énigme 79 : explication physique de la réduction du paquet d'ondes

Voir  : sommaire , les cinq clés de la physique, l'éclaté du modèle, dualité du zéro.
Ratios universels : 𝛼 = f(𝜉). Série 𝜉, n =1 à 5 :  lP ƛo ƛₑ PZ RBEC.  𝜉 = 1,54 ×10¹¹ ; 𝜉² = mPlanck  / mélectron ; 𝜉³=RBEC / ƛₑ ; 𝜉 = EM / EG ; 𝜉 =RBEC/lP ; = mₑ ƛₑ²/ t
Anisotropie (tangentielle / radiale) du BEC-fossile 𝜉 / 𝜉³ = 𝜉 déclenche la mitose-expansion des oscillateurs  ℬodys
Le ℬody suit la loi de Compton : ℳ.ℒ = Cte
paradoxe existentiel né de deux interdits : = 0 ; ℳ  > 0
Point zéro ℬody selon impulsion de Dirac ∂() d = 1
Les pôles s'annulent selon l'identité d'Euler : eiπ + 1 = 0. 
L'aspect algébrique de permet la symétrie :  ℳ.ℒ' +ℳ.ℒ = 0
l'opérateur dipolaire→monopolaire révèle les pôles { }
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- Sceptique : le modèle standard considère que c'est l'absence de masse du photon qui lui confère un déplacement à la vitesse de la lumière. Que dit le modèle Oscar à cet égard ?

- Le photon est un des composants dipolaires de type ℬody, source de toute chose. Commençons par regarder la dualité onde-corpuscule. L'expérience de Young ne concerne pas seulement les photons mais également les électrons et les atomes. Cependant il y a une différence importante : a) les corpuscules massiques – donc de type monopolaire – sont faiblement couplés aux ℬodys subquantiques via leur taux d'habillage. Celui d'un  proton est de  0,0031 ; b) le taux de couplage du photon est unitaire. Ainsi le photon possède une image miroir au niveau subquantique qui annule sa masse selon l'identité d'Euler : eiπ + 1 = 0. C'est un ℬody transverse car le pôle quantique est l'image réduite du pôle subquantique. Dans les fentes de Young, les figures d'interférence d'un proton sont importées du niveau subquantique, i.e, de l'espace-temps lui-même. Pour toutes les particules, la contrepartie subquantique (partielle ou complète), inclus l'information du spin. Cela se vérifie car on sait  que les spins intriqués restent causalement en interaction, au-delà de la vitesse de la lumière. C'est très rapide mais pas instantané !

- Sceptique : mais les variables cachées n'ont-elles pas été rejetées par Bell ?

- C'est le faux argument de ceux qui rejettent l'existence du niveau subquantique. Il est faux car Bell a bien mentionné "pas de variables cachées locales". Or cette précision n'est pas triviale car les ℬody sont typiquement non locaux (en fait à localité élargie).  De plus il s'agit de constantes non cachées puisque tous ses effets sont recensés dans une très grande cohérence. En éludant le niveau subquantique, on ne peut comprendre le processus physique qui anime la réduction du paquet d'onde. La description mathématique de Schrödinger n'est en rien, une explication. Tout est régulé et induit par les ℬodys supraluminiques et subquantiques, formant l'espace-temps. En premier lieu, la vitesse quantique c est induite par la vitesse cₒ des ℬodys .            


- Sceptique : le modèle standard considère qu'une particule non observée n'a pas de position précise dans l'espace. Pour remédier à cette incompréhension il aborde ce problème sous l'angle probabiliste.  Alors pour le modèle Oscar, où se situe l'onde d'une particule non observée ?

- Elle se situe à la fois dans le niveau quantique et le niveau subquantique, i.e, le BEC tout entier.

- Sceptique : est-ce cela que décrit la fameuse réduction du paquet d'onde avancée par Schrödinger ?

- Oui et en voici un exemple : en injectant l'énergie adéquate en laboratoire (où lors de collisions naturelles de particules), on peut extraire une paire électron-positron du niveau subquantique. Celle-ci s'annihile et se propage sous forme d'onde, à la vitesse de la lumière. Le modèle standard considère que l'énergie de masse s'est transformée en énergie cinétique (onde sans masse). Si une perturbation survient, le paquet d'ondes se retrouve en mode corpusculaire de type photon.

