Mitose → expansion→ collisions → matière noire→ annihilation complète

Le titre résume le déroulement logico-déductif de la dualité {Matrice-Univers ↔ Bulle-Univers}.

Situation du problème
Des équipes de chercheurs – à grand renfort d'astuces technologiques – réussissent à nous fournir de précieuses observations sur la Bulle-Univers. Elles viennent souvent soit contredire le modèle standard, soit soulever de nouvelles énigmes. Comme le modèle standard n'a pas de scénario physique du début de Bulle-Univers (sauf à croire à la chimère de la "singularité" initiale), il ne peut procéder à un raisonnement logico-déductif pour en déduire les conséquences observables. L'observation d'un amas ayant près de 13 Gyl remet en question le modèle standard qui considérait que ces derniers se constituait par lente accrétion.    En revanche, le modèle OSCAR indique clairement que les amas sont présents sur le BEC-fossile.  Selon les conséquences naturelles de la mitose fractale du BEC-fossile (observable), le modèle OSCAR se trouve en parfait accord avec tout ce qui est observé ! Les énigmes deviennent des confirmations ! Ainsi la matière noire est attendue dans le cadre de la séparation angulaire des paires élémentaires (électron-positrons) présentes sur l'aire du BEC-fossile. Elles sont d'ex-pôles de Bodys dont l'annihilation serait à 100% pour une rencontre entre vis à vis à 180°. Ainsi, lors de l'expansion, des belligérants entrants en collision, forment un angle relatif qui signe le taux de dégénérescence par annihilation. C'est cette dégénérescence qui crée la matière noire sous forme d'un spectre de masses de type gravats. Cela est contraire à l'idée de lui fixer une masse particulière.     
           
cliquez sur l'image : à gauche un amas et à droite deux galaxies amenées à entrer en collision

Température de l'électron : l'annihilation entre un électron et un positron émet une température de Te = 6×10^9 K (six milliards de kelvins). C'est la température qui serait produite si des masses séparées d'un angle de 180° (à l'opposé) se rencontraient. C'est quasiment impossible sauf en laboratoire où l'on sait créer localement des paires qui s'annihilent ensuite.

Notre distance du BEC fossile : de 7 Gyl elle est également proche de celles des amas locaux. Cette couche d'expansion est à ~0,5 c et donc l'âge est bien de l'ordre de 14 milliards d'années.  

Les amas de galaxies : certains sont assez étendus dans l'espace pour représenter un angle significatif susceptible d'avoir en son sein, des collisions entre galaxies qui devraient donc émettre une température relatives à cet angle. La moyenne locale des amas observés, a un diamètre de D = 20 Myl . Or à quelques millions d'années-lumière, ils ont sensiblement le même éloignement que nous du BEC-fossile (éridan) soit : R(t) = 7 Gyl.

La température moyenne : en appliquant le ratio angulaire, on retrouve bien la température qui est observée dans un amas moyen.  

    

Les collisions de galaxies sont toujours accompagnées de nuage de matière noire.   


Le modèle standard cherche à expliquer cette température par l'énergie cinétique via le théorème du viriel. Ce calcul sur l'amas du Coma est tronqué car si les équations sont effectivement justes, les datas sont faux ! En effet, en page 25 le bilan des masses donne : gaz : 11% ;  étoiles : 2% et la matière noire  87% de la masse totale. En réalité  la masse visible (13%) est plus 70 fois plus faible que la masse totale. Ainsi le calcul du viriel corrigé,  donne plutôt une température qui n'explique au mieux que 10% de la température observée ! Les 90% autres sont relatifs à la création continue de masse noire par annihilation partielle (dégénérescence) . 

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