Enigme 109 : indices sur l'avant Big Bang (1)

Voir  : modèle OSCAR, loi KOIDE-MAREAUsommaire , les cinq clés de la physique, l'éclaté du modèledualité du zéro

𝛼 = f(𝜉). 𝜉, n =1 à 5 :  lP ƛo ƛₑ ƛ₁ Rp RBEC ; = mₑ ƛₑ²/ t
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Situation du problème

Le modèle standard considère qu'il est impossible de décrypter ce que peut-être l'avant Big Bang. Il pose une frontière nommée "singularité" à partir de laquelle le Big Bang s'est exprimé. A l'instar des cordistes, le modèle Oscar (en couches de BECs) admet que la Bulle-Univers que nous observons est né d'un état d'univers 1D non connexe et permanent. Il donne une réponse claire à la fameuse question de Leibniz : "pourquoi quelque chose plutôt que rien ?". Cette question est naïve car elle est posée dans le cadre d'un concept de l'absolu hérité des croyances. Avec un "rien" assimilé au "zéro absolu" des mathématiques, on se prive de la notion de zéro relatif, incarnée ici par la notion de dualité du zéro. Nous sommes plusieurs à montrer que le zéro absolu et l'infini, sont interdits en physique. Mais il nous faut justifier le paradoxe de l'existence ∃, bien qu'il soit avéré ! Il y a donc obligation de considérer l'existence d'un zéro relatif basé sur la symétrie. Mais deux problèmes se font jour : a) il y a forcément une évolution (variation ou oscillation) vers le monde connu ; b) la question du nombre de ces entités primordiales évolutives ; c) la question de l'apparition de constantes ; d) la question du "moteur" de l'oscillation de ces entités oscillantes, ℬodys.
             
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 - Sceptique : comment justifier l'existence même de ces entités oscillantes ?

- La clé est la dualité inertielle : l'inertie est fondamentalement opposé à tout "déplacement" . De telle sorte que dans les particules observables on peut constater : .ℒ = Cte !  Cela veut clairement dire que si atteignait le zéro absolu, alors deviendrait un infini statique. Cette limite absolue est à rejeter puisque qu'une évolution est avérée.

- Sceptique : pourquoi mettre en avant le concept d'inertie ?

- Pour éviter l'impasse statique (non évolutive) il faut obligatoirement varier et donc, osciller. Or une oscillation est toujours caractérisée par .ℒ = Cte . C'est là qu'entre en jeu l'impulsion de Dirac (x.y = Cte). Pour toute valeur numérique arbitrairement petite, il existe une infinité potentielle de nombres qui la sépare du zéro absolu parfait. Ainsi il est impossible d'avoir une origine inertielle parfaitement nulle ! Ainsi, l'inertie de chacun des "point" du "néant" pré-Big Bang, cherche "désespérément" un zéro absolu ! Chaque point a potentiellement un infinité de cycles d'essais, pour tenter d'y parvenir. Mais comme c'est impossible, alors il oscille en permanence.   

- Sceptique : Mais cela pose deux gros problèmes : a) si un pôle inertiel o (même très faible) est "éjecté" en direction de son amplitude , il y aura une réaction opposée injustifiable ; b) le non zéro est injustifiable!

- La dualité  répond directement à ces deux problèmes : si l'oscillateur a deux pôles opposés alors : a) la réaction est annulée ; b) le zéro relatif est assuré la somme algébrique des paramètres physiques confinés et opposés. 

- Sceptique :  comment l'inertie qui est un scalaire, pourrait-être annulée algébriquement ?

- Le couple  .ℒ est inséparable ! Ainsi ce sont  les composantes opposées qui génèrent le zéro physique relatif. En fait l'entité .ℒ  n'est plus un scalaire. Mais une autre dualité se fait jour : {confiné/apparent}. Les pôles existent dans leur confinement mais s'annulent à l'échelle de  l'oscillateur ℬody . 

- Sceptique : le zéro physique apparent lui permet-il d'être en nombre infini ?

