Enigme 12 : la cause du Big-bang

- Sceptique : le modèle standard s'appuie sur le modèle mathématique de Poincaré-Minkowski et tient compte du principe de relativité et de l'invariance des équations de Maxwell, pour se représenter l'espace-temps de l'univers. Comment se situe le modèle Oscar par rapport à cette approche de type purement mathématique ?

- L'approche du modèle standard (MS) s'appuie sur les effets alors que celle du modèle Oscar (MO) s'appuie sur les causes. Or le chemin par les causes aboutit aux mêmes effets tout en levant les 53 énigmes du MS. Par exemple le MS s'appuie (avec raison) sur la constante de la vitesse de la lumière c mais sans chercher la cause physique de son existence ni la cause de sa constance. Le MS considère le Big Bang comme inexplicable. Le MO démontre la clé de la notion d'existence par une approche purement physique soit l'errance entre l'impossible attracteur "inertie zéro" et le champ infini des origines inertielles toutes aussi interdites. Cette dualité du zéro {absolu-relatif} caractérise un état d'univers stochastique éternel fait d'une infinité de Bosons Oscillateurs Dipolaires stochastiques du zéro relatif, les fameux 𝓑𝓞𝓓𝓨 . Le MO démontre que cette entropie maximale débouche forcément sur la synchronisation d'un lot qui forme le BEC. Le flux de synchronisation amène une saturation qui débouche sur la mitose en 𝜉² BEC-fils. Le tableau montre comment cette mitose fractale induit des couches de vitesses qui répondent exactement à la notion d'espace-temps à 4 dimensions. 

- Sceptique : en biologie la mitose suit la loi de Fibonacci (où le nombre 5 est central) mais quelle est cause de cette loi ?

- La cause est décrite dans le processus de synchronisation des 𝓑𝓞𝓓𝓨 qui finissent par saturer l'entité concernée. La saturation apporte une asymétrie interne qui déclenche la division par mitose. Par définition, tout ce que contient cet univers est sensé suivre ses lois. Bien sûr la complexité fait que la mitose est devenue la méiose dans les cycles biologique élaborés.

- Sceptique : pourquoi la mitose du BEC-fossile, ne donne-t-elle pas directement, en une fois,  les 10²² BEC-fils-étoiles ?

- Il faut se rappeler que la suite de Fibonacci : 1, 1, 2, 3, 5, 8,  est construite au fur et à mesure, sur la somme des deux derniers nombres (8 = 5 + 3). Ensuite il faut prendre conscience que le premier chiffre (1), reflète la seule phase annihilation.

- Sceptique : mais l'annihilation n'est pas une mitose ?

- La clé de la mitose est d'élargir les intervalles tangentiels pour rendre isotropes, les espaces élémentaires. Or l'annihilation est justement le premier acte d'élargissement des intervalles. Donc on a bien : n =1+5 = 6 phases. D'un côté on a une division en 𝜉² BEC-fils (étoiles), motivée par le taux d'asymétrie des intervalles mais sans avoir de solution d'incrément élémentaire de mitose. La solution vient donc de 𝛼² (en 2D), où le taux d'annihilation est l'incrément pour les n= 6 étapes de la mitose fractale. Or on vérifie que :
 (𝛼²) = Pₒ 𝜉²

avec  Pₒ le nombre brut du proton exprimé en unité électron. Ce nombre est la variable d'ajustement faisant converger les deux causes indépendantes de la mitose. La puissance n = 6 est le nombre relatif à la suite de Fibonacci mais limitée à 6 étapes.


- Sceptique :  cela signifie que chaque élément du produit des étapes d'élargissement était de taux 𝛼² ?

- Oui et de plus cela justifie l'existence des neutrons→protons. C'est la variable d'ajustement qui associe le taux d'incrément et la cause de la mitose (anisotropie des intervalles). C'est une des énigmes résolues par le modèle Oscar. Par ailleurs, le modèle montre le rôle essentiel du coefficient de taux : 5/8 concernant le boson de Higgs.

- Sceptique : Quelle est la cause de la vitesse c et la cause de sa constance ?

- Tout vient du BEC-fossile. Il est organisé en 𝜉³ couches qui divisent son rayon (150 mille années-lumière) en autant d'intervalles élémentaires. Chacun de ces  intervalles, est égal au rayon de Compton (ƛ) de l'électron (ex-pôle). Or on montre que les dipôles du BEC ont la même période de l'électron ! Cela veut dire que les pôles subquantiques se déplacent à :  cₒ = c 𝜉³ !  

- Sceptique : pourquoi l'expansion est organisée en incréments qui cumulent la vitesse c ?

