques apparents. Le néant est un immense brassage d'oscillateurs du zéro !

L'issue de la dualité quand {M → zéro absolu} trace une amplitude L à venir (comme une onde pilote). Cependant le maintient de l'intégrité du ℬody exige un retour des deux pôles au centre,  via une force devant croître selon F =f(D) ; D = L– !

Le couple miroir M.L correspond physiquement à L² ou M²

La force varie en 1/D² et reste donc constante (L²/ D² = 1). 

La charge = M.L reste constante comme la force F. Lors du retour, diminue comme D = L– .  La force accélère donc la vitesse v en 1/ D soit au point zéro en 1/D².

La densité des couches restent constante puisque varie en 1/D².

Le temps d'un quart de cycle est égal à T = D/v = constante.

Dans le confinement du pôle, la charge est le miroir de la masse M ou de la longueur L et donc Q² = ML = Cte.

Conclusions

- 1/ Le couple ML est indissociable et devrait avoir la même intensité numérique. Il fixe la charge et le temps

-2/ Le concept de signes (±) est symbolique. il juste le reflet de la circulation du sens relatif de L. Un BEC qui aurait tous les signes égaux du même côté serait de type énantiomère et ce n'est pas ce que l'on observe.       

-3/ La dualité s'applique à l'univers global composé d'une matrice stochastique contenant une Bulle-Univers synchronisée. Le passage de l'un à l'autre passent par la dualité entropique de type {désordre-ordre}.   

 Voir  : modèle OSCAR, loi KOIDE-MAREAUSOMMAIRE , Les cinq clés de la physique, l'éclaté du modèledualité du zéro

ℬody.ℒ = Cte ; 𝛼 = f(𝜉). 𝜉, n =1 à 5 :  lP ƛo ƛₑ ƛ₁ Rp RBEC ;𝜉 = 1,54×10¹¹ ; = mₑ ƛₑ²/ t     

Commentaires

  1. La forme employée évite l'expression différentielle en utilisant M et L comme origines et ℳ. et ℒ comme variables.

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  2. Pour raison de simplification, l''animation ne croise pas les couleurs au point zéro. C'est là que les vitesses qui se croisent, tendent vers l'infini pour ensuite ralentir jusqu'à c la "relative faible" vitesse de rebroussement.

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  3. LC n'est qu'un anonyme non scientifique qui cherche à comprendre le monde physique qui nous entoure et dont nous sommes faits. Comment ça marche? Pourquoi ça marche comme ça ? sont les deux seules questions qui attisent cette curiosité. Il faut essayer de rester dans la curiosité et ne pas se laisser entrainer par le besoin de comprendre, car sinon tous les travers deviennent possibles (interprétations, description sans explication, foi, raccourcis, rigidité...).

    Le modèle OSCAR fournit énormément de réponses aux curieux, toutes cohérentes entre elles, sans variables supplémentaires, car son approche est globale, notamment dans le recensement des questions: quelles sont toutes les énigmes? OSCAR réussit à toutes les relier entre elles avec un modèle abouti et crédible.

    Cependant, tant que la preuve expérimentale scientifique rigoureuse ne pourra pas démontrer tous les aspects d'un modèle, beaucoup resteront sceptiques face à ce modèle. Mais c'est aussi un piège, le modèle standard en est la preuve. Englué dans les limites de la localité de l'expérimentation et par l'immense dévotion aux connaissances léguées par leurs anciens (Bohr, Dirac, Compton, Laplace, Einstein, Eddingthon, Hawking...), les scientifiques du MS refusent implicitement qu'il puisse évoluer significativement pour sortir de la voie sans issue dans laquelle il est.