- Oui car il serait totalement injustifiable d'avancer un nombre limite !

- Sceptique : j'ai compris que la clé :.ℒ = Cte  de chaque oscillateur ℬody est aléatoire et n'est valable que dans le cadre d'un seul cycle. Mais comment est justifiée la force qui permet le retour des pôles au point zéro ?

- Il suffit de constater que la charge électrique de l'électron e est calculée selon : e² = f(.ℒ ). Dans le confinement des pôles, les charges opposées exercent une force qui les ramène cycliquement au point zéro. Cette force évite donc la séparation des pôles qui laisserait apparaître deux masses contraires, ce qui serait injustifiable. 

- Sceptique : tout oscillateur ℬody doit posséder un temps propre ! Comment apparaît-il ?

- La loi physique de l'oscillateur lie le temps T avec le ratio : T² = .ℒ / ℱ , avec = f(e²). Comme découle de .ℒ, on constate mathématiquement (à une constante près), que la notion de temps est une composante de .ℒ. Même sur le plan purement physique, on voit bien que la notion d'inertie-espace 1D, est en relation avec le temps. Les longues et massiques ailes des aigles battent bien plus lentement que celles des colibris. Donc le temps T² = f(.ℒ) est également annulé dans le confinement des pôles. On imagine de suite que si un événement venait à séparer les pôles, le temps pourrait alors s'exprimer, tout comme .ℒ.  

- Sceptique : y-a-t-il des collisions aléatoires entre ℬodys ?

- La condition de collision dépend de deux paramètres : a) la synchronisation (aléatoire) des fréquences ; b) la rencontre précise aux "points zéros" de chacun. Cette coïncidence – hautement improbable – n'est pourtant pas nulle ! Le néant est représenté par  une infinité d'oscillateurs 1D  non connexes (mutuellement transparents). Ils revendiquent tous un zéro paramètre physique et donc une énergie strictement nulle ! Le désordre global est maximal. 

Ce lien portant – sur la symétrie {passé-futur} – montre la frappante analogie avec le ℬody subquantique . Lorsqu'il est soumis à une perturbation (ou variation), il perd sa symétrie  interne et compense en modifiant la particule émettrice de la perturbation.  

A suivre .... Comment évolue le désordre maximal ?   

  

Commentaires

  1. La non connexité des "points zéros" des Bodys 1D du néant (ou matrice d'univers) ne permet pas la constitution d'un espace temps. Seule la synchronisation ouvrira la voie à son édification via la connexion centrale. Le 3D n'existera que par la fédération des oscillateurs 1D fusionnés.

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  2. Bonjour Mr Mareau, je pense que deux points sont également à préciser et qui sont probablement liés :
    - celui du cycle d'oscillation
    - celui de la granularité

    En effet, que se passe t-il après un cycle d'oscillation? Repart-on sur un nouveau cycle aléatoire? avec une amplitude différente? avec un espace 1D différent en extension et "direction" ? avec une période différente? A partir du même point zéro? Avec un nouveau point zéro, influencé quand même par le cycle précédent? avec un point zéro complètement nouveau et aléatoire, sans lien avec le précédent cycle?

    Et donc se pose la deuxième problématique: Y a t-il une granulométrie minimale de l'univers stochastique, qui correspondrait à l'incertitude 1D des points zéros? Si l'espace 1D a une extension aléatoire et potentiellement immense, quid de la largeur (et donc de la consistance physique) de l'épaisseur d'un espace 1D, même s'il est confiné?

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  3. Bonjour LC !

    Concernant le cycle d'oscillation d'un Body, chaque cycle est une nouveauté eu égard à l'origine inertie et donc l'amplitude correspondante. C'est toujours l'expression minimale du 1D car au-delà c'est un assemblage de 1D et seul un BEC peut le faire. L'extension du point zéro n'a aucune direction privilégiée et chaque cycle en "invente" une nouvelle. Est-elle influencée par le cycle précédent ? Je n'ai pas de réponse nette à cette question, mais je pense que non car le hasard "choisit" n'importe laquelle des valeurs possibles parmi l'infinité à sa disposition.

