Enigme 93 : la preuve de l'existence du Body stochastique

 Voir  : sommaire , les cinq clés de la physique, l'éclaté du modèle, dualité du zéro.

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Situation du problème

Avec l'approche moniste du modèle standard, il apparaît impossible d'envisager ce qui précède le BIG BANG. Les seules approches s'appuient sur le principe d'incertitude quantique sans pour autant en donner les causes. Il y a toujours cet amalgame persistant depuis des siècles,  entre les effets et leurs causes.  Cette aporie nourrit la voie religieuse, en quête d'absolu. Le "Fiat Lux" revient en force, ce qui déconsidère fortement la voie scientifique. Il existe cependant la voie de la dualité de localité, (voir le modèle Oscar). Mais pour cela il faut prouver que le zéro absolu des mathématiciens est "persona non grata" en physique. Il faut pour cela donner une description explicative du néant. Bien sûr il est déjà décrit comme des fluctuations quantiques. Mais d'où viennent-elles, de l'incertitude ? Mais d'où vient cette incertitude ? Pour résoudre un problème, il faut s'assurer d'être au bout du questionnement.
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- Sceptique :  comment prouver quelque chose comme le fondement du néant qui n'est pas directement mesurable ?

- Par la dualité de localité. Elle est omniprésente dans le monde observable. Sous cet angle, on peut énoncer : toute velléité de début d'inertie , implique une amplitude miroir . En limite, si ce choix arbitraire précis, sort ; = 0, alors = ∞.

- Sceptique : pourquoi évoquer spécialement l'inertie ? 

- On a vu avec le système d'unités canoniques que le miroir naturel de l'inertie est l'amplitude pour un oscillateur.  Ce système révèle également une autre symétrie miroir soit la période T = √(. ).  

- Sceptique quel est le rôle exact du zéro absolu en physique ?


- Le chemin de la réponse passe par cette question : en acceptant l'infini comme une des solutions, quelle serait sa probabilité ? Dans les nombres réels ℝ, prenons un nombre x aussi petit que l'on souhaite. On sait qu'il existe une infinité de solutions (en ) entre x et 0. Cela veut dire que n'importe quel intervalle z est infiniment petit, y compris celui qui est le plus proche du zéro parfait. Chaque élément z – dont le zéro – est donc infiniment improbable car z/∞ = 0. Cela prouve que parmi l'infinité de solutions, il est impossible d'en fixer une avec une précision infini. Le zéro parfait absolu n'existe donc pas en physique ! Cependant son statut n'est pas négligeable car il joue le rôle essentiel d'un attracteur.

- Sceptique : alors le zéro absolu a une chance nulle d'exister avec une précision infinie ? 

- La réponse est oui car z/∞ = 0. C'est pour cela que le néant se traduit par une infinité de "points" instables. Dans le panel des solutions infinies, il y a une sorte d'hésitation pour fixer une origine inertielle à chaque cycle. Par définition cette hésitation se traduit par une oscillation (aléatoire). 

- Sceptique : est-ce la cause de l'incertitude quantique ? 

- Oui mais attention il ne faut pas confondre ces "fluctuations quantiques monistes" qui existent dans le cadre de notre Bulle-Univers organisée, avec celle du pré Big Bang ! Ces dernières sont forcément à énergie nulle. 

- Sceptique  : alors le zéro absolu  existe ?

- Pas du tout car ce type d'oscillateur est forcément dipolaire pour deux raisons incontournables : a) dans cet état d'univers stochastique, il n'existe aucun ancrage fixe pour faire fonctionner un oscillateur moniste ; b) la dualité dipolaire résout élégamment le problème de l'énergie. En effet, on ne peut justifier (hors du caractère miraculeux) la présence d'énergie. Ainsi, la dualité {-0} induit la dualité oscillante qui induit la dualité dipolaire qui induit la dualité {confiné ↔ apparent}. Les paramètres physiques confinés sont annulés

- Sceptique : il existe quand même une infinité de zéros ?  

- Oui mais ce type de zéro physique n'est pas absolu mais relatif à la symétrie des éléments confinés. Globalement, c'est cela qui justifie l'entropie de désordre sans énergie. C'est ce même principe de dualité {confiné ↔ apparent} qui masque le positron dans le proton. Le prix à payer du refus de voir cela est d'accepter naïvement l'énorme et injustifiable asymétrie de l'univers. La voie moniste a la peau dure !  Si on généralise la dualité de localité, alors toutes les clés fonctionnent. C'est la naissance de l'oscillateur-ℬody devenu paire {électron-positron}.

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   Cette démonstration indique qu'il faut abandonner le caractère moniste et absolu du zéro en physique. De ce néant stochastique sort un BEC par synchronisation statistique. Sa saturation provoque la mitose qui induit l'expansion en couches. L'univers est strictement symétrique ! C'est le B. A . B. A de la physique et malheureusement certains physiciens ont l'outrecuidance de l'ignorer. 

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Commentaires

  1. Dans notre bulle-univers synchronisée on peut trouver un seuil tangible à la plus petite longueur : celle de Planck. Mais dans le néant du pré Big Bang, il n'y a pas de limite du plus petit intervalle en quoi que ce soit ! Cela démontre que le zéro en matière de paramètres physiques, est une aporie. En revanche, en matière de probabilité ou de potentiel numérique pour une origine physique, on retrouve l'infini et le zéro mathématique. Son rôle en physique doit être bien spécifié.

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  2. Bonjour Mr Mareau,
    la mitose (le big bang du modèle STD) ne s'est pas effectuée sans énergie. En effet, cette phase très violente est donc implicitement extrêmement énergétique. Si le déclencheur a été la saturation des intervalles du BEC origine, il a bien fallu que cette énergie viennent de quelque part.
    - Soit la séparation des deux pôles des BODYs a alors révélé l'énergie potentielle de chaque pole (=2*Xi^8 fois cette énergie)
    - Soit cette énergie est empruntée à l'immense majorité de BODYs non séparés, via les perturbations engendrées par la matière.
    C'est certainement un peu les deux, l'une étant "expansive", l'autre devant être "concentrative" afin de respecter la nécessaire symétrie dans la dualité.

    Le ralentissement des sondes Pioneer, et probablement de tout ce qui s'éloigne du centre des BEC, ne peut-il être vu comme l'effet concentrateur?

    Le point d'ancrage des deux pôles dans le BODY stochastique est le zéro central. Mais est-ce le zéro physique, comme résultante nulle des paramètres physiques, ou bien le zéro absolu comme attracteur inatteignable?

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  3. Bonjour LC,
    L'état stochastique est sans énergie apparente mais il recèle une énergie potentielle normalement non réalisable. Mais la saturation→mitose du BEC en révèle une toute petite part (tout est relatif).

    Oui le ralentissement est un effet concentrateur mais ce qui est important c'est sa cause : a) c'est une composante faible mais constante de G donc des masses visibles ; b) elle emprunte la voie subquantique via le facteur xi (voir le billet n° 66). Le tableau 66 montre bien que cela équivaut à la somme des forces coulombiennes radiales (xi^3 e²) s'exerçant sur la périphérie des BECs.

    La dualité {zéro physique né de la symétrie} et {zéro absolu attracteur} est indissociable. Cependant, la synchronisation des BECs fixe à l'avance le Mo et cette dualité est neutralisée.

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