Enigme 68 : démystification de la notion de "champ"

Voir  : sommaire des énigmes , les cinq clés de la physique fondamentale, l'éclaté du modèle Oscar, la dualité du zéro.
Ratios universels : 𝛼 = f(𝜉). série 𝜉ⁿ, n =1 à 5 :  lP ƛo ƛₑ PZ RBEC
 𝜉 = 1,54 ×10¹¹ ; 𝜉² = mPlanck  / mélectron ; 𝜉³=RBEC / ƛₑ ; 𝜉 = EM / EG ; 𝜉 =RBEC/lP

C'est l'anisotropie (tangentielle / radiale)  du BEC-fossile  𝜉 / 𝜉³ = 𝜉 qui déclenche la mitose-expansion.
  
Sceptique : Concernant le "champ" gravitationnel, on peut lire sur Wikipédia : " ...le champ gravitationnel est un champ réparti dans l'espace et dû à la présence d'une masse susceptible d'exercée une influence... L'introduction de cette grandeur permet de s'affranchir du problème de la médiation de l'action à distance...." . Il me semble que l'expression : "un champ est un champ" indique un malaise qui d'ailleurs est confirmé plus loin par " ... permet de s'affranchir du problème de la médiation de l'action à distance...". N'est-ce pas là un exemple où l'on élude l'explication physique ?

- C'est l'archétype de l'approche mathématique (auto-référente) de la physique (voir le théorème d'incomplétude de Gödel). On invente un être mathématique très pratique pour décrire mais qui élude l'explication des causes. Cependant le texte de Wikipédia avoue clairement que le problème de la médiation de l'action à distance est éludé. Historiquement ce type d'approche s'est toujours accordé avec le mystère, le fait religieux, la croyance....   

- Sceptique : pourtant Einstein a trouvé une belle concordance entre l'énergie gravitationnelle et la courbure de l'espace-temps. N'est-ce pas là le vecteur de la médiation de l'action à distance ?

- Oui et de plus Einstein n'a jamais éludé ! Il a dit lui-même que sa théorie ne saurait remplacer une explication physique. Mais en fait, sa description est très proche de l'explication car TOUS les types de "champ", déforment l'espace-temps. 

- Sceptique : qu'est-ce qui est physiquement déformé et comment cette déformation peut-elle remplir le rôle d'action à distance ? Ne faudrait-il pas commencer par expliquer ce qu'est la structure et la dynamique de l'espace-temps ?

- Exact ! Via le sommaire, on trouve des explications qui indiquent que l'espace-temps est un enchevêtrement de Condensats de Bose Einstein (BEC) en cours d'expansion. On montre ici comment fonctionne un BEC en général. La suite de ce même lien, montre comment fonctionne le BEC matérialisant l'espace-temps. Pour simplifier, nous allons ci-après, rappeler le fonctionnement d'un seul BEC cosmique, normalement hôte d'une étoile. L'influence des autres BECs, ne joue que dans le cadre de l'expansion mais elle n'est pas abordée ici. Le BEC est une sphère composée de couches concentriques et dynamiques de pôles d'oscillateurs dipolaires ℬodys. Le centre matérialise la symétrie autour du point zéro commun. Ce dernier reçoit et émet toutes les 10⁻²¹ s, la somme de 𝜉⁹odys en 𝜉³ Couches de 𝜉 Pôles. On peut faire l'analogie avec un jongleur où les balles "en vol" sont plus nombreuses que celles contenues dans ses mains. 

- Sceptique : si j'ai bien compris, le volume 3D est matérialisé par ces pôles. Cela veut dire que la notion de volume 3D "vide", est un non sens ?

- En effet, le 3D n'est pas un miracle inné mais bien une construction dynamique à l'échelle subquantique. Les "balles" – en fait les pôles de odysfilent à 𝜉³ fois la vitesse de la lumière ! La clé de cette dynamique est la symétrie entre les pôles opposés autour du point zéro. En fait cette belle symétrie n'existerait qu'à la condition qu'aucune matière quantique ne soit disséminée dans ce contexte subquantique.

- Sceptique : que se passerait-il sans la matière ?

