Enigme 87 : l'infinité de l'univers

Situation du problème

Déjà au stade de l'écriture du titre (moniste), on oublie le principe de dualité qui est la clé pour aborder la notion d'existence. Avec l'abord moniste, on est vite confronté aux notions de bord, de début, de limite. Cela mène à des prémisses spéculatives ou simplistes comme la "singularité" ou le principe cosmologique. La clé pour sortir de ces spéculations, est encore d'essence duale : l'oscillateur dipolaire. Cet élément apporte un zéro physique basé sur sa stricte symétrie. Ce zéro est différent du zéro mathématique qui est de type moniste ou absolu. Cette notion d'absolu est d'un autre âge. Le zéro physique propre aux oscillateurs stochastiques de la matrice permanente, leur confère le droit d'être en nombre infini. Le brassage intense de ces oscillateurs, ouvre  la voie à la dualité de type : {entropie ↔ néguentropie}. Elle revient à considérer une matrice d'univers stochastique et permanente qui génère statistiquement et provisoire en une Bulle-Univers synchronisée.           

- Sceptique : Est-ce cette quête ancestrale de l'absolu qui amène naturellement l'humanité à "croire" à la notion d'infini ?

- Le sujet de l'infini  est comme toutes choses, emprunt de dualité. Les nombres purs (sans empreinte physique) peuvent-être infini. En revanche les paramètres physiques ne peuvent en aucun cas être infini.

- Sceptique : donc dans la matrice d'univers, le nombre d'oscillateurs dipolaires ℬodys, peut-être infini ? 

- Non seulement il peut mais il doit ! En effet, toute hypothèse du genre "le nombre est limité à..." laisserait entendre ces questions légitimes mais insurmontables : a) qui a fixé le nombre ? ; b) quelle est la nature de la limite ?

- Sceptique : cela laisse entendre une matrice d'univers stochastique ayant un espace infini, non ?

- Non la matrice d'univers n'a pas d'espace ! On ne peut affirmer cela qu'en le comparant à la structure de l'espace-temps, subquantique et synchronisée. La structure BEC – par sa dualité {quantique - subquantique} permet à ses espaces élémentaires 1D (ℬodys), d'être connectés entre eux et présenter une structure 3D + ct. C'est cela qui est éludé aujourd'hui en le nommant magiquement "champ". La matrice – en désordre quasiment infini – n'est qu'un empilement incohérent, de structures 1D (ℬodys) qui s'ignorent mutuellement.         

- Sceptique : si les paramètres physiques sont limités à une certaine valeur, cela devrait se voir ?

- Exact : le tableau montre que les rayons cosmiques les plus énergétiques sont limités à 𝜉 fois le proton p. Le modèle en couches montre également pourquoi cette limite existe et comment on la mesure dans plusieurs autres domaines physiques. Le tableau montre que cela vient du facteur de Lorentz qui est limité à 𝜉. Enfin, la sources des rayons cosmiques est également expliquées comme étant des réminiscences de la saturation-mitose originelle. Ces réminiscences – à l'échelle galactique – viennent de la saturation des ℬodys au cœur des concentrations galactiques.      


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Voir  : sommaire , les cinq clés de la physique, l'éclaté du modèle, dualité du zéro.
Ratios universels : 𝛼 = f(𝜉). Série 𝜉, n =1 à 5 :  lP ƛo ƛₑ PZ RBEC.  𝜉 = 1,54 ×10¹¹ ; 𝜉² = mPlanck  / mélectron ; 𝜉³=RBEC / ƛₑ ; 𝜉 = EM / EG ; 𝜉 =RBEC/lP ; = mₑ ƛₑ²/ t
Anisotropie (tangentielle / radiale) du BEC-fossile 𝜉 / 𝜉³ = 𝜉 déclenche la mitose-expansion des oscillateurs  ℬodys
Le ℬody suit la loi de Compton : ℳ.ℒ = Cte
paradoxe existentiel né de deux interdits : = 0 ; ℳ  > 0
Point zéro ℬody selon impulsion canonique de Dirac ∂() d = 1
Les pôles s'annulent selon l'identité d'Euler : eiπ + 1 = 0. 
L'aspect algébrique de permet la symétrie :  ℳ.ℒ' +ℳ.ℒ = 0
l'opérateur dipolaire→monopolaire révèle les pôles { }
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Commentaires