    Concernant la granularité du monde stochastique : a) elle se traduit en terme de densité ; b) elle est essentiellement variable. De ce fait la taille du point zéro est variable et aléatoire. Comme il existe une infinité de cas entre un point arbitrairement petit et le zéro absolu, alors il existe forcément une infinité potentielle de tailles de "point zéro".

    Tout ce que l'on peut dire sur la taille se rapporte à ce qui est mesurable . C'est la moyenne du lot synchronisé qui amène la constante de la longueur de Planck. Elle aurait pu prendre n'importe quelle valeur.

    Bien à vous !

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  4. Le modèle Oscar commence à faire des adeptes dans la communauté scientifique et je m'en réjouis. Qu'on en juge avec ces notions qui apparaissent ailleurs que dans nos lignes :

    - a) les condensats de Bose Einstein (BEC) à l'échelle cosmique ;
    - b) la notion de dualité d'univers, liée à l'entropie de désordre ;
    - c) la synchronisation d'éléments 1D pour édifier l'espace-temps 3D+1D ;
    - d) l'émergence de la matière à partir des éléments (séparés) de l'espace-temps;
    - e) la 5eme dimension liant les éléments "matière" aux éléments "espace-temps".

    Il faut cependant souligner que l'évolution 1d → 3D existait déjà dans la théorie des cordes (1) et que par ailleurs la 5eme dimension est historiquement due à BOHM.

    (1) je pense que ce concept a évolué à peu près en même temps entre "Oscar" et "Cordes".

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  5. bonjour Mr Mareau,
    il n'y a donc aucune règle dans le stochastique, ce qui est plutôt cohérent avec une définition du rien, du vide, du néant !
    Pourtant, ce "rien" est un chaos total, d'entropie maximal, qui "fourmille" en permanence, par impossibilité d'atteindre le zéro absolu et l'impossibilité d'exister sous une autre forme que celle d'une symétrie parfaite, qui s'annule en permanence (zéro relatif).
    Comment, sans règle établie, peut-on parvenir à une synchronisation, notamment d'entités indépendantes les unes des autres (non connexes) et qui ne se voient pas (non connexes et confinées)?

    ML=Cte est-elle une règle? j'aurais tendance à dire que ce ne peut être une règle, mais une nécessité physique, un fait, pendant un cycle d'un BODY. D'ailleurs, confirmez vous que cette constante, qui ne devrait peut être pas avoir cette définition, est différente d'un BODY à l'autre, ainsi que d'un cycle à l'autre?
    (elle n'est constante que pour les BODYs synchronisés en BEC)

    Quand on écrit ML=Cte, on sous-entend implicitement qu'on a deux entités différentes, M et L, qui évoluent en opposition (en miroir?). Ces deux entités sont empruntées au mode macroscopique qui nous entoure et que nous connaissons. L'un est une longueur, l'autre une inertie. Mais est-ce applicable, transposable au subquantique?
    Il est probable que dans le subquantique, le zéro absolu étant physiquement inatteignable, toute variation d'une entité quelconque implique l'existence de cette entité et du temps (pour que la variation existe). L'existence elle même de cette entité étant injustifiable, elle doit également porter en elle sa "non existence".
    Ainsi, si on appelle arbitrairement L cette entité, son existence est liée au fait que L="0 absolu" est physiquement impossible. Son existence n'étant non plus pas justifiable, le rappel vers le zéro est obligatoire, avec un certain décalage temporel (cycle). La nécessité du zéro relatif permanent, implique deux pôles opérant en symétrie parfaite autour du point zéro, qui est à la fois le géniteur et le fossoyeur de l'entité variable L.
    L'extension du point zéro selon L, créerait ainsi un puits de potentiel central qui rappellerait L à revenir à zéro. C'est ce qu'on pourrait nommer l'inertie, d'autant plus forte que L va loin. L et cette inertie sont intiment liés puisque l'un justifie l'autre. On pourrait presque faire une analogie avec un corps massique qui attire d'autant plus et plus loin qu'il est massique (relativité générale).

