Enigme 69 : création locale = instabilité des particules

 Voir  : sommaire des énigmes , les cinq clés de la physique fondamentale, l'éclaté du modèle Oscar, la dualité du zéro.
Ratios universels : 𝛼 = f(𝜉). série 𝜉ⁿ, n =1 à 5 :  lP ƛo ƛₑ PZ RBEC
 𝜉 = 1,54 ×10¹¹ ; 𝜉² = mPlanck  / mélectron ; 𝜉³=RBEC / ƛₑ ; 𝜉 = EM / EG ; 𝜉 =RBEC/lP

C'est l'anisotropie (tangentielle / radiale)  du BEC-fossile  𝜉 / 𝜉³ = 𝜉 qui déclenche la mitose-expansion.
  
- Sceptique : le modèle standard classe l'électron parmi les autres leptons (comme le muon), sans tenir compte de son statut unique caractérisé par sa dualité de stabilité. Par exemple, un muon – toujours créé localement est instable.  
 
- Une des grandes erreurs épistémologiques du modèle standard est d'éluder l'importance de la dichotomie entre les particules stables et instables. Cela vient essentiellement du principe cosmologique qui fait l'amalgame entre ces deux propositions : a) toutes les localités sont identiques (ce qui peut être vrai) ;  b) la localité est différente de la non localité propre à l'origine caractérisée par une disruption de localité ! A cause de cet amalgame, on a pas voulu voir que toutes les créations locales sont instables et que les particules stables ont forcément un statut de non localité

- Sceptique : quelles en sont les conséquences ? 

- Elles sont très graves !  En premier lieu on a pas voulu voir que que l'électron est la seule et unique particule libre et élémentaire, à bénéficier du double statut de localité. 

- Sceptique : mais le proton est stable lui aussi et que dire des quarks ?

- Le proton est stable mais non élémentaire comme l'électron. Il est composite. Les quarks ne sont pas des particules libres car leur stabilité est conditionnée à leur confinement au sein des hadrons. D'ailleurs les hadrons autres que le proton, sont instables !

- Sceptique : alors pourquoi le modèle standard a-t-il choisi les quarks comme particules élémentaires, plutôt que les électron-positrons ? 

- La réponse est claire : à cause de l'amalgame sur la dualité de localité. L'expérimentation locale exclut radicalement la possibilité d'avoir un proton composé de paires électron-positrons. Il y a là deux principales raisons : a) une paire électron-positron s'annihile aussitôt après avoir été créée ; b) on n'observe que très peu de positrons et ils sont toujours instables.  (Voir l'argumentation standard dans le tableau joint).

- Sceptique : si j'ai bien compris, ces objections disparaissent dès que l'on applique le principe de dualité de localité. Mais pourquoi ce principe serait plus fort que le principe cosmologique ? 

- Tout simplement parce que le principe de dualité de localité est prouvé,  alors que l'autre est juste une spéculation posée dans le but de simplifier. Ce principe est prouvé car l'électron créé localement est toujours instable alors que l'électron naturel est toujours stable.  Idem pour le proton.  Cela prouve sans réserve que construire une théorie basée sur la seule expérimentation locale, est fausse. Ainsi, s'interdisant l'électron comme composant élémentaire universel, le modèle standard s'est tourné vers les quarks. Là encore on a éludé un fait : l'existence des quarks est strictement conditionnée à son confinement. Hors du proton, ils sont instables ! Cela montre qu'ils ont u statut de particules induites, au sein des hadrons. 

- Sceptique : quels sont les arguments tangibles pour prouver que les protons (donc la matière) sont constitués de couches d'électron-positrons ?

- Il y a deux point de vue : 1/ globalement, cela lève plus de 60 énigmes ! Concernant le mode de création non locale, il suffit de comprendre ce qu'est une disruption de localité : les pôles d'un oscillateur ody, une fois séparés (car en opposition sur le rayon, de taille cosmique, du BEC-fossile), ne peuvent pas s'annihiler avec leur voisin de charge contraire car il est issu d'un autre ody.  Il y a donc une réduction de localité et les paires électrons-positons (ex-pôles) peuvent fusionner en proton ou neutron. Il suffit enfin, de constater la non localité des paires intriquées.  2/ Localement on peut noter : a) la charge du proton est strictement celle d'un positron ; b) le rayon du proton est donné par la loi de Compton en rapport avec celui de l'électron pour 4 groupes de couches neutres ; c) le modèle montre que 4 groupes implique 3 intervalles polarisés qui induisent 3 quarks ; d) la loi de KOIDE-MAREAU qui montre plusieurs choses : d1) les liens directs entre entre proton-neutrons et leptons-mésons ! ; d2) que ces liens se renforcent avec les nombre entiers de paires électron-positrons ; e) l'obtention du nombre exact de l'anomalie du moment magnétique de l'électron par des arguments physiques ; f) le positron de la paire célibataire  du neutron – toujours placé plus près du centre – ne peut être éjectée et cède donc cette liberté, à l'électron ; g) la parité d'un positron émis par certains noyaux – toujours de création locale au sein du noyau – est un électron qui échange par effet tunnel (via les odys), son statut de stabilité avec l'électron extérieur rencontré. C'est un fait de constater que l'électron stable externe, change de statut pour s'annihiler via un fugace positronium. Mais il y a également la loi de symétrie qui est ainsi conservée ! Il y a bien autant d'électrons que de positrons même si la partie stable de ces derniers est condamnée à rester confinée !

- Sceptique : pourquoi ce sont seulement les positrons qui restent confinés dans les muons, les mésons ou les protons ?

- C'est simple : Les particules composites ont une partie (principale) neutre faite de couches empilées et dont les charges sont masquées. Par exemple pour les neutrons, il y a en plus une paire célibataire électron-positron. Dés le départ le hasard a fixé une polarité entre le "vide" et la matière. C'est ce hasard qui à fixé la positron plus interne pour le positron (une chance sur deux). On a d'ailleurs montré comment l'électron finissait par vaincre la barrière de potentiel, générée par la polarisation des couches. C'est justement le démasquage des charges de ces couches qui explique que la force forte disparaît avec la réduction de la distance.       

         

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