    La fragilité d'OSCAR, pour l'instant, me semble provenir de deux sérieux écueils:
    - le refus de la dualité de localité par beaucoup, dualité de localité qui est omniprésente dans OSCAR (blocage de la pensée humaine)
    - la très difficile explication du fonctionnement d'un BODY avec toutes les preuves scientifiques nécessaires, le BODY étant la réponse à TOUT pour OSCAR (blocage scientifique par la limite de la localité)

    Pour le reste, tout est limpide, expliqué, prédit.

    La piste du BODYs est excellente et prometteuse mais il est très difficile de prouver comment il fonctionne. Ainsi les interrogations, les doutes, les réserves, les critiques, perdureront.
    - Nature physique d'un BODYs? intrication M et L?
    - Cycle d'un BODYs stochastique (unique ou répétitif?)
    - Processus de synchronisation (par le brassage? par le zéro? par les deux?)
    - la cohérence de l'espace 3D + T est-elle réalisée par t (même référence de cycle?) ou par l? (même référence d'espace élémentaire)
    - et bien sûr : origine physique de la charge?

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    1. Oui c'est bien vu, les blocages courants viennent du refus de la dualité en général et de celle de la localité, en particulier.

      En 1927 Louis De Broglie propose la théorie de l'onde pilote. En 1952 David Bohm la développe. Les tenants de l'école de Copenhague (les psychorigides) l'ont fortement rejetée ! Ils ont notamment rejeté l'idée qu'il puissent y avoir des "variables cachées" dans un niveau subquantique. Pour cela ils s'appuient sur une déclaration de Bell !

      Il y a là un grave amalgame peu connu : ceux qui argumentent pour rejeter les variables cachées liées à l'onde pilote, s'appuient sur Bell (qui fait référence) qui a déclaré : "il n'y a pas de variables cachées .... LOCALES". Sauf qu'ils "oublient" de parler de la clé qu'est la LOCALITÉ ! Ils refusent d'envisager la dualité de localité !

      John Bell a regretté de n'avoir rien su de l'onde pilote ! Bien sûr qu'il n'y a pas de variables cachées locales puisque par définition, elles sont "non locale"s.

      En deux mots, l'onde pilote de Bohm est :

      1/ une entité physique et non un artifice mathématique.
      2/ Il existe des particules ayant des trajectoires bien définies.
      3/ la vitesse des particules varie en fonction inverse de la masse
      4/ cette particule agit au potentiel subquantique et quantique.

      Le modèle OSCAR s'inscrit dans la lignée De Broglie → Bohm → Bell avec une approche plus physique (la réalité) que mathématique (le vecteur de description de la réalité). Bohm dit qu'il n'y a pas "d'écroulement magique et mathématique de la fonction d'onde" (Schrödinger) mais une dualité de présence (locale et non locale) qui se replie physiquement sur elle-même dans un temps quasi nul.

      A cet égard, on retrouve un autre grave amalgame courant : les expériences d'ASPECT sont interprétées comme si la médiation entre les spins des particules écartées, était instantanée ! On accepte cette folie et on rejette une dualité de vitesses {quantique-subquantique} !

      Un mot sur la dualité : "localité- non localité". Cette expression est aisée mais elle laisse entendre une instantanéité. On devrait dire la dualité : localité (c) et localité (co) avec un ratio xi^2.

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  4. Sur ce dernier point, je n'arrive pas à passer à l'étape suivante de la validation.
    Vous évoquez vous même les mots "concepts", "symbolique", "convention" pour qualifier les signes. On est donc dans le domaine de la pensée humaine, pas dans celui de la physique.
    La notion de signe est utile et pertinente dans le confinement d'un BODY. Il y a bien une opposition vectorielle de deux mêmes entités.
    Mais il n'y a pas de référentiel commun pour étudier 2 BODYs, sauf éventuellement une origine commune, le point zéro.
    Imaginons le volume du point zéro commun et notamment sa surface 1D. Imaginons que les Bodys qui sortent du point zéro créent une bosse et que les BODYS qui reviennent créent un creux. Alors la surface du volume du point zéro est une alternance de creux et de bosses dans les deux dimensions de la surface. Si on prend un BODYs quelconque, alors s'il fait une bosse d'un coté (car il sort), alors de l'autre coté, il y aura également une bosse (symétrie oblige). C'est donc physiquement exactement la même chose. Je ne vois pas là l'explication de la charge qui elle, est bien réelle et opposée entre un électron et un positron. L'explication est donc ailleurs.
    Et c'est dans ce sens là, que j'avais émis l'idée que la charge venait plutôt du demi BODYs selon qu'il est dans sa phase montante ou descendante.
    Avec cette proposition d'alternance, le BEC est tout le temps en équilibre, étant constitué de BODYS alternés qui montent et qui descendent, alternativement.

