la courbure des Bodys modifie les particules

Voir  : modèle OSCAR, loi KOIDE-MAREAUSOMMAIRE , Les cinq clés de la physique, l'éclaté du modèledualité du zéro

L'animation montre une particule neutre qui se rapproche (lentement) d'un pôle (local) de Bodys. Elle perturbe la symétrie du Body en créant une courbure de la partie locale. Cette courbure diminue le M du pôle et cette variation dm se rajoute à l'électron. La somme M + dm est égale à M' pour sauver l'équilibre au point zéro. 

L'image est simplifiée et représente une valeur moyenne de ML = Cte.

Si la particule est munie d'une vitesse relativiste, le dm augmente selon la formule de Lorentz. La question est de savoir pourquoi la la courbure augmente avec la vitesse. On peut dire que le couplage augmente avec l'énergie totale (de masse + dynamique). Mais cette explication ressemble plus à une description.

L'explication physique vient quand on raisonne aux limites : pour que la particule atteigne la vitesse de la lumière c, il faudrait qu'elle passe d'un intervalle élémentaire à un autre dans le temps élémentaire te. Or cela n'est possible que pour le mode L des ondes. En effet, le 3D dynamique, à partir de 1D, implique que la traversée d'un intervalle passe par le centre (point zéro).  Il n'y a rien entre deux Bodys voisins !

Le déplacement quantique d'une onde à vitesse c est régie par sa composante L subquantique qui fait l'aller-retour au centre dans le temps de Planck et donc
à la vitesse de Planck : co = c  𝜉²  !  

Progression relativiste de la masse : aux limites, M devrait passer en mode L sans perdre d'intensité. Ce n'est possible qu'en  violant la règle ML = Cte ! En effet, ce serait le M maximum qui devrait s'appliquer dans tout le chemin L. la formule relativiste de Lorentz est à limiter car elle est sensée aller à l'infini. Or la limite est celle de la masse de Planck. En effet, le ratio des L entre le BEC et l'électron est  𝜉². A cette limite relativiste L n'est plus l'inverse de M.

Aplatissement de la particule : aux limites,  le L(électron) s'aplatirait à la longueur de Planck car le L(intervalle) reste constant. Ainsi au temps de Planck, il parcourt le même intervalle de l'espace-temps. Le L (intervalle) reste constant le BEC est influent via son nombre de Bodys extrêmement plus élevé que toute masse quantique ponctuelle.  

Allongement du temps : le temps élémentaire s'échelonnerait au temps de Planck et donc s'allongerait du facteur xi²  pour la seule particule. En effet, le temps de Planck est celui qui (en moyenne) régit l'intervalle temps subquantique entre deux intervalles quantiques.

         

Commentaires

  1. La particule représente une simulation d'un électron qui ne serait pas chargé. Cela n'est évidemment pas la réalité mais permet néanmoins, de mettre à jour des ratios simples.

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