Pourquoi quelque chose plutôt que rien ?
La notion d'existence est et a toujours été le résultat d'une lutte, d'un duel. La première dualité est celle des types de zéro. En physique, le zéro mathématique (à caractère absolu) est un attracteur impossible. Il faut lui opposer le zéro physique né du fondamental principe de symétrie. Une déclinaison de l'impulsion de Dirac, met en lumière la dualité fondamentale entre deux impossibilités : le zéro inertie physique et le zéro mathématique. On ne peut répondre à cette question que si on a pris conscience (voir Christian Magnan) de l'incompatibilité du zéro mathématique avec les paramètres physiques.
Voir : modèle OSCAR, loi KOIDE-MAREAU, SOMMAIRE , Les cinq clés de la physique, l'éclaté du modèle, dualité du zéro
A l'image des bases physiques de la Matrice-Univers, la notion d'existence résulte toujours de duel, lutte, combat dans le cadre d'une recherche naturelle de symétrie.
RépondreSupprimer2 sujets d'interrogations:
RépondreSupprimer1/ Dans le couple ML d'un Bodys, l'aspect L, comme étalement spatial, nous parait relativement évident. Mais qu'est ce qui nous permet de caractériser le M comme de la masse ou de l'inertie?
Si on applique le principe de symétrie, alors la dualité de l'espace ne devrait-elle pas être de même nature, c'est à dire de l'espace, sous forme de "dette" ou de déphasage? Ou voir cela comme une oscillation entre deux états d'espace non justifiables (L=0 impossible, tout comme L>0)?
C'est notre approche macro et notre vision matière qui nous conduit à voir de la masse. Mais cette masse ne pourrait-elle pas être une interprétation humaine qui constate un effet et qui le prolonge en cause?
C'est la séparation des Bodys qui a permis de maintenir dans le temps l'apparence de paramètres ou de particules, en séparant deux entités normalement indissociables, l'un étant le reflet de l'autre.
Si une entité, injustifiée, s'étend spatialement, il y a forcément une dette spatiale qui se créé., mais sous quelle forme?
2/ La limite physique de l'extension spatiale de la bulle univers, repousse t-elle d'autant la matrice stochastique?
2.1/ Si c'est le cas, cela veut dire que la bulle univers en extension a une influence sur la matrice stochastique et que cette bulle n'est donc pas invisible de la matrice. La bulle n'est donc pas un "trou noir", mais une baisse locale de l'entropie, comme une sorte d'anomalie.
2.2/ Si ce n'est pas le cas, cela veut dire qu'il y a superposition de la bulle univers et de la matrice stochastique, et qu'il n'y a donc pas d'effet de bord et/ou de dilution. C'est comme si la bulle univers avait sa propre existence, indépendamment de la matrice stochastique.
Il semble qu'aucune des 2 propositions ne soit complètement satisfaisante. il devrait donc y avoir une troisième proposition, certainement, plus duale, plus symétrique.
1/ Le concept fondamental d'inertie M dans un oscillateur, a effectivement comme pendant l'amplitude L. L'inertie M est juste l'existence d'un effet retard sur un parcours L.
RépondreSupprimerM et L sont deux faces de la même entité ML = Cte. Elle se traduit par me.le / c = h (la constante de Planck et {me} la masse électron et {le} son rayon de Compton. Le crédit spatial diminue au fur et à mesure que M augmente.
2/ Effectivement elle s'inclut en son sein.
2/1 La Matrice ne peut être vue depuis la Bulle car c'est un trou noir sauf pour le vide de l'éridan.
2/2 l'influence Matrice → Bulle est effective par son apport d'entropie de désordre. Elle l'amène à la dilution à terme. Le phénomène d'influence a été déterminant pour construire le BEC avec une probabilité extrêmement faible pour un "volume" petit. Mais la mitose en agrandissant le volume, s'expose sans alternative à l'influence entropique de désordre.
La symétrie dont vous parlez concerne la dualité entropique sensible aux critères de "volume" et de probabilité, tout comme pour les chaînes de Markov. Cela marche dans les deux sens et c'est ce qui ferme le cycle évitant ainsi l'aporie de l'infini.
En terme de "dette" la séparation faisant matière, se rembourse avec effet retard dans le mode stochastique. C'est la contrepartie des petites Bulles d'ordres dans le grand désordre généralisé.