Enigme 72 : big bang par mitose en cascade d'un BEC
Voir : sommaire des énigmes , les cinq clés de la physique fondamentale, l'éclaté du modèle Oscar, la dualité du zéro.
Ratios universels : 𝛼 = f(𝜉). série 𝜉ⁿ, n =1 à 5 : lP → ƛo → ƛₑ → PZ → RBEC
𝜉 = 1,54 ×10¹¹ ; 𝜉² = mPlanck / mélectron ; 𝜉³=RBEC / ƛₑ ; 𝜉⁴ = EM / EG ; 𝜉⁵ =RBEC/lP
Ratios universels : 𝛼 = f(𝜉). série 𝜉ⁿ, n =1 à 5 : lP → ƛo → ƛₑ → PZ → RBEC
𝜉 = 1,54 ×10¹¹ ; 𝜉² = mPlanck / mélectron ; 𝜉³=RBEC / ƛₑ ; 𝜉⁴ = EM / EG ; 𝜉⁵ =RBEC/lP
C'est l'anisotropie (tangentielle / radiale) du BEC-fossile 𝜉⁴ / 𝜉³ = 𝜉 qui déclenche la mitose-expansion.
- Sceptique : cet article de Nature-astronomy découvre de nouveaux indices, obtenus via le satellite Planck, indiquant que l'univers est sphérique. Cela remet-il en cause le modèle standard ?
- Oui le modèle standard rejette l'idée d'un univers de type euclidien sphérique en arguant le fait que nous vérifions pas une anisotropie observationnelle flagrante. Mais cet argument n'est pas recevable car il suffit de considérer une expansion en couches ayant un gradient de vitesses (de 0 à 5 c), pour vérifier que chaque localité se voit effectivement comme un centre autour duquel tout s'éloigne. Cependant ce modèle en couches devrait trahir une légère anisotropie. C'est ce qu'avance cet article car – de plus – on a des difficultés à fixer précisément la constante de Hubble.
- Sceptique : y-t-il d'autres arguments en faveur de ce modèle sphérique en couches ?
- Sceptique : il faudrait développer le 5eme argument !
- En effet il mérite une explication plus précise : à partir de chaque localité (dont la nôtre) – du fait de la limite c des photons – regarder loin c'est remonter le temps. Ce passé – d'autant reculé que les masses s'éloignent vite – est relatif à chaque localité. Mais il existe un passé (et donc également un futur) de type canonique. Le modèle sphérique en couches (M.S.C) possède une flèche du temps qui va du centre vers l'extérieur. Il y a deux indices qui nous permet de voir cette flèche du temps. Le premier est le trou de l'Eridan et le second concerne le Grand Attracteur. Le M.S.C tend globalement à écarter les galaxies entre elles. Mais on sait que localement, il existe çà et là des regroupements gravitationnels. Par exemple, on sait que notre galaxie est en cours de rapprochement avec la galaxie d'Andromède. Ce genre d'évènement est commun au deux types de futur : relatif et canonique. Il en est de même pour le Grand Attracteur qui possède un futur canonique de concentration. Le fait qu'il soit à l'opposé du centre Eridan, et donc un indice sérieux pour le modèle M.S.C.
- Sceptique : qui a décidé du nombre 5 pour les étapes de mitose ?
- Le tableau montre que pour 𝜉² (issu du hasard) la base 5 de son logarithme est proche de 2⁵ = 32. Chaque étape de mitose passe forcément par un dédoublement (2). Si le hasard avait fixé 𝜉² à 𝜉 alors l'équivalence la plus proche eut été 2⁴. Ainsi l'expansion en couches de (0 à 5 c) possède une moyenne (2,5 c) située au-delà de notre horizon cosmologique. Cette moyenne ralentit effectivement sous l'action de la gravitation et cela lève naturellement l'énigme de l'accélération.
- Sceptique : et où trouve-t-on le nombre 5 ?
- Il existe notamment un coefficient harmonique à base 5 dans les bosons de jauge et les quarks. Les 5/8 ou 2/5 sont les plus fréquents. Il faut également voir la nature où beaucoup de fractales naturelles sont à base de 5 en commençant par nos doigts.
- Oui le modèle standard rejette l'idée d'un univers de type euclidien sphérique en arguant le fait que nous vérifions pas une anisotropie observationnelle flagrante. Mais cet argument n'est pas recevable car il suffit de considérer une expansion en couches ayant un gradient de vitesses (de 0 à 5 c), pour vérifier que chaque localité se voit effectivement comme un centre autour duquel tout s'éloigne. Cependant ce modèle en couches devrait trahir une légère anisotropie. C'est ce qu'avance cet article car – de plus – on a des difficultés à fixer précisément la constante de Hubble.
- Sceptique : y-t-il d'autres arguments en faveur de ce modèle sphérique en couches ?
- Il y en a plusieurs :
- a) les arguments propres aux mesures avancées par cet article ;
- b) une telle bulle-univers explique directement l'accélération (dans notre horizon cosmologique) de l'expansion. En effet, les couches en avance (5 c) entraînent les couches en retard (< 2,5 c) ;
- c) on observe un seul et unique grand vide > 1 Gyl, vers l'Eridan qui représente le centre via le BEC-fossile visible à ~7Gyl
- d) la température de l'annihilation primordiale de l'électron (5,9 ×10⁹ K) s'amortit en 1/r² et donne précisément celle du fond cosmique ;
- e) en direction opposée de ce trou, il y a le Grand Attracteur.
- Sceptique : il faudrait développer le 5eme argument !
- En effet il mérite une explication plus précise : à partir de chaque localité (dont la nôtre) – du fait de la limite c des photons – regarder loin c'est remonter le temps. Ce passé – d'autant reculé que les masses s'éloignent vite – est relatif à chaque localité. Mais il existe un passé (et donc également un futur) de type canonique. Le modèle sphérique en couches (M.S.C) possède une flèche du temps qui va du centre vers l'extérieur. Il y a deux indices qui nous permet de voir cette flèche du temps. Le premier est le trou de l'Eridan et le second concerne le Grand Attracteur. Le M.S.C tend globalement à écarter les galaxies entre elles. Mais on sait que localement, il existe çà et là des regroupements gravitationnels. Par exemple, on sait que notre galaxie est en cours de rapprochement avec la galaxie d'Andromède. Ce genre d'évènement est commun au deux types de futur : relatif et canonique. Il en est de même pour le Grand Attracteur qui possède un futur canonique de concentration. Le fait qu'il soit à l'opposé du centre Eridan, et donc un indice sérieux pour le modèle M.S.C.
- Sceptique : qui a décidé du nombre 5 pour les étapes de mitose ?
- Le tableau montre que pour 𝜉² (issu du hasard) la base 5 de son logarithme est proche de 2⁵ = 32. Chaque étape de mitose passe forcément par un dédoublement (2). Si le hasard avait fixé 𝜉² à 𝜉 alors l'équivalence la plus proche eut été 2⁴. Ainsi l'expansion en couches de (0 à 5 c) possède une moyenne (2,5 c) située au-delà de notre horizon cosmologique. Cette moyenne ralentit effectivement sous l'action de la gravitation et cela lève naturellement l'énigme de l'accélération.
- Sceptique : et où trouve-t-on le nombre 5 ?
- Il existe notamment un coefficient harmonique à base 5 dans les bosons de jauge et les quarks. Les 5/8 ou 2/5 sont les plus fréquents. Il faut également voir la nature où beaucoup de fractales naturelles sont à base de 5 en commençant par nos doigts.
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