La supercherie du Boson de Higgs
Depuis le début du siècle dernier, on a cherché désespérément la cause de la masse du proton !
Puis, découvrant la présence de "points durs" au sein du proton, on a considéré que la masse (1836 électrons) venait des quarks. Déjà à ce stade on a éludé le fait que cela ne faisait que reporter le problème de la cause de la masse ...
Plus tard on s'est rendu compte que les quarks "n'expliquaient" que quelques pourcents de la masse du proton. Alors la question a été à nouveau posée avec insistance.
Par ailleurs la force faible montrait que les transformations de type neutron → proton, généraient une extraction (d'où ?) d'une masse fugitive (boson W). On s'est caché derrière le principe d'incertitude qui accorde une grande masse à un temps court. Si ce principe est effectivement vrai, il ne peut absolument pas transformer une masse fugitive en une masse constante.
Alors monsieur Higgs a imaginé que des collisions énergétiques de protons pouvait extraire un boson H encore plus massique que le W.
Après tant d'échecs pour trouver une piste expliquant la masse du proton, on s'est mis dans la tête que si on découvrait H alors cela serait la fameuse explication de la masse du proton .....
Or cette furtive extraction a été expérimentée positivement et ce fut la joie. Mais a-t-on réellement trouvé l'explication de la masse constante du proton ? Que nenni ! Il y a là un très grave amalgame.
En revanche cela a confirmé qu'il existe un maillage subquantique qui, une fois perturbé, émet un pic de masse relatif au niveau de cette perturbation et ce, dans le cadre universel de M.L = Cte.
En fait, la masse constante du proton provient majoritairement des paires électron-positrons stables, confinées en son sein. Un positron célibataire fixe précisément la charge du proton. Alors on pourrait dire : "mais là également on ne fait que repousser le problème de la cause !" .
Et bien non car le modèle indique clairement qu'à l'origine, les pôles d'une partie des oscillateurs dipolaires ont été délocalisés (séparés) ce qui a annulé l'annulation (SIC) de leurs masses. Et le modèle justifie clairement l'obligation de masse des pôles, mais annulée dans le cadre du confinement des Bodys (voir impulsion de DIRAC) .
Voir : modèle OSCAR, loi KOIDE-MAREAU, SOMMAIRE , Les cinq clés de la physique, l'éclaté du modèle, dualité du zéro
On retrouve la limite des "experts" également dans le cadre politique où certains s'appuient en permanence sur des rapports d'experts ! Outre le fait qu'il serait honnête de prendre la moyenne des différentes études et non celle qui est favorable à l'idée défendue, il reste que la géopolitique est une science où les lois physiques doivent s'appliquer.
RépondreSupprimerIl y a notamment le fort principe de dualité de localité qui est souvent battu en brèche. On raisonne souvent localement sans prendre en compte les interactions avec le monde global. Cela ressemble étrangement à l'approche de beaucoup de physiciens qui éludent la dualité de localité sans laquelle on ne peut rien comprendre.