- La symétrie serait parfaite et donc la masse-espace-temps ne serait pas révélée. Le tout serait à l'état potentiel car les pôles opposés s'annuleraient parfaitement ! La courbure de l'espace-temps serait nulle ! Mais il y a la matière ! Cela veut dire clairement que pour chaque particule élémentaire (électron ou positron), se met en place un couplage (perturbation) dans le cadre de la dualité {local / non local}. Cela veut dire que le pôle perturbé – par ce couplage – amoindrit son amplitude et perd ainsi une fraction de symétrie en regard de son alter ego, à l'opposé. Comme ℳ.ℒ = Cte, la réduction de entraîne une augmentation de . Ce se manifeste comme un échange entre l'électron et le pôle perturbé. Pour un électron au repos, c'est exactement ce que l'on mesure et que l'on appelle,  la masse virtuelle ou "habillage". Cela se mesure comme des fréquences harmoniques qui trahissent le taux de couplage. 

- Sceptique : s'il y a une dualité {locale / non locale} quel est son ratio ?

- C'est le rayon du BEC (R ~ 150 000 années-lumière), qui vaut 𝜉³ fois l'intervalle élémentaire ƛₑ ~ 10⁻¹³ m. Cette perte d'amplitude revient à courber localement l'espace-temps.

- Sceptique : comment se fait la médiation ou "action à distance" de la force entre deux masses ? 

- On a vu que la gravitation est d'ordre électrique. Simplifions d'abord en ne prenant en compte qu'un seul ody séparé (sur l'axe radial) et dont le pôle + se trouve à l'opposé du pôle – autour du BEC-fossile. Le nombre d'intervalles élémentaires tangentiels qui les sépare est connu : 𝜉⁴ . On vérifie que la force électrique entre deux voisins, est diminuée de ce ratio . On se souvient également que les charges – composantes de ℳ.ℒ – garantissent le zéro du ody.  Cela veut dire que le terme "séparation" n'est pas absolu car il reste un iota ou gradient de charge (1/ 𝜉⁴) via l'axe tangentiel. 

- Sceptique : mais si dans un proton (base de la matière), les couches neutres ont annulé les charges, comment peut-il rester un "iota" pour assurer la médiation gravitationnelle ? 

- Le gradient de charge a été fixé avant la fusion en proton, de telle sorte que si les couches – électriquement neutre localement – ne le sont pas pour la gravitation car les intervalles (espaces) sont concernés dans le gradient de charge . Si on en possédait le moyen, on mesurerait ce gradient de 1/ 𝜉⁴ charge élémentaire.

- Sceptique : d'accord pour le gradient de charge mais concrètement, comment se propage la médiation à distance ?

- Les cordistes et les "bouclistes" se demandent si le gradient gravitationnel est porté par l'espace ou par les particules ? Déjà on note cette fâcheuse tendance à l'absolu binaire qui ne voit que des "ou" là où il y a dualité par  "et" ! La réponse est simple : les deux ! Sur l'aire du BEC-fossile, Il y a équivalence entre l'intervalle élémentaire et le rayon de chaque pôle (devenu électron ou positron).  Cela veut dire concrètement qu'il y a une délocalisation (très partielle) de la mise en commun  des pôles au point zéro commun central. Globalement le rayon du BEC en est réduit.  La courbure du BEC avec matière est légèrement accentuée ! Le point zéro commun du BEC en est informé et donc tous le BEC également.

- Sceptique : mais comment communiquent concrètement deux masses conséquentes A et B éloignées d'une distance D ?

- Autour de chacune des masses, les odys sont déviés et cela courbe l'espace-temps. Cette opération revient à perturber la symétrie desodys concernés. Or on a vu que l'existence même repose sur son équilibre à zéro. Ainsi les forces tangentielles répulsives inter-odys, sont légèrement diminuées dans l'intervalle D. Cela revient à créer une force tendant à rapprocher les deux masses. 

- Sceptique : donc si j'ai bien compris, il y a une interaction particule-ody qui tend à diminuer la force répulsive inter-bodys. dans l'intervalle D. Les intervalles élémentaires (et donc les volumes compris dans la distance D), possèdent un gradient de cette force. Mais comment la force saute-t-elle d'un intervalle à un autre ? 

- Le lien entre intervalles tangentielles passe toujours par le point zéro commun. Par exemple un photon saute un intervalle élémentaire ƛₑ à la vitesse : c = ƛₑ / tₑ . Le temps élémentaire tₑ est également celui d'un aller-retour au centre, des pôles d'un ody dont la célérité vaut 𝜉³ fois c. C'est cela qui assure l'isotropie de l'espace-temps par la non distinction entre l'axe tangentiel et l'axe radial.  

- Sceptique : et les autres champs de nature scalaire, vectorielle, tensorielle, concernant par exemple l'électromagnétique, ou le champ de Higgs) ? 

