Enigme 41 : origine du temps

Voir  : sommaire des énigmes , les cinq clés de la physique fondamentale  et l'éclaté du modèle Oscar.

- Sceptique : l'origine du temps reste une énigme du modèle standard. Que dit le modèle Oscar à ce sujet ?

- L'origine du temps est directement liée au fameux couple : ℳ.ℒ = Cte  qui justifie l'existence des oscillateurs dipolaires primordiaux, les 𝓑𝓞𝓓𝓨s. On a vu le paradoxe inertiel   hésitant entre deux états impossibles : a) l'attracteur du zéro absolu ; b) l'existence d'une origine > 0 ! Le zéro absolu générerait une impossible amplitude ℒ  infinie. La seule possibilité est d'osciller entre ces deux états physiques impossibles. Mais un tel oscillateur ne peut-être que dipolaire pour strictement annuler ses paramètres physiques qui restent ainsi confinés dans chacun des pôles.

- Sceptique : si l'oscillateur est dipolaire alors il est composé de deux pôles opposés qui s'annule au point zéro du référentiel 𝓑𝓞𝓓𝓨. Mais dans le référentiel d'un pôle d'où vient l'énergie qui fait osciller ?  

- Dans un des pôles, il n'y a aucune dépense d'énergie le système est purement adiabatique.  Cependant les paramètres physiques ℳ, ℒ, 𝜏  doivent être annulés dans le référentiel dipolaire.  
 
- Sceptique : qui règle les paramètres physiques ?

- Les lois du hasard : Entre n'importe quelle valeur d'origine aussi petite que l'on veut, et le zéro absolu, il existe une infinité de possibilités d'origines . Donc les paramètres confinés des oscillateurs dipolaires primordiaux de l'état stochastique d'univers, sont changeant et statistiquement différents entre eux. Il n'existent pas en dehors de leur confinement.

- Sceptique : alors d'où vient le temps ?

- Le temps, strictement confiné dans chaque pôle, est annulé dans le référentiel 𝓑𝓞𝓓𝓨. Ainsi, le monde stochastique n'a ni temps ni espace ni masse. Dans chaque pôle, l'oscillation possède une force F de rappel issue des charges opposées. Au point zéro, un protocole de type "impulsion de Dirac" éjecte (vers une valeur proche de l'infini)  les pôles opposés selon la loi ℳ.ℒ = Cte. Au fur et à mesure de l'écartement des pôles, les masses augmentent ainsi que les charges car on sait que : e² = f(ℳ.ℒ) ! Le temps (confiné) vient directement de : T = √(ℳ.ℒ / F) qui vaut pour la paire électron-positron, issue des 𝓑𝓞𝓓𝓨s relocalisés de la couche externe du BEC-fossile. 
  
- Sceptique : mais comment le temps apparaît-il dans le BEC primordial ?

- Le temps se révèle (ou perd son confinement), lorsque sont brisés – par réduction de localité – les liens des 𝓑𝓞𝓓𝓨s synchronisés. Leur dualité intrinsèque se transforme en une dualité de localité : a) le temps global de l'univers équivaut à la racine carrée de la somme des temps élémentaires. L'univers est un oscillateur consolidé ; b) le temps local est soumis aux déformations locales (courbures) des oscillateurs de l'espace-temps selon la loi de la relativité d'Einstein.

NB : l'excellente théorie d'Einstein a parfaitement décrit la continuité {masse-espace-temps} à partir de la limite indépassable de la vitesse c ! Cependant la notion de courbure de l'espace-temps n'est pas expliquée même si l'analyse dimensionnelle confirme le lien avec la gravitation dans la relativité générale. L'espace-temps est restée dans l'abstraction mathématique y compris chez Maxwells qui le nomme "champ". Le modèle Oscar montre comment les 𝓑𝓞𝓓𝓨s synchronisés tissent physiquement l'espace-temps. Le couplage avec les particules massiques, relève de la dualité {local / non local}. Le couplage particule-𝓑𝓞𝓓𝓨 casse la symétrie des oscillateur dipolaires et donc révèle une partie de ses paramètres physiques. Au repos un électron est ainsi "habillé" de cette déformation subquantique. Aux limites locales, on peut extraire le boson de Higgs qui n'est rien d'autre qu'un pôle orphelin de 𝓑𝓞𝓓𝓨. L'aspect non local des concentrations galactiques, amène à arracher des pôles à vitesse relativiste que l'on appelle les "rayons cosmiques". Le même effet à grande échelle, est celui de la gravitation. Elle déforme les 𝓑𝓞𝓓𝓨s , ce qui revient à courber l'espace-temps. Cette formule : T = √(ℳ.ℒ / F) montre bien la continuité masse-espace-temps.    


Commentaires

  1. La période (unique) de notre Bulle-Univers-Oscillateur, est ainsi de 195 milliards d'années et nous en sommes à environ 6% ! Après ce temps, les Bodys seront tous retournés à l'état stochastique, abandonnant leur caractère synchronisé. Les lois du hasard, permettront – après un nombre incalculable de brassages – et sans écoulement de temps (il est confiné et divers) un BEC sera constitué formant ainsi une nouvelle Bulle-Univers différente. Il faut retenir que l'énigme standard dite "de l'énergie du point zéro" se résout dès que l'on intègre la dualité des zéros : a) le zéro absolu mathématique n'est qu'un attracteur impossible pour tout paramètre physique ; b) le zéro physique est forcément la somme algébrique d'une dualité de pôles opposés. Seuls les nombres sont valides pour l'infini, en physique.

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  2. On rappelle que le temps de l'électron (sa période) se calcule également comme cela. Sa force est fonction de sa charge au carré (e²) qui elle est fonction de son ML = Cte. Ce ML est exactement le même que celui des Bodys synchronisés.

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