Enigme 74 : le neutrino, un ℬody à l'échelle quantique

Voir  : sommaire des énigmes , les cinq clés de la physique fondamentale, l'éclaté du modèle Oscar, la dualité du zéro.
Ratios universels : 𝛼 = f(𝜉). série 𝜉ⁿ, n =1 à 5 :  lP ƛo ƛₑ PZ RBEC
 𝜉 = 1,54 ×10¹¹ ; 𝜉² = mPlanck  / mélectron ; 𝜉³=RBEC / ƛₑ ; 𝜉 = EM / EG ; 𝜉 =RBEC/lP

L'anisotropie (tangentielle / radiale)  du BEC-fossile  𝜉 / 𝜉³ = 𝜉 déclenche la mitose-expansion des ℬodys.
  
- Sceptique : selon le dernier billet, les neutrinos sont  une réplique des ℬodys à l'échelle quantique ? Mais alors comment concilier la stabilité des neutrinos et l'instabilité des muons par exemple ? 

- Les neutrinos électroniques sont de type "création non locale" et donc préexistent dans les neutrons initiaux. Ils forment des oscillateurs ℬodys qui peuvent s'assembler ou se condenser – par effet de résonance – en  neutrinos muoniques et tauiques. C'est de ce type de structure stable que naissent les muons et tauons qui eux sont instables. On a par exemple pour le muon négatif,  un ensemble neutre de : 2×102 = 204, éléments qui captent une paire (e+p) + 1 e. Cela fait bien un muon à 206 + 1 = 207. Son instabilité l'amène à émettre une paire (e+p) + 1 e + 204 neutres (neutrino muonique).

- Sceptique : expérimentalement on considère une chronologie qui part de l'existence du  muon à partir duquel sont émis des neutrinos. N'est-ce pas une fausse interprétation ?

- En fait c'est un cycle qui se produit : des neutrinos électroniques se groupent par résonance en neutrinos muoniques (ou tauiques) qui ensuite se désintègrent.             
    
- Sceptique : mais selon Pauli – se basant sur la conservation de l'énergie dans la réaction : neutron = proton + électron + neutrino – le neutrino ne devrait-elle pas avoir une masse inférieure à celle de l'électron ?

- Il faut se rappeler que la structure dipolaire du neutrino (type oscillateur ℬodys) est de nature à annuler sa masse par une loi de symétrie. Cependant, lors de la transition, la perturbation induite fausse légèrement sa symétrie ce qui lui confère une masse transitoire.  Ce même phénomène revient ensuite, par réaction à toute perturbation.   

- Sceptique : le tableau ne dit pas que le tauon peut émettre (en plus des particules) des quarks (d, s, 2 ù) dont les charges (1/3, 2/3) cumulées représentent 2 e. Alors comment se conservent les charges ?

- Les quarks sont instables hors de leur confinement car ils sont induit. Mais cela ne change rien car la charge e du W et un différentiel de charge.

- Sceptique : que veulent dire les flèches verticales, soit vers le haut ou vers le bas ?

- Ces flèches signifient une transition subquantique comme le fait un boson de jauge comme le W par exemple.

- Sceptique : Quelles sont ces fameuses résonances qui fixent les niveaux des particules ? 

- Comme dans tout processus, il y a le hard et le soft. Les ℬodys formant les BECs de l'espace-temps, sont 10³³ fois plus nombreux  que les particules de matière. Leur influence est de l'ordre du soft via la formule de Boltzmann K ln(N). Cette influence se retrouve : a) dans la dualité onde-particule ; b) le lien fantôme de l'intrication; c) l'effet tunnel ; d) la réduction du paquet d'ondes de Schrödinger ; e) la cause de la constance de la vitesse de la lumière ; f) la structuration (hard) des particules g) le ralentissement anormal des sondes Pioneer ; h) la médiation des forces,  etc ...

Le neutrino électronique est un ℬody à l'échelle quantique. Il est sous forme d'un oscillateur dipolaire où un positron s'oppose à un électron. Ils s'annulent sans annihilation car ils sont de création non locale. Ainsi la masse du neutrino bien symétrique, est nulle mais peut se révéler en partie en fonction de l'intensité d'une perturbation. Par exemple, la perturbation issue de sa transition lors d'une réaction 𝛽, lui confère une certaine masse provisoire (mesure de l'effet de recul). Ensuite, au gré des déplacements d'un groupe, les éléments de ce groupe, peuvent se condenser, et former un neutrino muonique ou tauique. Ces mariages interviennent lors de chocs qui révèlent qui perturbent la symétrie et donc révèlent une partie des masses. C'est exactement le même phénomène avec les bosons de jauge, qui prélèvent une énergie-masse aux ℬodys subquantiques. Le dual du neutrino électronique est le positronium qui  – de part sa création locales'annihile rapidement.
La masse du neutrino électronique varie de zéro à celle de 2 électrons en fonction des perturbations.  

                     

Commentaires

  1. Si l'on veut mesurer la vraie masse des neutrinos, alors il suffit de vérifier qu'ils filent bien à la vitesse de la lumière pour admettre : m = 0 ! Ce zéro, basé sur la symétrie dipolaire, change lors des perturbations telles que la transition n → p + 𝜈 + e. Là on peut mesurer un certain taux d'asymétrie dipolaire et donc la masse correspondante, par l'effet de recul. C'est du Majorana + !

