Origine de la masse et l'ambiguité de Higgs

- Sceptique : le modèle standard recherche l'origine de la masse du proton, depuis des lustres. Quand on a découvert les quarks on a cru au premier abord, que tout était résolu car ces particules, réputées fondamentales et nées au début du Big-Bang, étaient la cause de la masse du proton. Puis découvrant que cette masse ne représentait que 1% de la masse totale, la crise a ressurgi. C'est là que monsieur Higgs a fait l'hypothèse que le "vide" pouvait se considérer comme un "champ" scalaire de son état, à partir duquel la masse pouvait surgir. Un tel "champ" se devait d'avoir un boson vecteur et ce boson a effectivement été découvert à l'intérieur de la large fourchette attendue par la théorie. Est-ce que cela donne une explication à la masse du proton ?

- Bien qu'il existe effectivement un "champ" scalaire, la réponse est non ! Tout d'abord, cette notion de "champ" est un concept mathématique qui se passe astucieusement d'explication physique. On continue d'éluder les causes physiques. Ensuite, comme beaucoup l'ont remarqué, cela ne fait que déplacer la cause de l'origine de la masse. D'où vient la masse de ce "champ" et qu'elle est physiquement ce "champ" ?

- Sceptique : alors que dit précisément le modèle Oscar sur la cause de la masse du proton ?

- Les articles précédents ont détaillé l'origine de la masse dans le cadre de la dualité générale. Il y a déjà la dichotomie entre la Bulle-Univers où nous vivons et la matrice infinie dans laquelle elle est plongée. Cette matrice stochastique possède une entropie (de désordre) maximale. Il y a également la dualité du zéro. Il existe un zéro mathématique de type absolu dont la dualité est l'infini. Mais pour la physique, il existe un zéro relatif matérialisé par un oscillateur dipolaire comportant deux pôles opposés. La matrice, infinie et stochastique, comprend une infinité d'oscillateurs dipolaires additionnant une infinité de zéros. 

- Sceptique : mais qui les fait osciller ?  

- C'est juste à cause de l'attracteur du zéro absolu. Il existe une dualité fondamentale entre la notion d'inertie M et la notion d'amplitude spatiale L. Cette dualité agit à tous les niveaux et s'exprime par : ML = Cte. Dans le cadre de l'impulsion de Dirac, (dans chaque pôle confiné), tout cycle d'oscillation part d'une inertie la plus proche possible du zéro absolu. Comme il existe une infinité d'origines > 0, alors l'oscillation est éternelle.

- Sceptique : mais si le vrai zéro absolu est trouvé alors l'oscillation s'arrête ?

- Comme ML = Cte, si M = 0 alors L = infini. Or l'infini, comme le zéro absolu est interdit en physique. Donc cette matrice faite d'oscillateurs dipolaires est tenue d'exister indéfiniment.  

- Sceptique : d'accord pour cette origine discrète mais comment la masse et l'espace apparaissent réellement ? 

- Outre le rôle d'attracteur de synchronisation, on peut dire que plus le désordre est grand, plus le nombre de brassages est grand. Or dans un temps qui ne s'écoule pas, il vient qu'un potentiel infini de brassages, finit forcément par synchroniser  n boson-dipolaires dans n "poches" appelées Condensats de Bose Einstein (BECs).

- Sceptique : d'où vient le temps ? 

- On montre ici en détail que le temps est, comme la charge électrique élémentaire, une induction de M,L. Les paramètres M,L,T apparaissent lors de la délocalisation des pôles en monopôles.
- Sceptique : et comment se séparent ces ML en monopôles, alors qu'ils étaient prisonniers dans leur dipôles ?

- Seule une petite partie se sépare par saturation → délocalisation → mitose.  Ces monopôles sont les électrons et positons qui forment toutes les particules composites.On a vu – pour raison de polarisation et de délocalisation – pourquoi les positrons stables restent toujours confinés.

-  Et que devient la grande partie non séparée ?

- Elle constitue ou matérialise le "champ" du "vide" subquantique. Tout choc local entre particules, casse tout ou partie,  la symétrie de ces dipôles et la réduction de L induit une augmentation furtive de masse au niveau quantique.  Donc la masse du proton stable a été à l'origine de la mitose, composée d'électron-positrons délocalisés (ne s'annihilent pas localement). 

- Sceptique : et les particules instables créées localement ?

- Elles sont bien extraites furtivement, des dipôles subquantiques. L'espace-temps est donc bien un champ scalaire prêt à révéler des masses si on en fournit l'énergie d'extraction. Mais la stabilité de la masse du proton montre que sa masse est composée de paires électron-positrons délocalisées à l'origine. Ainsi la vague notion de "champ" est ici expliquée dans sa matérialité physique. 


     




     

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