    Cette présentation évite de parler de e^2=f(ML) comme une cause du rappel. Ce serait plutôt à voir comme une conséquence du rappel.
    Cependant, je ne vois pas comment cette présentation pourrait montrer comment des couches 2D sont produites successivement à partir du même puits de potentiel !

    Je vais continuer à y réfléchir ! :-)
    Bon dimanche.

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  6. La clé de la synchronisation est expliquée dans le prochain billet. Trois façons de voir les choses : a) tout est dual et donc un entropie maximale ne peut qu'avoir un miroir minimal ; b) la probabilité de fusions de "point zéro" non connexes, d'un nombre infini de brassages dans un "pseudo temps" infini, est unitaire ; c) on verra qu'un en-cours de flux de synchronisation, s'auto alimente .

    La question de ML = Cte est lié à "tout est oscillateur". L'inertie est un "empêcheur de déplacement". La notion d'inertie seule, ne veut rien dire dans le cadre des oscillateurs. La dualité est partout !

    Merci pour ces questions petinentes. Je ferai une réponse complète plus tard ! A suivre......

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  7. Une "entité" nous parait évidente: c'est celle de l'espace. Même si nous vivons dans du 3D, on comprend bien le 2D et le 1D. C'est pour cela que j'ai pris le "L" arbitrairement dans le commentaire précédent, le L de la longueur, dimension intellectuellement facilement accessible.
    L'autre entité macroscopique évidente est la masse: un objet nous parait léger, lourd, compact, et on le rattache à la nature du matériau qui le compose. Tout ceci représente la matière.
    Matière et espace sont deux "entités" visible/palpable à l'échelle de l'être humain.
    Le temps est invisible mais il passe, c'est à travers lui qu'on observe une variation.
    D'autres phénomènes physiques sont très bien connus: magnétiques, électriques, radio activité, rayonnements... mais ils apparaissent moins évidents.

    Revenons sur les 2 "dimensions" évidentes: M et L. Elles nous apparaissent bien séparées au niveau macroscopique. Cependant, OSCAR nous dit qu'elles sont intimement liées, que ce soit au niveau subquantique ou au niveau quantique (dont l'aspect macroscopique est une sous-partie).

    L'extrême étirement spatial d'un BODY qui perd le lien entre les deux poles "mute", pour moitié, en un électron, spatialement très réduit, mais dont l'aspect inertie à été multiplié d'un facteur inverse à celui de la réduction spatial.

    Est-ce à dire que la concentration inertielle d'un espace 1D de 150 000 AL est égal à la masse d'un électron? Ou bien qu'un électron possède le potentiel de s'étendre sur 150 000 AL?


    Si on prend un BEC, stable/équilibré, et si on lui rajoute des éléments, l'extension spatiale du BEC va t-elle croitre afin de trouver un nouvel équilibre?
    N'est ce pas ce qu'il se passe avec un BEC subquantique? 150 000 AL est un rayon de synchronisation, mais ça ne veut pas dire que c'est la moyenne des n éléments qui le composent (car comme ils sont synchronisés en BEC, tous leurs paramètres sont égaux: ils sont dans le même état quantique)
    Ce que je veux dire, c'est qu'au début, le BEC était peut être beaucoup plus petit, mais qu'à force de synchroniser d'autres BODY, son extension spatiale a du augmenter pour trouver un nouvel équilibre. Cette extension spatiale a pu arriver à une limite physique d'extension spatiale, après quoi la synchronisation a continué, mais sans extension spatiale. Cela a donc abouti à une saturation, qui a déclenché l'annihilation/mitose.

    Resterait à définir ce qui amène à la limite physique d'extension spatiale: une vitesse subquantique maxi pendant un Te? un rapport entre 2 dimensions? L'impossible atteinte du zéro absolu qui se traduit par l'impossibilité d'atteindre l'infini?