Sceptique : comment le modèle standard explique cette réduction du paquet d'onde quasi instantanée ?

- Il ne l'explique pas ! Il la décrit avec une approche mathématique basée sur la probabilité de présence. Jean-Paul Baquiast décrit très bien les contradictions du modèle standard. Il pose la question à savoir s'il existe une réalité objective de l'onde non observée qui selon Schrödinger possède une infinité d'états. Il évoque également le rejet de Bell sur les variables cachées mais en précisant "local". On note cependant qu'il met le mot entre parenthèses, alors que c'est la clé pour comprendre.  

- Sceptique : quand on parle d'impact photonique sur une voile solaire, le photon acquière t-il une masse à ce moment ?

- Épistémologiquement, on considère que l'énergie de masse annihilée (m c²)  prend la forme d'une énergie E = h𝜈 sans masse. De là on en tire mathématiquement une impulsion : p = 𝜈 /c. Mais il y a là encore une façon d'éluder la physique ! On se rappelle que = mₑ ƛₑ²/ t est le reflet des seuls paramètres de l'électron qui comprend donc sa masse. La forme p = 𝜈 /c dit que l'énergie est conservée. Mais physiquement, pour créer un impact sur la voile avec effet de recul, il faut forcément une inertie ! Donc la forme fondamentale de l'impulsion est p = m v où l'on voit clairement que l'effet de recul est induit par une inertie animée d'une vitesse. Si évoquer la conservation de l'énergie est effectivement exact, cela ne justifie pas l'effet de recul inertiel. Cette justification du genre "c'est autorisé par" est nécessaire mais pas suffisante. Elle élude le fait qu'une énergie massique où cinétique s'écrit en toute rigueur [M L T⁻²] avec un inertiel de son état. Le recul de la voile est un fait macroscopique avéré et il est vain de se cacher derrière le "mystère quantique" qui a bon dos.

- Sceptique : alors qu'en est-il de l'impact physique sur la voile ?

- Le tableau montre que c'est la stricte application de la dualité d'état de la matière. Si l'état est dipolaire (onde de type ℬody), les masses opposées sont annulées. Si l'état est de type monopolaire, (corpusculaire) alors la masse apparaît. Ainsi notre onde photon (masse zéro) venant du soleil et très étendue, transite vers le niveau subquantique pour prendre le train supraluminique de la réduction au point d'impact sur la voile. l'état dipolaire passe par l'opérateur { } pour devenir un état fugace monopolaire avec masse. Cela explique physiquement le recul inertielle de la voile. Une partie de cette énergie est thermalisée.

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 L'inséparabilité de ℳ.ℒ = Cte, confère à cette entité, le caractère algébrique propre à . Ainsi l'expression : "les masses opposées s'annulent" dit implicitement : "les 2 entités ℳ.ℒ  opposées, s'annulent", selon l'identité d'Euler.  
Ainsi il est simpliste de dire : "masse ou pas masse ?" car il y a toujours un paramètre inertiel en jeu ! Si l'état est dipolaire alors les masses s'annulent. Si la forme est monopolaire, alors les masses se révèlent. C'est le fondement physique de la dualité onde-corpuscule. C'est la clé du paradoxe existentiel induisant un état d'univers permanent, stochastique et à haute entropie de désordre.



    

Commentaires

  1. Je reviens sur l'impact d'un photon qui fait avancer la voile d'une sonde spatiale. Son impulsion écrite p = ℏ 𝜈 /c, cache le fait qu'une impulsion est toujours une masse multipliée par une vitesse, soit p = m v. L'emploi de ℏ est une supercherie à plusieurs titres : a) il cache le fait qu'il ne représente que l'électron et que c'est donc bien lui qui est universel ; b) il élude le fait que le photon (à l'état corpusculaire) est sporadiquement massique.

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  2. L'état onde est sous forme d'un dipôle où : ML + ML' = 0. L'état corpusculaire monopolaire n'annule pas les M car les L de tous les ML empilés sont orientés dans le même sens. La forme 2 groupes de couches → 1 intervalle → 1 quark n'existe pas car elle est toujours sous la forme dipolaire où le pseudo quark est le "point zéro".

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