  1. Bonjour Mr Mareau,
    - la différence entre le zéro absolu et le zéro relatif semble plus accessible à notre entendement que la différence entre un infini absolu et un infini relatif. Pourtant les deux sont intimement liés. Si on prend un paramètre physique quelconque, alors l'inverse de ce paramètre physique est un autre paramètre physique qui coexiste en permanence de l'autre. On voit bien qu'un paramètre physique égal au zéro absolu implique que son paramètre physique dual soit absolument infini, ce qui n'est physiquement pas acceptable.

    - la notion d'infini absolu implique une continuité de la grandeur infinie et c'est ce que nous n'avons pas dans la matrice univers, notamment en termes d'espace, d'inertie ou de temps. L'infini y est relatif. Relatif, comme potentiel infini du nombre de zéros relatifs confinés et non connexes. L'univers existe, tout en n'existant pas. L'univers est la somme infinie non continue de zéros qui n'existent pas les uns par rapport aux autres. Sans dualité infini/zéro, on ne peut s'en sortir.

    - Selon Oscar, la bulle univers fait actuellement 134 Gly de rayon, ce qui colossal (sans être infini) à notre échelle. Il faudrait à l'homme 134 milliards d'années pour y aller en se déplaçant à la vitesse de la lumière (vitesse vraiment très élevée à l'échelle de l'homme). Pourtant, il ne faut qu'un millionième de milliardième de seconde pour parcourir cette distance à la vitesse subquantique ! Ce qui est presque rien ! L'immensité d'un paramètre physique est donc relative, relative à la vitesse à laquelle on la parcourt, dans sa continuité.

    - Parcourir l'univers n'a pas de sens, car il n'a pas de continuité physique (entropie infinie?). Parcourir la bulle univers a du sens car le processus de synchronisation a donné de la continuité et donc de la cohérence a un ensemble fermé et fini.

    - Ce qui pose question, c'est la notion d'énergie: du point de vue de l'homme, la bulle univers possède une énergie colossale, noire ou sombre, à laquelle il faut rajouter l'énergie de la matière noire et ordinaire (énergie inertielle, fusion dans les étoiles, rayonnements,....). Or le bilan énergétique de la bulle univers doit être égal à zéro (zéro relatif). Alors où est le déficit ou la contrepartie de cette énergie? L'énergie est-elle autoporteuse de sa contrepartie, ou bien est-elle empruntée au milieu subquantique vers lequel elle a vocation a progressivement (ou violemment) retourner?

    - L'expansion de l'univers dilue progressivement l'énergie dans un espace plus grand, mais elle ne sera jamais suffisante pour annihiler complètement l'énergie. Il y a donc un autre processus dual en oeuvre pour y arriver.

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  2. La question de l'origine de l'énergie de la bulle -univers est très pertinente !
    La bulle-univers se calcule comme un oscillateur géant où l'énergie cinétique est compensée par l'énergie gravitationnelle. Mais cet équilibre n'explique pas l'origine de l'énergie de la bulle.
    L'origine de cette énergie est le démasquage d'une partie des Bodys issus de la matrice... Cela sous-tend que ces Bodys ont une énergie potentielle mais confinée. C'est justement grâce à ce confinement que ces Bodys existent. L'émergence de la Bulle est un accident de déconfinement...

    Par définition cette énergie (démasquée) amène une diminution de l'entropie (de désordre) de la matrice. C'est possible car si le caractère est normalement informationnel pour ce type d'entropie, le cas est spécial car il est porteur d'énergie réelle mais annulée dans le confinement généralisé.

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