Les 4 types de particules composites

Le modèle standard pose une dichotomie entre les leptons (sans quark) et les hadrons (avec quarks). Nous montrons ici pourquoi cette dichotomie a semblé raisonnable à l'aune des expériences locales. Nous montrons ci-après les subtilités qui font que cette dichotomie est infondée :

a) les quarks ne sont pas des particules constitutives mais induites, au sein des hadrons. Le MS a négligé de poser cette question qui est pourtant prudente et légitime. 

b) La question du choix {induit / constitutif} a été initialement éludée à cause de la motivation à trouver à tout prix, une base pour composer la masse (stable) du proton. 

c) Par la suite on a vu l'instabilité des quarks hors de leur confinement hadronique. Cette expérience indique clairement que s'ils étaient constitutifs, ils resteraient stables à l'état libre.  Ils sont donc  induits dans le confinement des hadrons, par les oscillations des intervalles polarisés, séparant les couches neutres.  Voir ce tableau qui montre l'origine commune entre tous les quarks et les bosons de jauge.   

d) La possibilité d'avoir des hadrons composés de paires électron-positrons a été rejetée par Fermi car il a montré localement que les fermions ne peuvent cohabiter comme les bosons. De plus toutes les réactions émettant des positrons, montrent que ces derniers s'annihilent dès qu'ils rencontrent un électron. Mais là encore on a éludé la dualité de localité ! Il y a également une localité interne au noyau et une localité externe.  L'instabilité liée à la loi de Fermi ne concerne que les paires créées localement (muon, tauon, proton/antiproton, etc ...) !  Il est facile de constater que le proton "naturel" est stable. Alors que c'est la seule particule composite stable, le MS la place indistinctement dans la même famille des nombreuses particules instables. La vraie dichotomie est de type {stable/instable} car elle signe la dualité de localité concernant l'opération de création.    

e) Les doutes du  point "d" sont renforcés par le fait qu'on ne voit jamais de positrons stables !  En fait lors de la création originelle, non locale et symétrique, il s'est produit une polarisation entre les neutrons et le niveau subquantique, formant l'espace-temps. Cette polarisation s'explique par l'asymétrie géométrique naturelle induite par l'empilage en couches sphériques. Le couplage subquantique 1D (au centre) est différent du couplage quantique 2D, en périphérie ! Le positron, élément de la paire neutre confinée dans le neutron, s'est aléatoirement placé vers le centre. A l'instant de la délocalisation, où tout est encore causalement lié, cette disposition a été généralisée. Ainsi le neutron ne peut émettre que son  électron célibataire, en devenant proton. Les seuls positrons émis sont issus d'une création – de type local – d'une paire, au sein des nucléons. L'électron paritaire, restant alors au sein de l'atome concerné.  Voir l'exemple du fluor qui émet des positrons.         

f) La loi élargie de Koide montre clairement que toutes les particules composites sont formée de paires électron-positrons. Si la création est locale, la particule composite est instable et si la création est non locale, la particule composite est stable (le proton seulement). 

g) le tableau ci-joint, montre que le tauon vient également démentir la dichotomie imposée par le MS car, selon les cas, il se désintègre en hadron ou en lepton. On voit également que le nombre de quarks dépend du nombre de groupes, objet d'une division entière. Le modèle standard – construit sur des effets – est compliqué car il ignore les causes.              


Commentaires

  1. En fait la famille des leptons composites (purs et non neutres) se limite au muon car le tauon est hybride. Les neutrinos sont des cousins des dipôles subquantiques car ils sont constitués de deux pôles chargés et opposés qui annulent les charges et masses.

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  2. Bonsoir Mr Mareau,
    je rattrape un peu mon retard suite à quelques jours d'absence.

    1. On se demande toujours ce que le modèle STD va inventer pour réussir à ne pas perdre la face devant de nouvelles découvertes qui pourraient le remettre en cause !
    Heureusement il y a OSCAR qui donne une version crédible et pertinente de l'univers. Merci.
    Cela permet de combler les frustrations engendrées par les réponses bien vagues des professeurs de l'éducation nationale ou des "chercheurs" englués dans le modèle STD.
    Cela ne remet pas en cause le talent des grands anciens du début du XIXieme, mais il faut avancer...

    2. j'ai été surpris de voir que la taille maxi de l'univers sera plutôt 300 GLY plutôt que 200 GLY, car ce résultat était donné par plusieurs voies, dont celle d'Eddington.

