Nombre 5 de la mitose de la Bulle-Univers

- Sceptique : pourquoi le nombre d'Or (√5+1)/2 = 1,618, n'est pas le nombre clé de la Bulle-Univers en cours, sachant que ses proportions nous paraissent élégantes ?  

- Typiquement, une mitose est relative à la suite de Fibonacci mais elle ne tend pas forcément vers l'infini (1,618). Si on parle en terme de BEC-étoiles alors elle s'est limitée 5+1 étapes (1-1, 2, 3, 5, 8). Ce nombre : 8/5 = 1,6 est assez proche de 1,618. En revanche, si on considère les déclinaisons physiques sur les particules, alors ce nombre est atteint avec la complexité du vivant qui poursuit la voie de la mitose. 

- Sceptique : pourquoi 5+1 et pas 6 ?

- La saturation de la couche externe, a induit un phénomène paradoxal : le début de mitose a provoqué la séparation des dipôles. La délocalisation des pôles (+/) les rend autonomes et ils apparaissent sous la forme électron-positrons alternés et trop serrés. Cela provoque une annihilation majoritaire qui est la première étape d'agrandissement des intervalles.C'est le déclenchement de la mitose en 5 étapes supplémentaires.

- Sceptique : dans la suite de Fibonacci on a alors : 1 puis 5 étapes : 1, 2 ,3, 5, 8 ?

- Oui et il faut absolument que les signatures aléatoires (𝛼⁺¹ et 𝜉²) convergent. C'est cette variable d'ajustement (1835,26) qui force au groupement en neutron. Ces groupements augmentent les intervalles afin que les deux signatures convergent. 

- Sceptique : mais dans les puits de jauge (3D), pourquoi la variable d'ajustement est bien plus faible (1.00048)  ?

- Elle vient juste en complément de la première. Elle est le ratio entre le nombre brut (1835.26) et le nombre mesuré en unité "électron habillé", soit 1836.15 du proton. 

- Sceptique : la troisième relation du tableau, dit que le franchissement de la barrière de potentiel par l'électron éjecté, nécessite un "pompage" subquantique qui dure 880 secondes ! Cependant on a vu que pour l'annihilation du positronium le temps était ~ 𝜉 fois plus court ! Pourquoi ? 

- Dans le cas du positronium ce n'est pas la masse qui franchit la barrière mais l'échange de localité de sa composante charge.  

- Sceptique : dans la troisième relation du tableau, comment le nombre aléatoire 𝜉² pourrait-être prétendre une occurrence numérique aussi précise (k = 1,0005042) avec 2⁵ ?

- Le tableau montre qu'en multipliant  𝜉² par 10¹¹ l'occurrence serait limitée à 1,5 !  La formule proposée pour k implique une troisième  variable fine d'ajustement via les taux d'habillage soit : 1.0036 pour le neutron et 1.0031 pour le proton. Le neutron et le proton ont la même variable d'ajustement primordiale soit : 1835,26. Ensuite le neutron possède 1842 unités nues et sa mesure est donnée à 1838,72 (l'unité est en électron habillé). Il a donc un premier taux : 1842/1838,72 = 1.00178 et un second  taux d'habillage : 1842/ 1835,26 = 1,00367. Pour le proton on a : 1841/1835,26 = 1,0031 et 1841/1836,15 = 1,00048. Pour ce couple, on a donc : 6 mesures différentes et 4 taux d'habillage différents. Toutes ces valeurs sont par essence, des variables d'ajustement servant à faire converger les deux signatures non concordantes de la mitose. 

- Sceptique : si j'ai bien compris, la signature 𝛼 (taux annihilation), est : a) le déclencheur de la mitose ; b)  la fixation des étapes de mitose (modulo 𝛼) ; c) le premier acte d'agrandissement d'intervalle. Or le taux de mitose était déjà potentiellement fixé à 𝜉² (2D) soit 𝜉 (1D) qui est le ratio d'isotropie d'intervalle, nécessaire à l'équilibre du BEC. Entre les deux valeurs aléatoires, il fallait une variable d'ajustement pour harmoniser les intervalles sur la couche 2D. Est-ce bien cela qui explique l'existence de la seule particule composite stable, le proton ?

- Oui ! Mais il reste cependant un doute concernant l'influence des 𝝃⁸ dipôles sur le taux 𝛼. En effet : 5/4 ln(𝝃⁸) = 1,88 𝛼. Cela pourrait trahir la propagation des dit/dt, chez les dipôles voisins. L'amortissement de cet effet s'arrêterait à ce taux d'annihilation. Cela expliquerait la faiblesse numérique de certaines variables d'ajustement. Par exemple : Po = f(𝛼¹²) serait réduit à ~1, ramené à la puissance 1/12 et divisé par 5/4 ! Cela irait dans le sens de diminuer la part de l'aléa en donnant le leadership à 𝝃

       

  

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