Enigme 66 : naissance rapide des premières étoiles
Voir : sommaire des énigmes , les cinq clés de la physique fondamentale et l'éclaté du modèle Oscar.
- Sceptique
: le modèle standard ne sait pas expliquer la rapidité d'apparition des premières étoiles : environ 100 millions d'années ! Il n'explique pas non plus, pourquoi il existe une généralisation de la structure de type étoile. Que dit le modèle OSCAR ?
- Le modèle Oscar montre qu'initialement, les 𝜉² BEC-fils hébergeaient chacun, une étoile calibrée à 331 masses solaires. Bien qu'approximatives, les observations confirment ces données.
- Sceptique : y-a-t-il un lien entre "être l'hôte" et le temps étonnement court de la formation des étoiles primordiales ?
- Exact il y a un lien et il s'étend à l'impératif de lier entre eux les BEC-fils enchevêtrés formant l'espace-temps en expansion ! Le modèle Oscar est cohérent avec le taux de couplage maximum de ratio 𝜉 entre la matière (visible) et les pôles subquantiques du BEC. Cela lui donne une force d'attraction constante mais via la matière présente. Dans les BECs formant les étoiles primordiales (331 masses solaires) l'accélération était de 2.67×10⁻¹º m/s² !
- Sceptique : pourquoi y-aurait-il une accélération propre au BEC ?
- Le tableau montre, que cette accélération est strictement due à la force coulombienne de la somme radiale des 𝜉³ pôles de ℬodys subquantiques formant le rayon du BEC. Donc le BEC exerce une force constante vers son centre pour raison d'alternance de l'oscillation de ces ℬodys constitutifs. Cette force constante, est révélée par le couplage 𝜉 .
- Sceptique : peut-on mesurer localement cette composante gravitationnelle constante ?
- Le tableau montre deux choses ; a) cette composante de gravitation est tout comme l'autre, issue de la force coulombienne des ℬodys ; b) son intensité est supplantée par la composante classique au niveau de la Terre. En revanche l'aspect constant permet à cette composante, de prendre une importance déterminante aux limites du BEC. Par exemple on a constaté que la sonde Pioneer 11 ralentit plus que prévu par les lois normales de la gravitation. Ce taux d'anomalie calculé dans le billet 35, est directement lié à l'accélération des BECs primordiaux, en tenant compte du ratio des masses et du ratio des vitesses. Il y a donc 5 niveaux de contraintes liés par cette accélération des BECs :
a) le temps court de formation des étoiles primordiales
b) leur conformation "moulée" par les BECs
c) l'effet Pioneer (billet n°35) relatif aux masses en présence.
d) le lien inter-BEC garantissant la continuité de l'espace-temps
e) l'expansion effective via les seuls BECs inter-galactiques car ayant des masses faibles et/ou de type noire (dénaturées donc à faible couplage).
- Le modèle Oscar montre qu'initialement, les 𝜉² BEC-fils hébergeaient chacun, une étoile calibrée à 331 masses solaires. Bien qu'approximatives, les observations confirment ces données.
- Sceptique : y-a-t-il un lien entre "être l'hôte" et le temps étonnement court de la formation des étoiles primordiales ?
- Exact il y a un lien et il s'étend à l'impératif de lier entre eux les BEC-fils enchevêtrés formant l'espace-temps en expansion ! Le modèle Oscar est cohérent avec le taux de couplage maximum de ratio 𝜉 entre la matière (visible) et les pôles subquantiques du BEC. Cela lui donne une force d'attraction constante mais via la matière présente. Dans les BECs formant les étoiles primordiales (331 masses solaires) l'accélération était de 2.67×10⁻¹º m/s² !
- Sceptique : pourquoi y-aurait-il une accélération propre au BEC ?
- Le tableau montre, que cette accélération est strictement due à la force coulombienne de la somme radiale des 𝜉³ pôles de ℬodys subquantiques formant le rayon du BEC. Donc le BEC exerce une force constante vers son centre pour raison d'alternance de l'oscillation de ces ℬodys constitutifs. Cette force constante, est révélée par le couplage 𝜉 .
- Sceptique : peut-on mesurer localement cette composante gravitationnelle constante ?
- Le tableau montre deux choses ; a) cette composante de gravitation est tout comme l'autre, issue de la force coulombienne des ℬodys ; b) son intensité est supplantée par la composante classique au niveau de la Terre. En revanche l'aspect constant permet à cette composante, de prendre une importance déterminante aux limites du BEC. Par exemple on a constaté que la sonde Pioneer 11 ralentit plus que prévu par les lois normales de la gravitation. Ce taux d'anomalie calculé dans le billet 35, est directement lié à l'accélération des BECs primordiaux, en tenant compte du ratio des masses et du ratio des vitesses. Il y a donc 5 niveaux de contraintes liés par cette accélération des BECs :
a) le temps court de formation des étoiles primordiales
b) leur conformation "moulée" par les BECs
c) l'effet Pioneer (billet n°35) relatif aux masses en présence.
d) le lien inter-BEC garantissant la continuité de l'espace-temps
e) l'expansion effective via les seuls BECs inter-galactiques car ayant des masses faibles et/ou de type noire (dénaturées donc à faible couplage).
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RépondreSupprimerL'accélération d'un BEC-fils calibré, vérifiée par 3 approches différentes, est précisément :
RépondreSupprimerg = 2,670048501049430 ×10^-10 m/s². Cela permet une formation d'étoile primordiale en 100 millions d'années.
En tenant compte de la vitesse de Pioneer 11 et de la masse du soleil (331 fois plus faible que la masse calibrée), on retrouve son anomalie d'accélération mesurée à 8,7 ×10^-10 m/s² !
On voit bien qu'il faut xi^3 couches d'action coulombienne de pôles, pour obtenir ce gamma qui garantit la cohésion du BEC.
Je vous conseille de revoir le billet 65, portant sur la Grande Cohérence Numérique, que j'ai étoffé.
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