La mitose biologique est le reflet du Big Bang

- Sceptique : le modèle Oscar est basé sur la mitose du BEC-fossile induite par la saturation de sa couche externe. Or on sait que la mitose du Big-Bang, suit la  loi de Fibonacci, limitée (1 à 8). Est-ce à dire que la mitose biologique imite l'univers ?

- Par définition tout ce que l'on peut observer est forcément une déclinaison de la synchronisation en BEC, initiant la Bulle-Univers. Ainsi il existe deux conditions initiales à la vie : a) la synchronisation ; b) la saturation-mitose. La synchronisation est la clé pour lutter contre l'entropie de désordre extérieure et la mitose est la clé de la duplication. C'est exactement le processus du BEC-initial. L'entropie maximale est devenue  minimale dans le BEC ! C'est ce qui l'a "nourri" jusqu'à saturation, provoquant la mitose.    

- Sceptique : l'article précédent indique que la dualité initiale (2) induit les nombres (5 et 8) et par voie de conséquence la suite de Fibonacci, limitée à 8. Mais comment cela a-t-il pu agir sur la morphologie humaine, des coquillages, des galaxies, des mains ? 

- Avant de répondre à cette question, il faut se rappeler que le modèle Oscar montre que parmi toutes les dualités fondamentales, il en existe une particulière. Il s'agit de la dichotomie essentielle, créée  lors de la délocalisation primordiale : 
- a)  les 𝜉¹¹ dipôles synchronisés et restés soudés, formant le tissu d'espace-temps ;
- b) les 𝜉⁸ pôles (ex-dipôles délocalisés) formant les briques de la matière (électron-positrons).
Les premiers (ultra majoritaires) représentent le "soft" (l'information traduite par le logarithme du nombre) et les seconds, le "hard" (la matière). Toute l'organisation de la matière inerte et vivante, est soumise à cette information. Après les brique élémentaires (électron-positron), la base stable de la matière (proton) est créée par la mitose et donc par les combinaisons entre : 𝛼, 𝜉 et 2, 5, 8.

- Sceptique : y-a-t-il des exemples observables ?

- Oui et à tous les niveaux ! Déjà la partie neutre du proton (1840 unités nues) possède 8 sous-couches organisées en 4 couches principales. De plus, 1840 présente une grande compatibilité avec le couple {2-5} : 23 × 5 × 2⁵⁻¹ = 1840,  avec 23 le (2×5)ème nombre premier ! On a vu également que les atomes présentant une stabilité sont tous des déclinaisons directes du proton.  Par ailleurs, les bosons de jauges sont tous fonctions de 𝛼, 𝜉 et 2, 5, 8. Il y a notamment pour le boson de Higgs le coefficient harmonique (8/5=1,6) qui est le nombre d'or réduit de la Bulle-Univers.

- Sceptique : mais comment la matière inerte pourrait influencer la matière vivante ?

- La matière vivante (acides aminés) est exclusivement faite de briques de matière "inerte" comme les CHONs. On peut également comparer ce qui provoque la mitose par saturation d'éléments synchronisés. Il y a également la dualité essentielle de la fonction peau : elle sépare l'intérieur où le niveau d'entropie de désordre est entretenu le plus bas possible, de l'extérieur où l'univers voit croître son entropie (de désordre). Par définition, la mitose biologique relève également de la fonction de délocalisation.

  
         


      

Commentaires

  1. La stabilité du proton tient à l'aptitude qu'a son nombre neutre (1840), à résister au maximum pour conserver un nombre entier le plus petit possible, lors d'une division par les nombres clés {2, 5} tout en évitant le nombre 3 relatif au nombre de groupes des mésons. Or comme la division aboutit à un nombre entier et premier (23), on peut dire que ce nombre a une exceptionnelle résistance aux nombres fractionnels, incompatibles avec une construction avec des bases élémentaires entières. Par exemple le nombre 1800 est extrêmement bien divisible mais il ne résiste pas à la division par 3.

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