Enigme 51 : le boson de Higgs

 Voir  : sommaire des énigmes , les cinq clés de la physique fondamentale  et l'éclaté du modèle Oscar.




- Sceptique : En cherchant à "expliquer" la masse du proton, le modèle standard reprend l'idée de Higgs considérant le "vide" comme possèdant un "champ" scalaire.  La théorie indique que tout champ doit être représenté par un boson. En injectant de l'énergie (par collision entre protons) on peut ainsi extraire un boson représentant ce champ scalaire. Cependant cela ne répond pas à la question de l'origine de la masse (inertie) de ce champ ? N'est-pas là un cas où l'on ne fait que repousser le problème ? 

- Le vocable "champ" est bien pratique pour décrire mais il n'explique rien ! Maxwells a parfaitement décrit les lois de l'électromagnétisme sans ne rien dire sur la physique qui se cache derrière ce "champ magique". Ainsi le continuum masse-espace-temps, est sensé contenir différents types de "champ" (scalaire, vectoriel, gravitationnel). Einstein a parfaitement décrit la théorie de la relativité (restreinte et générale) mais ne dit rien sur la physique de ce continuum masse-espace-temps. Les mathématiques sont tellement efficaces qu'elles sont capables de très bien décrire beaucoup de phénomènes physiques en éludant.... leurs causes physiques. Donc en effet, on ne fait là que repousser le problème.  Malgré la découverte du boson de Higgs, l'origine de l'inertie reste un grand mystère pour le modèle standard.

- Sceptique : le modèle Oscar a-t-il une explication claire des causes de l'inertie ?

- On a largement montré que la nature ne pouvait pas se passer de l'existence permanente d'une infinité d'oscillateurs dipolaires stochastiques ℬodys. Cela vient – dans le cadre ℳ.ℒ = Ctedu paradoxe existentiel suivant : ℳ  > 0  est autant interdit que ℳ  = 0 ! La seule solution est l'errance ou l'oscillation aléatoire entre ces deux interdits. Cela justifie donc également l'obligation d'osciller. La clé ℳ.ℒ = Cte est la forme canonique (donc physique), commune à la loi de Compton et celle de l'impulsion de Dirac. Le point "zéro" d'un ℬody ne saurait générer des valeurs physiques infinies ! Cependant il génére aléatoirement (à chaque cycle) une infinité de couples différents, d'inertie-amplitude, ℳ.ℒ.

- Sceptique : pourquoi l'interdiction  ℳ  = 0 ? 

- Le zéro absolu est incompatible avec la physique car il impliquerait une impossible amplitude   infinie, totalement injustifiable !

- Sceptique : donc à l'origine du BEC-fossile, par réduction de localité, les pôles des ℬodys  deviennent des paires électron-positrons délocalisées (pseudo-bosons) et répondant à ℳ.ℒ = Cte.  C'est un changement d'échelle. L'existence du proton vient de l'obligation d'une variable d'ajustement, rendant cohérentes, les deux causes de la mitose ! C'est pour cela que les paires élémentaires fusionnent en neutrons → protons. Donc si leur masse est expliquée, est-ce la source du boson de Higgs ?

- Oui mais la masse du proton pré-existe au boson de Higgs. Dans le dernier billet on a vu que la sphère (oscillante) du proton a deux types de couplage : a) le lien quantique en 2D qui suit les lois d'un flux traversant une surface ; b) un couplage 1D relié à un pôle subquantique. En injectant suffisamment d'énergie cinétique par collision, on peut extraire – par réduction de localité – un boson  ℬody  entier ! Comme cette "création" est locale, elle est typiquement instable. On a vu que le proton oscille entre deux rayons : son rayon optimal (mesuré) et son rayon subquantique originel. Ce rayon est l'intervalle élémentaire originelle qui vaut 𝜉 fois la longueur de Planck. Comme l'énergie varie en 1/r, on devrait extraire 𝜉 fois l'énergie d'un pôle (électron), à une constante près.

- Sceptique : ce n'est pas le cas ? 

- Non car l'énergie d'échange quantique diffuse par l'aire sphérique en 2D. En revanche, le lien subquantique via le "point" central est typiquement en 1D.  Cela est valable pour toutes particules et donc pour un proton. Le taux d'extraction d'énergie d'un ℬody est donc ramené à 𝜉. Le tableau montre que tenant compte du taux d'habillage et du ratio 5/8, on obtient la valeur mesurée du boson de Higgs.

- Sceptique : que vient faire le taux d'habillage de l'électron dans le proton ?

- On se souvient que le proton contient 1840 unités (920 paires neutres) + 1 positron célibataire. Cependant sa masse exprimée en unité "électron habillé" est donnée à 1836,15 et non à 1841. Si l'électron libre était nu (sans les effets liés au couplage subquantique) alors on mesurerait le proton à 1841 unités "électron nu".  Donc le taux d'habillage : 𝜏o = 1841 / 1836.,15 = 1,00264, doit entrer en compte pour déterminer la véritable masse nue d'un pôle subquantique.  On a donc la masse du boson (ℬody) de Higgs selon :

(5 / 8) √𝜉 Ee / 𝜏o = 125,2375 GeV/c²

compatible avec la mesure. Dans laquelle le boson de Higgs est donné par l'énergie d'un électron nu Ee/𝜏o (ex-pôle), multipliée par le taux d'extraction permis dans l'étranglement du couplage en 1D. La constante 5/8 est le ratio d'Or de mitose dans la suite de Fibonacci, limitée en 6 (5+1) incréments :  1-1-2-3-5-8

- Sceptique : en croyant découvrir l'origine de la masse du proton, Higgs, a mis à jour le ℬody-Oscar ?

- Oui car la simple mesure de la masse d'un électron, comporte un habillage (dit virtuel) qui est une extraction très partielle obtenue par la perturbation statique de la symétrie d'un ℬody. La découverte du boson de Higgs vient confirmer le modèle OSCAR, tant sur le ratio {quantique-subquantique} que sur le taux d'habillage. Cependant, la masse du proton est objectivement celle de 1841 éléments (de type électron nu ou positron nu) qui sont eux-mêmes, des relocalisations originelles de pôles de ℬody.


              
 

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