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  2. L'instabilité de muon (207 unités monopolaires) revient juste à la transformation en 3 éléments stables : a) le neutrino muonique (204 unités dipolaires) ; b) le neutrino électronique (2 unités dipolaires) ; c) l'électron libre.

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  3. bonjour Mr Mareau,
    merci pour ces infos qui, du coup, m'obligent à solliciter votre éclairage:
    - un neutrino électronique est donc une paire electron positron de création non locale, éjectée des particules composites stables lors de réactions diverses.
    - l'appellation neutrino électronique est-elle valable uniquement à l'extérieur de la particule composite?
    - en effet, sinon un neutron ou proton serait composé de 1840 neutrinos électroniques, composant la partie neutre + 1 paire ou trois selon si c'est un proton ou un neutron.
    - mais si un neutron electronique est stable (non perturbé) alors sa masse =0, ce qui serait incohérent avec la masse d'un neutron ou d'un proton (qui sont réputés stables, surtout le proton)
    - l'oscillation de la partie neutre d'un proton/neutron en 4 groupes concentriques permet-elle d'empêcher la symétrie des neutrinos les composants (si évidemment on peut appeler les paires electron/positron des neutrinos) révélant ainsi leur masse?
    - le neutron serait donc plus lourd qu'avant dans le modèle oscar. Cela va changer son taux d'habillage, mais pas les réactions, qui au contraire, seront mieux expliquées par la nature plus précise du neutrino.
    - le neutrino interagit très peu avec la matière. D'ailleurs on se demande ce qui pourrait perturber cette paire symétrique une fois émise. Comment expliquer alors la détection de neutrinos dans les détecteurs?
    - neutrinos et photons sont donc deux particules de nature très différente

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  4. Bonjour LC.

    Oui en terme de nombre, on peut dire que la partie neutre du proton est constituée de 920 neutrinos électroniques. Cependant, il existe une différence fondamentale entre ces deux entités : le neutrino est dipolaire (avec point zéro) alors que le proton est monopolaire à 4 couches, 3 intervalles, donc 3 quarks. C'est cet état dipolaire qui annule la masse du neutrino tout comme les bodys subquantiques.

    Il faut noter que le neutrino est la seule particule à n'avoir qu'un seul intervalle. Son pseudo "quark" est sont point zéro.

    Le neutrino a une section efficace très faible car ses 2 ondes opposées ne peuvent entrer en collision avec un atome quelconque que dans la probabilité extrêmement faible où les 2 parties sont réunies au point zéro, coïncide avec la collision.

    En revanche, si une seule des parties est touchée, alors se crée une asymétrie qui fait apparaître un différentiel de masse. C'est ce qui peut éventuellement le transformer en neutrino plus "lourd".

    J'ai prévu de parler prochainement des photons et notamment en levant l'amalgame que fait le modèle standard entre CAUSE de la médiation et EFFET de la médiation. Le photon accompagne le médiateur Body et n'en est pas la cause. C'est la même chose pour les bosons de jauge.

    Bonne soirée à vous

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  5. merci pour vos précisons !
    J'aurai encore besoin de quelques éclaircissements:
    - Comment est couplé le neutrino avec le subquantique s'il est lui même un BODY (certes quantique)?
    - Où se situe le point zéro du neutrino dans le puit de jauge?
    - quel est le rayon d'oscillation du neutrino?
    - les 920 paires composant la partie neutre du neutron ou du proton sont couplées avec 920 BODYS subquantique. Est-ce que ces 920 couplages sont simultanés et colocalisés (ce qui voudrait dire que 920 BODYS convergent au moins central du proton ou neutron)?
    - Si les atomes ne sont pas assemblés en grappe de raisin mais concentriques, alors l'uranium 235 (par exemple) est couplé avec 216200 BODYS et donc cela interroge sur la convergence au même point de ces 216200 BODYS. Cela doit engendrer un déséquilibre local (pour ne pas dire déformation) du BEC. Est ce en partie cela la perturbation de la matière sur l'espace temps?

    Bonne semaine !

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  6. lire "point central du proton"

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  7. Ces questions sont délicates et mes réponses seront du genre "je pense que" :

    - Le neutrino est couplé comme toutes autres paires d'électron-positron.
    - le point zéro est au niveau quantique
    - l'amplitude est celle de Compton
    - En mode dynamique les Bodys peuvent-être serrés à l'intervalle de Planck et donc il y a de la marge. Le noyaux d'uranium crée effectivement une très forte déformation locale de l'espace-temps.

    L'empilage monopolaire en couches des particules visibles, masque les charges mais pas les masses car il n'y a pas opposition comme dans le mode dipolaire des Bodys ou des neutrinos. Pour le "ML" (inséparable), c'est l'aspect algébrique de L qui annule les "ML" en opposition. Dans l'empilage monopolaire, les couches partagent le même L (le rayon).

    En résumé : a) lepton → une couche monopolaire → pas d'intervalle → pas de quark ; b) neutrino → 2 pôles opposés → 1 intervalle nommé "point zéro" ; c) méson → 3 couches→ 2 intervalles → 2 quarks ; d ) hadron → 4 couches → 3 intervalles → 3 quarks .

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