L'origine du BEC-fossile est bien visible
Huit observations – portant sur des critères physiques différents – indiquent que le modèle standard d'univers est faux. Par ailleurs, l'anomalie d'isotropie s'explique parfaitement avec une origine centrale de la Bulle-Univers, couplée avec une expansion en couches de vitesses.
1/ L'observation du trou de l'éridan : montre qu'il n'existe qu'un seul et unique immense trou représentant le centre. Sa distance et rayon, sont compatibles avec le modèle OSCAR.
1,8 Gyl de diamètre et distant de 7 Gyl
2/ Le spin des galaxies : plus on remonte dans le temps, plus les galaxies présentent un axe de rotation harmonisé, indiquant clairement une origine centrale commune.
3/ étude des amas galactiques : elle montre clairement une anisotropie d'expansion, d'environ 30%, compatible avec le modèle en couches de vitesses du modèle OSCAR.
4/ L'argument anti-centre ne tient plus : "la Bulle-Univers n'a pas de centre puisque nous, sans position privilégiée (au centre), observons l'isotropie de l'expansion" est démontré faux par le modèle en couches d'expansion à gradient de vitesses.
5/ Le gradient en couches d'expansion est consécutif à la mitose fractale du BEC fossile observé en (1). Les 5 étapes amènent une échelle des vitesses de 0 à 5c.
6/ Collisions de galaxies et matière noire : les collisions de galaxies et d'amas, sont des recouvrements partiels relatifs aux séparations angulaires d'origine. Elles sont toujours accompagnées de matière noire qui est le résultat d'une annihilation partielle en fonction des angles relatifs originels sur le BEC fossile. C'est une dégénérescence des paires élémentaires qui ne permet plus l'harmonie des constructions atomiques composites de la matière ordinaire. Si les paires élémentaires sont des briques, la matière noire est sous forme de gravats avec lesquels, rien ne peut être édifié. La température d'un amas est cohérente avec sa taille et donc avec l'angle relatif d'origine et la température de l'électron.
7/ Observation du ratio Coulomb/Gravitation : chacun peut vérifier que ce ratio essentiel : a) concerne la paire électron-positron ; b) indique le nombre 1D de paires électron-positrons sur le BEC-fossile et que son carré (2D ) correspond à la masse estimée (3×10^54 kg) de la Bulle-Univers, en tenant compte du volume 14 fois plus grand car le rayon moyen est 2,4 fois plus grand à cause de la vitesse moyenne à 2,4 c.
8/ Le rayon du halo de la Galaxie : est observé à la taille déduite du point (7) soit la somme : 150 000 + 50 000 = 200 000 années-lumières. En effet, le halo est un enchevêtrement serré de BEC-étoiles dont les centres sont décalés du rayon de la Galaxie. Il y a un amalgame entre le contenant et le contenu. Le contenu du halo est bien de la matière noire qui (peu couplée) migre vers l'extérieur du halo. Le contenant est l'enchevêtrement serré de BECs. Il se distingue des enchevêtrement lâches de BECs, qui matérialisent l'espace intergalactique. Ce dernier s'étire par déchevêtrement alors que le halo doté d'un fort couplage, ne participe pas à l'expansion.
Le halo en bleu représente un enchevêtrement
serré de xi BECs soit R = 200 000 années-lumières
Je vais revenir en détail sur l'observation de la température qui règne à l'intérieur des amas de galaxies. Il y a une relation claire entre le diamètre de l'amas (d'où l'on tire le ratio d'angle d'origine sur le BEC-fossile) et le ratio de température avec l'électron (5.96×10^9 K). C'est encore un fort indice concordant !
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