Enigme n°30 (partie 2) : la courbe de la force forte

- Sceptique : quels sont les éléments physiques concordants et tangibles, indiquant que le proton est configuré principalement par une partie neutre, structurée en 4 groupes de couches sphériques de paires électron-positrons réalisant une barrière infranchissable pour le positron célibataire confiné ?

- Les 12 éléments tangibles sont les suivants : 1) la charge du proton est précisément celle d'un positron ; 2) le calcul de son rayon est – selon ML = Cte –  conforme à la mesure pour un groupe ayant le quart de sa masse ; 3) la loi première qu'est la symétrie, exige la parité entre électrons et positrons ; 4) la variable d'ajustement de la mitose fractale, correspond à l'émergence du proton en unité "électron brut" dont le ratio est lié à la masse des quarks ; 5) l'électron est la seule particule qui soit à la fois : libre, élémentaire et stable ; 6) on peut comprendre que la création originelle – accompagnée d'une délocalisation – puisse fusionner en neutron → proton sans s'annihiler, contrairement à l'issue de la création locale d'une paire électron-positron ; 7) dans le neutron, l'électron célibataire – toujours périphérique – est amené à être éjecté alors que le positron reste confiné ; 8) le délai d'instabilité du neutron est dévoilé ici ; 9) la polarisation du "vide" vient de cet asymétrie topologique qui est liée à l'habillage virtuel ; 10) l'énigme du moment magnétique du proton est levée avec cette configuration en couches ; 11) les quarks sont induits car le lien avec le taux d'habillage virtuel est bien vérifié ; 12) le tableau suivant montre clairement pourquoi le démasquage progressif des charges empilées dans les groupes de couches neutres, génère cette courbe qui commence fortement pour ensuite décroitre.

- Sceptique : mais l'émission de positrons par la tomographie semble contredire le point 7 d'autant que ces positrons sont instables.

- Encore une fois il s'agit d'un problème de localité ! Des atomes comme le fluor, sont radioactifs et "émettent" des positrons. Cependant ce positron n'est pas issu du noyau mais créé paritairement dans sa périphérie. Il s'agit donc d'une paire créée localement et donc instable.  L'autre partie est un électron (tout aussi instable) dirigé dans le noyau. Par effet tunnel, (la voie des dipôles subquantiques) le statut de stabilité de cet électron instable est échangé avec le premier électron rencontré dans la matière testée. Cet électron incident, n'a aucune raison de s'annihiler car il est stable (de création non locale). Il devient paritairement instable par  effet tunnel par échange de statut de localité et donc de stabilité avec l'électron instable confiné. L'opération "annihilation" réclame une parité d'instabilité qui est donc transférée par effet tunnel. 

- Sceptique : c'est un travers de l'expérience locale qui joue à cache-cache avec les positrons ! Les rares que l'on puisse voir sont instables alors que l'immense majorité est stable mais toujours confinée dans les noyaux.  Pourquoi ?

- Parce que pour deux ondes sphériques célibataires contenues dans une sphère, il y en a forcément une située plus en périphérie que l'autre ! Ce choix aléatoire originel, est devenu loi car étant la cause de la polarisation du vide, il en subit les conséquences.