- Selon la règle ℳ.ℒ = Cte, lors du rebroussement sur l'intervalle (ƛ) il y a eu séparation au moment où → mₑ.  A cette croissance maximale d'inertie, correspond une décroissance d'amplitude selon : ƛ. Si la vitesse moyenne des pôles est effectivement : cₒ = f(ℒ) = c 𝜉³, lors de la séparation sur l'intervalle de rebroussement ƛ,  elle se réduit à : c = f(ƛ) = cₒ / 𝜉³. C'est la vitesse finale (juste avant rebroussement) des pôles. A chacune des 5 étapes de mitose, ce qui reste du BEC initial, éjecte – dans toutes les directions –  la matière (entourée de ces BEC-fils), à la vitesse c.  Cela crée une distribution continue des vitesses radiales d'expansion. Ce type de vitesse n'a rien à voir avec la vitesse de propagation de la lumière (dans les BECs) qui elle, reste constante dans toutes les directions.                         


    

Commentaires

  1. Bonjour monsieur Mareau,
    dans l'expression d'un boson dual, M et L sont deux notions complémentaires, associées, indissociables. Mais en les nommant différemment, on a tendance à voir deux notions différentes, celle de l'espace et celle de l'inertie.
    Est-ce la réalité physique?
    Dans un monde a 1 dimension (le boson stochastique), peut-il y avoir deux paramètres physiques différents (rasoir d'Ockham) ?
    Si M varie inversement à L, et vice versa, ne pourrait-on pas voir cela comme la dualité d'une même entité, qui ne peut "être" ou justifiée que par la dualité d'un même paramètre physique qui varie en permanence en opposition, le zéro absolu de l'un étant tout aussi impossible qu'un
    paramètre différent de zéro pour l'autre?
    En opposition, on a en permanence 1 comme résultat (Z*Z^-1=1, ce qui correspond au ML=Cte),
    l'un étant max quand l'autre est au min, la variation négative de l'un étant compensée en permanence par la variation positive de l'autre.
    Si M est la concentration max de l'espace ou que L est l'étalement max de l'inertie, on peut les voir comme une même entité Z, duale.
    Cette "quantité" ou "entité" ne peut être que duale, car si elle ne peut être ni égale à zéro, ni strictement positive, seule une oscillation entre ces deux interdits, ou statuts, n'est concevable, sous la forme d'une opposition permanente entre la composante qui s'approche du zéro absolu, mais qui rend en même temps l'autre composante, croissante, complètement injustifiée et qui devra donc à son tour décroitre vers le zéro absolu alors que l'autre augmente ! Ce cycle ne s'arrête donc jamais, par impossibilité paradoxale physique d'existence et de non existence.
    A la saturation séparation, début d'existence de la bulle univers par existence physique des deux composantes séparées, sont induites les constantes comme me, le, c ou e (et t?)

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  2. Bonjour LC,

    Le rasoir d'Ockham est foncièrement dual car l'interdiction : {O < ℳ ≠ 0} n'est vraie qu'en prenant en compte {ℳ ℒ = Cte}. Cela veut dire que même si la physique moniste accepterait ℳ = 0, elle n'accepterait pas ℒ =∞ ! Donc la clé de l'existence a besoin de la dualité {O < ℳ ≠ 0} + {ℳ ℒ = Cte}. Cela justifie également L'existence de l'oscillation (duale pour faire un zéro algébrique).

    Oui comme l'électron est un ex-pôle (séparé de son dipôle) il se comporte comme lui mais dans son amplitude réduite (celle de l'intervalle ƛe de la seule dernière couche).
    En effet, dans tout oscillateur : te = f(ℳ.ℒ / ℱ) et dans ce cas la force du dipôle est bien donné par ℱ = f(e²) . Or comme on sait que e² = f(ℳ.ℒ) on peut dire : te = f(ℳ.ℒ). La nature ne connait pas de ℳ moniste mais une dualité ℳ.ℒ où l'un est la contrepartie (ou le miroir) de l'autre. Réunir cette dualité élémentaire en un Z risque de cacher l'aspect dual qui est la vraie clé.

    Il faut rappeler que c = ƛe / te revient à dire que le franchissement de l'intervalle élémentaire (ƛe) pour un photon, est soumis à la période (te) des ℬody formant BEC. La première raison en est que pour passer d'un intervalle (ℬody) à l'autre, le seul dénominateur commun est le point zéro au centre du BEC. C'est comme cela que la somme vectorielle des 1D permet de construire un espace-temps 4D. Le 1D = c.te, est en fait soumis à co, la vitesse des dipôles. Si l'on pouvait voir le détail temporel (< te), on s'apercevrait que le 3D n'est pas aussi lisse qu'on pourrait le croire.
    cela. Mine de rien cela répond à la question (que le MS ne se pose même pas), d'où vient l'espace 3D +1D.

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