Les 5 preuves indiscutables du BEC-fossile

L'animation (lente) à suivre, représente l'émergence sur l'aire du BEC-fossile, des pôles de Bodys séparés. Ils deviennent ainsi des paires électron-positrons qui représentent les masses élémentaires de toutes les particules composites.

Situation du problème

Le modèle standard ne peut décrire et encore moins expliquer ce qui précède à l'expansion de la Bulle-Univers. Il évoque une mystérieuse "singularité" en essayant de transformer un effet (non compris) en cause (indétermination quantique, non comprise également). Par ailleurs, un problème ardu de causalité de l'ensemble, s'est fait jour. Alors – n'étant plus à une spéculation près – on a inventé la fameuse "inflation" qui aurait permit de tout rendre causalement relié. Le modèle standard se persuade que "tout est compris" jusqu'à la limite de Planck.... C'est faux !
   
Cliquez sur l'image (animation à rythme lent)

Le modèle OSCAR explique pourquoi il existe une matrice stochastique d'univers permanent, composé d'une infinité de Bodys à strict zéro M,L,T ! On a vu pourquoi cet état à haute entropie du désordre, est voué à synchroniser un lot de Bodys formant un BEC. On a vu pourquoi ce BEC – arrivé à saturation – a déclenché une mitose fractale pour se subdiviser en 2 × xi^8 BEC-étoiles. A cette approche inducto-déductive, il faut ajouter des preuves indiscutables !

Preuve n°1 : Les estimations courantes des masses de la Bulle-Univers, sont compatibles avec le modèle :
Cliquez sur l'image


Preuve n°2 : Pour une paire élémentaire {électron-positron}, le ratio entre la force coulombienne et gravitationnelle confirme précisément le nombre 1D de paires présentes sur le demi périmètre du BEC :
Cela signifie clairement que le gradient de force coulombienne représente la mémoire des liaisons initiales des Bodys. A terme, ses forces doivent annihiler la matière qui n'a pas de justification d'exister.
 
Preuve n°3 : La mitose fractale crée un gradient de vitesse d'expansion (0 à 5c) avec une attraction vers la moyenne (2,5 c) qui accélère la partie inférieure comme constaté.

Preuve n°4 : La preuve 2 implique que les collisions de galaxies annihilent partiellement en cassant l'intégrité des masses élémentaires. C'est la matière noire, toujours bien observée dans les collisions. A terme toutes les masses disparaissent.

Preuve n°5 : on observe vers l'éridan, un immense trou qui a la taille attendu du BEC-fossile. Sa distance estimée confirme notre position à 7 Gyl du BEC, soit  une intensité d'expansion à 0,5 c, donc en dessous de la moyenne (2,5 c) ce qui justifie l'accélération d'expansion.      
           

Commentaires

  1. bravo dominique ! vous vous attachez a mieux détacher et expliciter les differentes preuves et éclairer plus pedagogiquement le modèle OSCAR ..VENEZ AVEC MOI SUR LE GROUPE PHYSIQUE THEORIQUE ...ILS NE NOUS CENSURENT PAS TANT QUE NOUS RESTONS CLAIRS ET.....ET CALMES!!!!

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  2. Merci ! Je veux bien vous rejoindre si vous me donnez l'adresse exacte de ce groupe.

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  3. La représentation des hydrogènes atomiques est très symbolique car en réalité l'électron est bien plus grand que le proton selon la règle ML = Cte.

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  4. je suis un adepte du modèle OSCAR que je cherche à mieux maitriser à travers mes remarques /questions:
    3 remarques:
    - 1 Entropie: "la matrice univers est à haute entropie". C'est même une entropie infinie!
    Mais cela me titille un peu de parler d'une entropie d'un ensemble qui n'en est pas un. Chaque Boson stochastique est individuel et n'existe que dans son confinement. Les autres Bosons ne sont pas dans sa réalité physique de boson, ni dans son voisinage car la notion de voisinage sous entend une notion d'espace (au moins 3D). Finalement l'entropie d'un boson est minimale (voire nulle?). Le seul point commun physique à tous ces bosons est le zéro relatif, sans réalité spatiale définie (partout et nulle part), mais juste une réalité d'état.
    Quand le BEC est synchronisé, l'entropie du BEC est également minimale mais avec des milliards de milliards de constituants identiques. Finalement l'entropie n'a jamais beaucoup évoluée jusqu'à la saturation/expansion qui marque le début de l'augmentation de l'entropie. Ce qui est incompatible avec une matrice univers sans entropie d'ensemble !

