Enigme 60 : universalité de M.L = Cte
Voir : sommaire des énigmes , les cinq clés de la physique fondamentale et l'éclaté du modèle Oscar.
Sceptique : on a vu le rôle du couple ℳ.ℒ de l'électron (ex-pôle de ℬody). L'existence même des oscillateurs ℬodys, vient du paradoxe suivant : c'est l'errance entre deux états impossibles : ℳ > 0 ; ℳ = 0 avec ℳ.ℒ = Cte. Ce billet nous a montré que le gain en amplitude spatiale est généré par la propension vers l'infini selon l'impulsion de DIRAC au "point zéro". Il montre également comment la charge électrique Q² est proportionnée à ℳ.ℒ pour matérialiser la force de rappel de l'oscillateur. Les charges Q et Q', sauvent l'intégrité de l'oscillateur. Cela génère donc la période T² dont l'intensité est tirée directement de ℳ.ℒ si on normalise la force F=f(Q²). Cette normalisation de F est moins spéculative que celle relative à la perméabilité du "vide" (10⁻⁷) du modèle standard. De plus elle est conforme à un "courant électron" qui ne peut-être que sa charge unique divisée par sa période. Ce paramètre 10⁻⁷ sert également de convertisseur artificiel d'unités. Est-ce que le modèle Oscar – qui s'appuie fortement sur les équations aux dimensions – ne cherche pas finalement à s'affranchir des dimensions ?
- Le modèle standard porte le poids des errements du passé. La seconde, le kg et le mètre, sont autant d'unités arbitraires. Ainsi l'intensité numérique de leurs combinaisons, n'apporte aucune aide.
En considérant l'entité ℳ.ℒ , il est plus naturel et plus légitime de donner un poids numérique égal à chacun des deux paramètres plutôt que d'utiliser des unités arbitraires. Ensuite, ce billet nous a montré que Q² et T² était les composantes naturelles de ℳ.ℒ. Cela facilite également les liens avec les paramètres 𝛼, 𝜉 qui sont sans unité, comme tous les ratios. Ensuite, en utilisant l'unité électron, on considère également tout élément composite comme ratio.
- Sceptique : Si on s'affranchit des unités, on perd de facto les repères concernant les résultats ?
- Non car la méthode est à la fois mixte et réversible à tout moment. Par exemple, on peut trouver la période de la Bulle-Univers exprimée en secondes ou en années-lumière.
- Sceptique : le tableau montre que ℳ (ℬody) compense l'énorme amplitude ℒ. Mais par ailleurs il est dit que l'énergie potentielle d'un ℬody était 𝜉⁶ fois supérieure à celle de son état réduit "électron". Ce n'est pas compatible avec co² = 𝜉⁶ c !
- C'est le piège de la localité ! Car en effet, dans la localité élargie du ℬody, l'inertie initiale d'un de ses pôles, est 𝜉³ fois plus faible que celle de l'électron. Ce n'est qu'après réduction de localité, que la masse atteint celle de l'électron. En ne tenant pas compte de la dualité de localité, on pourrait dire (à tort) que l'énergie du "vide" est 𝜉⁶ fois supérieure à celle de l'électron. Pire, ramené à la longueur de Planck (𝜉⁵ fois plus faible que l'amplitude ℬody) on retrouve le (faux) ratio standard :
- Le modèle standard porte le poids des errements du passé. La seconde, le kg et le mètre, sont autant d'unités arbitraires. Ainsi l'intensité numérique de leurs combinaisons, n'apporte aucune aide.
En considérant l'entité ℳ.ℒ , il est plus naturel et plus légitime de donner un poids numérique égal à chacun des deux paramètres plutôt que d'utiliser des unités arbitraires. Ensuite, ce billet nous a montré que Q² et T² était les composantes naturelles de ℳ.ℒ. Cela facilite également les liens avec les paramètres 𝛼, 𝜉 qui sont sans unité, comme tous les ratios. Ensuite, en utilisant l'unité électron, on considère également tout élément composite comme ratio.
- Sceptique : Si on s'affranchit des unités, on perd de facto les repères concernant les résultats ?
- Non car la méthode est à la fois mixte et réversible à tout moment. Par exemple, on peut trouver la période de la Bulle-Univers exprimée en secondes ou en années-lumière.
- Sceptique : le tableau montre que ℳ (ℬody) compense l'énorme amplitude ℒ. Mais par ailleurs il est dit que l'énergie potentielle d'un ℬody était 𝜉⁶ fois supérieure à celle de son état réduit "électron". Ce n'est pas compatible avec co² = 𝜉⁶ c !
- C'est le piège de la localité ! Car en effet, dans la localité élargie du ℬody, l'inertie initiale d'un de ses pôles, est 𝜉³ fois plus faible que celle de l'électron. Ce n'est qu'après réduction de localité, que la masse atteint celle de l'électron. En ne tenant pas compte de la dualité de localité, on pourrait dire (à tort) que l'énergie du "vide" est 𝜉⁶ fois supérieure à celle de l'électron. Pire, ramené à la longueur de Planck (𝜉⁵ fois plus faible que l'amplitude ℬody) on retrouve le (faux) ratio standard :