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  8. On peut effectivement partir de l'amplitude L puisque l'effet miroir est réversible et mutuel. Cependant attention, l'avenir d'un grand M est un petit L et non l'inverse. ML = Cte.

    Il est vrai que dans l'oscillateur, la définition du "point zéro" est assez subtile : A chaque cycle un "petit" Mo aléatoire d'origine, s'étale sur un "petit" Lo. Son image est un "grand" potentiel L1 retardé de pi. Cela veut dire que l'inertie, sur son trajet L, soit M(L) , augmente selon : f(L1 – L) sachant qu'au point de rebroussement (L1 – L) = Lo n'est donc jamais nul.

    Dans le BEC-étoile normalisé (avec constantes) Lo = longueur de Compton de l'électron et L1 = R(BEC). Le point de rebroussement est égal à l'intervalle entre couches (Lo). Ainsi il y a isotropie des intervalles quasi partout ..... sauf dans l'enceinte du "point zéro" (Rpz = xi Lo ~ 6 cm) où l'intervalle est anisotrope.

    En effet l'aire Rpz² ne peut contenir que xi^2 pôles espacés de Lo ! La clé réside dans le fait que la fréquence d'émission est telle que les pôles viennent enrichir d'un facteur xi^4, les couches précédentes en cours de ralentissement ! Ainsi l'aire de rayon R(BEC) contient xi^6 pôles comme il se doit. Cet enrichissement est cohérent avec le ralentissement de la vitesse selon le facteur xi² soit xi^4 en 2D. Ainsi la masse varie de xi^3 depuis le Lo (interne à Rpz) et de xi^2 depuis l'aire de Rpz.

    Le prochain billet montrera un croquis qui sera surement plus claire !

    Il faut absolument évoquer e²=(ML) car : a) il est vérifié dans l'électron ; b) sa raison d'être est bien l'obligation de garder liés les deux pôles, sous peine de perdre le zéro paramètre physique ; c) la force de rappel F = f(e²) ; d) le temps d'un cycle T = f(ML/F)^0,5. Tout cela justifie l'existence de la charge électrique élémentaire.

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  9. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

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  10. Je n'ai pas vu votre dernier commentaire arrivé pendant que j'écrivais ma réponse précédente !

    Dans le cadre d'un oscillateur (macro et mécanique), l'entité ML n'est pas séparée ! Un oiseau géant bat des ailes bien plus lentement qu'un colibri....

    Un électron est un ex-pôle de Body mais son amplitude est limitée à l'intervalle du point de rebroussement d'un pôle. Donc son amplitude est limitée à sa longueur de Compton. Cependant, il a gardé une (petite) partie de sa dualité ancienne. Elle se traduit par son taux d'habillage (~0,3%). Cette partie est le lien avec un Body qui lui s'étale sur 150 0000 années-lumière. Ainsi l'expérience montre que les spins d'une paire intriquée restent causalement liés à de "très grandes distances". Elle n'est pas infinie (comme on entend naïvement) mais s'étale dans tout les BEC.

    La synchronisation se fait par mutualisation des paramètres aléatoires de chacun. Donc la moyenne fixe les paramètres M et L qui par nature, reste inchangés.

    Cependant, ces paramètres sont effectivement très légèrement influencés par la matière. Un BEC qui serait sur-nourri de matière, se réduirait en taille. Cependant – vu le ratio xi^3 entre le nombre de Bodys d'espace-temps et ceux de la matière – cela reste insignifiant.

    Enfin quand vous dîtes :

    "Resterait à définir ce qui amène à la limite physique d'extension spatiale: une vitesse subquantique maxi pendant un Te? un rapport entre 2 dimensions? L'impossible atteinte du zéro absolu qui se traduit par l'impossibilité d'atteindre l'infini?".

    Je vois que vous y avez répondu car la limite de L1 peut en effet tendre vers l'infini sans jamais l'atteindre.

    Merci pour cette discussion qui éclaire le modèle... qui n'est jamais fini non plus !

    Bien à vous !

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