    2. Energie: la saturation/mitose/expansion a nécessité une énergie colossale. La contrepartie de cette énergie appartient-elle au sudquantique (via les perturbations) ou au quantique, monde de la matière? la réponse est certainement les deux car il s'agit de la même cause mais avec deux effets différents selon la nature de l'observation.

    3. Sémantique sur le mot "preuve": toutes les observations récentes confirment que la piste OSCAR est excellente. Est-ce que cela prouve pour autant que le modèle OSCAR est la transcription exacte de la physique de l'univers?
    d'une part, si ce sont de preuves, pourquoi les autres physiciens/cosmologues/astronomes ne se reconnaissent-ils pas dans ce modèle?
    d'autre part, qu'elle pourrait être LA preuve irréfutable que le modèle OSCAR est le bon?

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  5. Ce type d'entropie (Boltzmann) – de nature statistique – doit se voir comme une sorte de brassage où la probabilité de fusion-synchronisation est très faible mais non nulle. Donc elle n'est pas infinie. En fait, la non connexité n'est pas infinie puisque la connexité arrive à ses fins.

    Le niveau d'entropie est également en fonction du nombre d"éléments synchronisés. A ce titre, l'entropie continue de diminuer dans le flux, jusqu'à la saturation.

    Le flux de synchrornisation (c'est un refroidissement) revient à une énergie négative accumulée. Sa libération par mitose voit grimper son entropie jusqu'à atteindre l'état de la matrice stochastique.

    Il faudra que je traite du cycle de l'énergie mais en gros il est le suivant : le Bodys stochastique vaut zéro M,L,T mais seulement via sa somme algébrique. Cette somme passe par la médiation du produit : Force coulombienne × par temps {te}. Ce produit est de genre "impulsion". C'est la même chose pour la Bulle-Univers via sa force gravitationnelle × le temps {tu}. Les deux produits donne la même constante ! La Bulle Univers se traite comme un Bodys multiple.

    De cela on doit dire que l'entropie statistique de Boltzmann se transforme en une entropie énergétique et vice et versa.

    sémantique des preuves. Il y a plusieurs niveaux chez OSCAR qui donne des dizaines d'indices concordants entre les explications inducto-déductives et l'observation. Mais au-delà il y a les véritables preuves comme par exemple le ratio Coulomb/gravitation (xi^4) qui se vérifie avec les ratios Planck/électron, le nombre d'étoiles, le nombre de galaxies et le taux qui découle du taux de mitose. On a la preuve qu'une expansion avec gradient de vitesse, offre à toutes les coordonnées internes, l'isotropie de l'expansion.

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  6. Dans le billet précédent, je montrais que l'argument standard de type :

    "pour observer l'isotropie dans une univers euclidien, il faudrait occuper la place privilégiée du centre ce qui ne peut exister".

    Ce faux argument est (encore) donné comme une preuve....

    Pourquoi les preuves OSCAR ne sont pas (encore) intégrées dans le MS ? Comme dit Olivier peut-être que je commence seulement maintenant à être clair. Mais l'histoire regorge d'exemples où une bonne idée est boudée. Il y a par exemple :

    - Boltzmann dont on s'est moqué pour sa proposition d'entropie non matérielle,
    - la théorie de Bohm que Bell a regretté (tard dans sa vie) de ne pas avoir approfondie)
    - la 5eme dimension de KLEIN
    - la dualité onde-corpuscule qui a mis des dizaines d'années avant d'être admise via l'expérience.
    - etc....
    Le dernier exemple est typique car il inclut la clé "dualité" qui passe aussi mal que le niveau subquantique !

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