Enigme 40 : La masse de Planck

Voir  : sommaire des énigmes , les cinq clés de la physique fondamentale  et l'éclaté du modèle Oscar.

 
- Sceptique : l'énorme masse de Planck, qui vient d'une simple analyse dimensionnelle, reste un grand mystère car elle n'entre dans aucune classification de particule et n'a jamais été mesurée.  Que dit le modèle Oscar à ce sujet ?

- La masse de Planck vaut exactement 𝜉² fois celle de l'électron. Le modèle Oscar est basé sur l'obligation de mitose du BEC primordial qui est caractérisée par ce même nombre,  𝜉². La masse de Planck correspond donc à ce que serait devenu un proton si la mitose n'avait pas eu lieu.

- Sceptique : pourquoi le BEC primordial aurait-il l'obligation de se diviser et donc d'entrer en mitose ?

- Car le flux de ℬodys en cours de synchronisation et venant enrichir ce BEC, ne peut s'arrêter que par saturation des intervalles tangentiels. On montre que ces intervalles saturés sont toujours plus faibles que les intervalles radiaux, fixés préalablement par la moyenne du lot synchronisé. Ainsi les surfaces élémentaires tangentielles deviennent 𝜉² fois plus petites que celles de l'axe radial. 

- Sceptique : comment et pourquoi cette saturation déclenche-t-elle la mitose ?

- Grâce au fameux "point de rebroussement". La couche extérieure du BEC est différente des autres couches car le temps d'arrêt des oscillateurs, rend la force coulombienne (entre voisins) plus forte que celle de Lorentz qui prévaut dans toutes les couches internes. Ainsi, lorsque l'intervalle élémentaire est diminué à un certain seuil critique, il se produit une brusque fusion généralisée. Cette fusion crée une réduction de localité qui entraîne une annihilation généralisée. Cette annihilation induit la mitose du BEC (entier) dans le but d'égaliser les intervalles tangentiels et radiaux. Cela revient à répondre aux besoins impératifs d'isotropie des BECs.  Sans cette division en 𝜉² BECs-fils, les protons seraient donc  𝜉² fois  plus massique et auraient donc 1836,15 masses de Planck !  

- Sceptique : comment le nombre 1836,15  pourrait représenter un nombre entier de paires électron-positrons ?

- L'électron libre mesuré est un électron "habillé" et donc plus massique qu'un électron "nu". En exprimant les paires en unité "électron nu", on obtient 920 paires nues et neutres, soit 1840 unités. Cela est largement confirmé par la première loi de  KOIDE-MAREAU et sa généralisation.

- Sceptique : quel est le lien entre la masse de Planck 𝜉² fois plus forte que celle de l'électron et la longueur de Planck ?

- Selon la loi  ℳ.ℒ = Cte, la longueur de Planck est 𝜉² fois plus faible que la masse de l'électron. Elle correspond à l'épaisseur des ℬodys qui ne doit pas être confondue avec le fameux intervalle critique qui lui est 𝜉 fois plus faible que le rayon de Compton de l'électron. Le temps de Planck serait correspondant à l'intervalle temps entre deux couches émises par le point zéro du BEC-fossile.

- Sceptique : quel est le rapport entre le taux d'annihilation 2D (𝛼²) et le facteur d'anisotropie des surfaces élémentaires,  𝜉² ?

- Ces deux phénomènes sont à même d'élargir les intervalles élémentaires. Le déclencheur par annihilation 2D (𝛼²) doit à terme, s'accorder avec le facteur d'anisotropie des surfaces élémentaires,  𝜉² . Or on montre qu'en 1+5 incréments de mitose on a : (𝛼²)⁵⁺¹ / 1835,65 = 𝜉². Ce nombre (1835,65) est le nombre caractérisant le proton, exprimé en unités brutes d'électron. L'existence même du proton tient à ce qu'il sert de variable d'ajustement entre ces deux facteurs de mitose.