Enigme 80 : lente "usure" des photons

Voir  : sommaire , les cinq clés de la physique, l'éclaté du modèle, dualité du zéro.

Ratios universels : 𝛼 = f(𝜉). Série 𝜉ⁿ, n =1 à 5 :  lP → ƛo → ƛₑ → PZ → RBEC.  𝜉 = 1,54 ×10¹¹ ; 𝜉² = mPlanck  / mélectron ; 𝜉³=RBEC / ƛₑ ; 𝜉⁴ = EM / EG ; 𝜉⁵ =RBEC/lP ; ℏ = mₑ ƛₑ²/ tₑ
Anisotropie (tangentielle / radiale) du BEC-fossile :  𝜉⁴ / 𝜉³ = 𝜉 déclenche la mitose-expansion des oscillateurs  ℬodys

Le ℬody suit la loi de Compton : ℳ.ℒ = Cte

paradoxe existentiel né de deux interdits : ℳ = 0 ; ℳ  > 0
Point zéro ℬody selon impulsion de Dirac ∫∂(ℳ) dℒ = 1
Les pôles s'annulent selon l'identité d'Euler : e^iπ + 1 = 0. 
L'aspect algébrique de ℒ permet la symétrie :  ℳ.ℒ' +ℳ.ℒ = 0
l'opérateur dipolaire→monopolaire révèle les pôles {↔ ⇴ ↻}
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- Sceptique : l'idée de l'usure des photons a été abandonnée par le modèle standard. Est-ce à tort ? L'amortissement en 1/r²  ne serait pas correct ?

- Rien n'est binaire et là encore il existe deux types d'amortissement pour les photons (supposés non perturbés) : a) principalement en 1/r² ; b) d'une manière très lente, l'état onde migre au niveau subquantique.

- Sceptique : est-ce pour cela que son oscillation est mixte (à la fois au niveau quantique et transverse) ?    

- Oui et c'est universel car toutes les particules sont plus ou moins couplées avec les ℬodys. Cependant le photon se distingue en ce sens qu'il est paritaire entre les deux niveaux. Tout énergie quantique doit retourner à terme au niveau subquantique.     

- Sceptique : quel est le temps d'usure ? 

- Le niveau quantique est structuré par des intervalles élémentaires qui sont calibrés au Compton de l'électron ƛₑ (ex-pôles). La période élémentaire et commune à cet intervalle et au BEC entier est  tₑ . Ainsi on a c = ƛₑ / tₑ . Mais comme l'intervalle des ℬodys est R = 𝜉³ ƛₑ pour la même période tₑ, c'est l'ensemble du BEC qui régit le déplacement des photons à vitesse c. Cela veut dire que le passage d'un volume élémentaire à l'autre réclame un aller-retour au centre du BEC.

- Sceptique : mais qu'est-ce qui justifie cela ?

- C'est la conservation de l'énergie subquantique. Créer une paire électron-positron prélève 2 pôles au BEC et ils doivent y retourner, à terme.

- Sceptique : ce taux de retour faible, ne trahit-il pas une asymétrie au dipôle photon ? 

- Oui  mais elle est extrêmement faible. Le tableau montre le taux d'influence de la masse sur les ℬodys. En face d'une seule masse élémentaire (électron ou positron), il y a 𝛼² 𝜉³ pôles de ℬody.  

- Sceptique : comment peut-on juger de la part perdue par migration vers le niveau subquantique ? 

- L'évaporation subquantique de chaque période tₑ = 10⁻²¹ s indique qu'un photon cède 1/𝛼² 𝜉³ de son énergie.       

- Sceptique : mais il y a plusieurs BECs enchevêtrés. Est-ce que cela dépend de leur taux d'enchevêtrement ?

- Oui et on peut le vérifier avec la loi Eddington-Oscar  qui considère la Bulle-Univers comme un oscillateur dont la période est de 3032 Gy. On en tire un ratio avec le temps (gravitationnel) soit 296.5 Gy et on obtient le taux d'usure global. Par une déclinaison linéaire, on tire une estimation du taux actuel pour 23.8 Gy, qui est d'environ 1%. 

- Sceptique : est-ce que les photons sortent de la Bulle-Univers ?

- En premier lieu, il faut préciser que le photon libre est un quanta d'onde de masse résultante nulle. En second lieu, hors de la limite de la bulle univers, il n'y a plus de structure d'espace-temps puisqu'il s'agit de ℬodys stochastiques non connexes. En troisième lieu la Bulle-Univers est un trou noir dont le rayon de courbure ne laisse rien échapper. Cependant, il est difficile de prévoir la physique de la fin de notre Bulle-Univers où les BECs sont en cours d'évaporation et ou la matière – après être passée par la phase noire – est quasi annihilée.