- In fine le BEC est un "champ" de odys 1D. Ils sont à la fois scalaires (l'aspect inertiel) et vectoriels par l'aspect radial de leur amplitude. Globalement, ils représentent  un ensemble dynamique et tensoriel : 3D +c.t. On sait que la gravitation est un gradient de la force électrique. On sait également que par collision de protons, on peut extraire une masse subquantique jusqu'à celle du boson de Higgs. 

- Sceptique : le modèle standard évoque la notion de viscosité dans le "vide" qui gène le déplacement des particules. 

- La viscosité de dimension M / (L.T) est une conséquence mais pas une cause (toujours cet amalgame). La cause est le couplage des paires électron-positrons ex-pôles de odys . La vitesse augmente le taux de couplage. Pour passer d'un intervalle à un autre, une particule élémentaire, doit mobiliser un pôle subquantique dans un aller-retour au centre. S'il existe n particules alors il faut mobiliser n pôles. 

- Sceptique : pourquoi la particule mobilise-t-elle un pôle pour faire un aller-retour au centre ?

- Tout simplement parce qu'il n'y a pas de continuité d'espace 3D. Cet espace 3D n'est qu'un "empilage" d'espaces 1D.  La continuité du 3D n'est qu'une illusion. Le seul point commun entre tous les pôles matérialisant un BEC, est le point zéro central !

- Sceptique : Est-ce la particule qui passe par le centre ?

- Oui et non c'est juste son "ombre" subquantique. En fait la fameuse dualité onde-corpuscule !  Cela se confirme dans le phénomène "fantôme de l'intrication" car le spin de la particule – lié à son pôle dédié – voyage bien plus vite que la lumière ! Il n'y a pas instantanéité comme le croient naïvement certains, mais juste l'énorme ratio de célérité 𝜉³

- Sceptique : est-ce le fameux effet tunnel ?                     

- Oui et c'est directement lié à la dualité onde/corpuscule et la réduction du paquet d'ondes de Schrödinger. La vitesse c = ƛₑ / tₑ est la composante induite quantique de : cₒ = R / tₑ ., la célérité subquantique.  Le BEC tout entier, a la même période tₑ que l'électron et/ou l'intervalle élémentaire de l'espace-temps. Aux limites, le taux de Lorentz prend la valeur : 1/(1–v²/c²) = 𝜉. Mais la plupart des cas sont non relativistes et les pôles voisins subquantiques, ont largement le temps d'échanger de partenaire-particules quantiques sans modifier leur masse. 

- Sceptique : cela paraît incroyable non ?

- La clé est la suivante : c'est l'équivalence entre le rayon de l'électron et l'intervalle élémentaire de l'espace-temps. Cela amène une continuité de masse entre les intervalles élémentaires et donc consolide le champ 1D en 3D.  Ensuite les  particules du matière (toutes à base d'hydrogène) ont toujours une géométrie qui embrassent au minimum (voir second tableau), autant d'espaces élémentaires qu'elles contiennent de paires électron-positrons. Cela confirme que la masse peut transiter localement. Cependant, elle laisse une trace non locale. On a vu que que l'effet tunnel ne concerne que le spin et le statut de localité de création et donc de stabilité.      

    


           


  

Commentaires

  1. En résumé, le champ 1D de Bodys est maintenu en ordre par la force répulsive de Lorenz dans sa partie dynamique (le volume du BEC).
    Ce champ de cordes 1D, est la cause de l'espace-temps 3D +c.t et de la médiation des forces !
    La clé est l'équivalence entre l'intervalle élémentaire et rayon de l'électron. Cela apporte l'aptitude à la continuité locale de la forme "masse" ! Cet aspect s'étend à l'atome d'hydrogène et donc à toute la matière !
    En revanche, le dual "onde" de la "masse" (et donc le statut de localité et le spin) sont les traces tangibles de la non localité étendue à tout le BEC via son point zéro commun.

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  2. Quand une masse se déplace à une vitesse non relativiste, chacun de ses constituants élémentaires, ne fait que changer de partenaire (Bodys subquantiques). La perturbation de l'un, s'efface avec l'activation sur le suivant. Son intensité inertielle (relative au nombre N de ses constituants élémentaires) courbe les trajectoires des N Bodys alentours.

    Cela vient de l'amoindrissement du gradient de forces (de Lorentz) répulsives (qui tiennent écartés les Bodys voisins).

    Lorentz est sur deux fronts : a) le gradient de force qui ordonne le champ de Bodys ; b) la montée relativiste des déformations. Sur ce point, il a oublié de poser une limite à l'extraction de masse subquantique ! Cette limite est xi plutôt que xi^3 car le canal de jauge est en 1D et non en 3D.

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