Enigme 42 : Nombre étoiles & galaxies

Voir  : sommaire des énigmes , les cinq clés de la physique fondamentale  et l'éclaté du modèle Oscar.


- Sceptique : on estime à quelques cent milliards, le nombre de galaxies dans l'univers et autant d'étoiles dans une galaxie moyenne. Que dit le modèle Oscar à ce sujet ?

- Le BEC-fossile s'est divisé en BECs-fils (mitose) à cause du taux d'anisotropie de ses surfaces élémentaires comparées entre les axes radiaux et tangentiels. Ce taux, de 𝜉² ~ 3×10²² correspond à celui généralement estimé. De même – à l'origine – on estime le nombre de galaxies à ~ 10¹¹ ~ 𝜉.  La conformation en type "étoile primordiale" suit la loi de la mitose car chaque BEC-fils est l'hôte d'une étoile. Le tableau montre le ratio 𝜉⁴ entre la force coulombienne et la force gravitationnelle, le tout appliqué à une paire électron-positron. On montre que la seconde force est le gradient de la première à travers le nombre 1D (𝜉⁴) de paires séparant chaque élément de son alter égo situé à l'opposé du BEC. En d'autres termes, la séparation de chacun des 2 pôles opposés, n'est pas totale puisqu'il reste la force de la gravitation.  

- Sceptique : comment et pourquoi chaque BEC-fils serait enclin à concentrer une part précise de la matière, en son sein ?

- Revenons au BEC-fossile. Il existe un ratio clair entre le volume du BEC primordial et la seule et unique couche externe de rebroussement qui a relocalisé et séparé les pôles des 𝓑𝓞𝓓𝓨s. Le volume comporte  𝜉³/3 couches de 𝓑𝓞𝓓𝓨s entiers. Cela donne le ratio des intervalles : 𝜉⁴ / 𝜉³ = 𝜉. Cela veut dire clairement que l'espace-temps est tissé de 𝓑𝓞𝓓𝓨s dont les pôles liés, annulent leurs paramètres physiques ! Lors de la mitose, la couche 2D de matière, est noyée dans chaque volume des BEC-fils. Or le modèle montre qu'il existe un couplage perturbatif matière-𝓑𝓞𝓓𝓨s (voir habillage par particule virtuelle).  Au départ, la matière est distribuée dans le volume et crée une asymétrie dans les dipôles de l'espace-temps. Celle-ci se traduit par une courbure de l'espace-temps spécifique qui est la composante constante de la force gravitationnelle !

- Sceptique : Cela ressemble à la théorie MOND de Milgrom qui tente d'expliquer le comportement des galaxies sans matière noire noire. Il y aurait deux composantes de la gravitation ?

- Oui mais pas comme la théorie de Milgrom car la matière noire existe bel et bien ! En fait cette première composante gravitationnelle – de nature subquantique – ne varie pas en 1/r² comme la composante  classique de la gravitation.  Elle est constante dans tout le BEC grâce à la causalité subquantique élargie à tout le BEC (voir non localité). Le rayon d'un BEC-fils, est approximativement égal au rayon du halo galactique. Or, on observe un effet de cisaillement de la matière noire à cette limite. Cela confirme l'existence de la seconde composante gravitationnelle qui est dominante à cette échelle (150 mille années-lumière). Elle est mille milliards fois plus faible à l'échelle du soleil.   

- Sceptique : Y-a-t-il des observations qui vont dans ce sens ? 

- Oui car les tenants du modèle standard se demandent comment les étoiles primordiales ont pu se former en seulement 180 millions d'années ! Au départ de l'accrétion, la gravitation classique est très faible à cause du 1/r² ! C'est la composant subquantique qui amorce l'accélération de l'accrétion (voir les formules du tableau). Il y a également l'effet Pioneer qui vient confirmer cela ! Ensuite quand la contraction atteint l'échelle de l'étoile, la composante classique de la gravitation est largement dominante et cache la composante subquantique.

- Sceptique : en quelque sorte la gravitation est duale comme toutes choses ?

- Oui le monde subquantique possède une causalité de type "non local" qui se manifeste également dans l'intrication à grande échelle (voir effet fantôme).  La dualité de localité est essentielle pour comprendre l'univers. Il faut enfin rajouter que ces premières étoiles sont observées très massives (~ 600 masses solaires) comme le prévoit le modèle Oscar.  En effet, 𝜉⁸/𝛼² masses électrons divisées par 𝜉² BEC-étoiles, confirme ce résultat. On voit bien que cette organisation de l'accrétion conformée en étoiles, ne peut pas se faire au seul hasard des influences gravitationnelles.

- Sceptique : quel est le rôle de 𝜉³ dans la formule du tableau concernant la composante constante de la gravitation d'un BEC ?

- Il correspond au ratio : nombre de  𝓑𝓞𝓓𝓨s d'espace-temps / nombre de pôles (séparés) de la matière. C'est donc au départ, le nombre de couches représentant le volume du BEC face à la seule et unique couche de rebroussement et donc de séparation des pôles.  



      

Commentaires

  1. Y il y a quelque chose de barbare chez certains scientifiques de tant aimer à violer ... les symétries de toutes sortes ! Partout les publications se vantent de violer ..... selon les premières apparences ! Il y a par exemple la non symétrie flagrante entre un électron et le poids lourd proton ! Alors ils violent allègrement la symétrie en comparant la force coulombienne et la force gravitationnelle entre un électron et un proton ! En respectant la symétrie la plus fondamentale, on doit comparer un électron avec un positron et là on découvre le fameux ratio xi^4 ! En tenant compte de la dualité de localité, toutes ces violations disparaissent car l'univers est strictement symétrique en toute chose.

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  2. Peu de physiciens ont vu que xi^4 = (masse Planck / masse électron)² !

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