    3. Dans l'ensemble de la bulle univers, la réparation de la matière "normale" ne doit pas être très isotrope. En effet, dans les couches très en avance, il n'a pas dû y avoir beaucoup de collisions. Il doit donc y avoir beaucoup de matière ordinaire et moins de matière noire. En revanche, dans les couches moins en avance, les collisions ont du être nombreuses.
    Est-il possible d'avoir une répartition grossière matière noire/matière ordinaire dans la bulle univers?

    4. trou de l'Eridan: Cet "espace vide" serait le reste du BEC géniteur qui continue son expansion. Mais il représente la couche la plus en retard. Peut être autour de lui, le tore n'a pas été trop touché par les collisions. De quoi est composé le trou de l'Eridan? Fait-il partie de notre bulle univers, ou bien, est-ce déjà l'univers stochastique qui reprend ses droits par l'intérieur, et qui à terme rejoindra le bord le plus en avance ?

    5. L'idée que la stabilité de la matière vient de la synergie entre matière et anti matière via les e+ et les e- est très séduisante. Cela permet de ne pas se poser la question: mais où est passé l'anti matière? puisque l'équilibre (symétrie) est omniprésente, partout.

    6. Dans OSCAR on parle beaucoup de M, L, T, e, v, champ magnétique... mais un peu moins de la température. On voit souvent la température comme un effet, ou une conséquence de l'agitation des atomes/particules. Mais pourrait-elle représenter la cause de l'agitation des atomes, comme "fourniture" d'énergie à l'agitation? ou bien faut-il voir les deux en même temps?

    7. Y a t-il un lien entre température et information?
    Comment se représenter simplement ce qu'est une information?
    je comprends qu'un boson dual stochastique possède une information, il y en a donc une infinité d'informations dans l'univers stochastique. "Localement", il y a une réduction du nombre d'informations à travers la synchronisation. Est-ce à peu près cela?
    Combien d'informations contient alors un BEC synchronisé?
    Après la saturation/séparation, combien y en a t-il?

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  3. Bonjour LC,

    1/ pour illustrer ce propos on voit souvent des livres de "pédagogues" qui expliquent la puissance mathématique par exemple : 10^8. Au lieu de dire simplement que ^8 veut 8 zéros après le "1" ces "pédagogues" écrivent 100000000 (!). J'en ai même vu un qui pour 10^27, écrivait à la suite les 27 zéros..... Pourquoi faire simple quand on peut compliquer !

    2/ oui j'ai dit en commentaire que j'avais corrigé un coefficient. En fait ce qui est important, c'est plus l'occurrence obtenue par plusieurs voies physiques que le coefficient.

    3/ j'ai montré ici :
    https://sciencesetuniverspourtous.blogspot.com/2018/10/amplitude-maximale-de-la-bulle-univers.html
    que la densité actuelle de photon était 10 fois plus grande que celle à terme. C'est une indication grossière de la perte de densité avec le rayon.

    4/ le trou de l'éridan est en effet en train de se vider (DM + V) par la pseudo élasticité générée par le glissement des BECs enchevêtrés. Je rappelle que ce type d'expansion conserve les intervalles quantiques élémentaires qui garantissent la vitesse c.

    5/ Ok

    6/ Selon Maxwells - Boltzmann, l'énergie E est proportionnelle à e^−(ΔE / kT). Le produit kT est de l'énergie et par exemple la température relative à la masse de l'électron, vaut ~10^9 kelvins.

    7/ Oui il in y a un lien entre température (entropie, agitation) et information (coordonnées relatives, fréquence). Dans le BEC (originel avant mitose), il n'existe qu'une seule fréquence et les coordonnées relatives sont les plus simples possibles dans une répartition sphérique homogène.
    Ensuite, quand la matière existe (par délocalisation des pôles de chaque dipôles de la couche externe) ses couplages (même statique) viennent perturber la belle symétrie. De plus, tous les effets dynamiques (changement d'état, vitesse, collisions, ... etc) sont autant d'informations nouvelles qui vont dans le sens d'un retour progressif à l'état stochastique.

    D'un point de vue macroscopique la température est liée à l'effet "chaleur".
    D'un pont de vue quantique la température est liée à l'agitation (interne et externe) et à la chaleur
    D'un point de vue subquantique stochastique la température est liée à la seule information car l'agitation dipolaire ne génère aucune chaleur. Avec les perturbations, le "vide" est "agité" et à cause des particules virtuelles, on arrive pas vraiment à mettre les particules au zéro absolu.

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