    (remarque: j'ai cru comprendre que le volume du point zéro, qui augmente au fur et à mesure que des BODYs de synchronisent, représentait la zone dans laquelle nous passons au delà des valeurs minimales que ce sont les valeurs de Planck. Mais si on passe au delà, c'est qu'il y a encore autre chose ! Ce flou est flou).

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  5. Sur la charge électrique et les signes + & – : on peut effectivement dire que cela caractérise le "montant" et le "descendant". Mais cependant, le signe n'est relatif qu'à l'entité contraire qui se déplace en sens inverse. Il y a un L et un anti L que l'on peut nommer L & L'. Un pôle seul ne peut exister et donc la paire est constituée de deux parties contraires. Les positrons et électrons en sont la preuve physique. Il y a en effet une relation Body (L ↔ L') + une relation entre Bodys voisins (L ↔ L'). Dans les deux cas, il s'agit de la variation de M (dm).

    Quand un pôle M se déplace en "effaçant" son onde pilote L, il augmente son inertie d'autant, ce qui le freine. Ce freinage peut-être interprété comme induit par une charge électrique ! Mais cette composante ne prend une réalité qu'au niveau quantique.

    Quand un pôle M se déplace en "recréant" son onde pilote L, il diminue son inertie d'autant, ce qui l'accélère vers le point zéro. Cette accélération peut-être interprété comme induite par une charge électrique ! Mais cette composante ne prend une réalité qu'au niveau quantique.

    Dans les deux cas, "l'effacement" ou la "création" de L linéaire, se traduit par une réaction circulaire en lien avec dm. L'attraction du zéro absolu au point zéro, n'est pas la seule. Cette attraction concerne l'en-cours du pôle inertiel (variant) et ce qui l'entoure. On peut le dire autrement : si M = 1/L on a aussi µ = 1/M avec µ la vitesse de rotation. C'est l'application classique de la conservation du moment cinétique mais dans une corde 1D.

    Cette variation d'inertie induit une couronne d'influence autour de son onde 1D (ou corde). C'est le champ de LAPLACE. Donc deux pôles parallèles dont les "rotations" sont contraires, se repoussent. A cette échelle subquantique tout est mécanique !

    Quand les pôles sont "séparés" en fait "éloignés", chaque voisin cherche son "point zéro" pour s'effacer avec son alter ego. Il n'a aucun droit d'exister ! Mais les voisins de spins contraires trouvent un "point zéro" de substitution, en fusionnant entre eux. Les charges Q² = ML prennent leur signification quantique. Mais leur action à distance, (la médiation), passe forcément par les intervalles des pôles subquantiques. La médiation résulte de la déformation (mécanique) de loin en loin, des cordes subquantiques.

    La magie électromagnétique n'est qu'un effet des réactions mécaniques des Bodys !

    Dans le proton, la partie majoritaire est neutre et seul le spin du positron célibataire, apparait.

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  6. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

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  7. e prochain billet montrera comment L diminuant, s'enroule pour former M augmentant. Cela montre encore que ML = Cte mais en dit plus sur l'origine de l'oscillateur où le M est juste un enroulement de L . Ces deux entités n'en sont qu'une, mais sous deux formes différentes.

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