La trame subquantique se comporte comme un fluide
Voir : modèle OSCAR, loi KOIDE-MAREAU, SOMMAIRE , Les cinq clés de la physique, l'éclaté du modèle, dualité du zéro
Situation du problème
L'expérience de la double fente de Young reste une énigme pour le
modèle standard. En simplifiant (pas de fente et un seul électron émis), on montre comment s'opère la réduction du paquet d'ondes, via la trame subquantique.
dès son éjection, l'électron se dissipe dans la trame des cordes subquantiques
Il faut commencer par regarder la vidéo de David LOUAPRE sur le sujet, qui fait preuve d'un très bon niveau pédagogique ! Cependant il reproduit l'erreur classique du modèle standard qui consiste, certes à bien décrire mais en éludant l'explication physique. Cette explication passe par l'application généralisée de la notion de dualité. En effet, la dualité {onde-corpuscule} est directement issue de la dualité {quantique-subquantique}. C'est la vitesse d'oscillation subquantique co qui régule la vitesse quantique c. le ratio entre les deux est égal au ratio entre le rayon de Compton de l'électron et la longueur de Planck. Il vaut ξ² = 2 × 10^22. La clé est dans la dualité M, L où M est local et son reflet L est non local.
Explication
1/ Sans fente : on a vu que sans perturbation, l'aspect dipolaire de la corde Body lui confère un zéro parfait via l'annulation par symétrie. C'est la matière qui révèle la trame de l'espace-temps. A l'instar de la corde, un électron (ex-pôle de body) non perturbé (non observé), subit l'attracteur du zéro en dissipant son mode M (local) en mode L (non local) via les cordes Bodys. La perturbation par l'écran ramène l'état L (subquantique) en état M (quantique) à la très grande vitesse co. Chaque intersection corde→ écran a une égale probabilité de voir apparaître l'impact. S'il y a beaucoup d'électrons, alors les impacts se répartissent comme si c'était un fluide (voir exemple de l'eau).
2/ Avec une seule fente, on retrouve le même schéma que sans fente avec une perte due aux impacts incident sur le support de fente.
3/ Avec 2 fentes : l'exemple du fluide (eau) montre que les franges d'interférences (croisement des ondes) annule par superposition, la possibilité d'impact dans certaines bandes. Dans le cas d'un seul électron, on retrouve à terme, le même schéma.
On retrouve la "magie" de la réduction du paquet d'ondes (qui apparaît comme étant instantanée), alors qu'elle s'exécute à la célérité subquantique.
franges d'interférences d'un fluide (eau) passant par 2 fentes (source Louapre)
Conclusion : la dualité onde-corpuscule n'est pas magique ! Elle découle directement de la dualité M (masse locale) et L (ondes non locales). La nature profonde d'un pôle de Body oscillateur, est l'effet miroir entre M & L. Quand L s'enroule (se courbe) il génère M et vice et versa. C'est la fameuse loi : ML = Cte.
Dans un télévision cathodique, le faisceau d'électrons – guidé par des champs électriques variables (donc perturbé) – reste en état corpusculaire. Sinon on ne pourrait construire une image cohérente.
RépondreSupprimerLa mécanique subquantique apparaît sous la forme électrique au niveau quantique. Elle est nettement révélée par la causalité co > c des spins intriqués, la réduction du paquet d'ondes, l'effet tunnel, la dualité onde-corpuscule, le comportement des neutrinos (de Majorana), etc.... Beaucoup encore refusent l'évidence et préfèrent rester dans la "magie" et la "croyance".
RépondreSupprimer