La Bulle Univers a un centre contrairement à la Matrice-univers

Nous dénonçons ici l'amalgame qui est couramment fait entre la Matrice-univers (sans centre) et la Bulle-univers qui en découle. L'appellation "Univers" est un non sens car il ne respecte pas le principe fondateur de dualité.


Les BECs périphériques de la Bulle-univers matérialisent le bord.  Le centre est observé (trou de l'éridan)
L'isotropie est effective à partir de tous points internes. Cliquez sur l'image

Situation du problème

Au début du siècle dernier, l'application à l'univers de la relativité d'Albert Einstein se heurte à cet énorme dilemme : si la géométrie de l'univers est euclidienne, elle doit posséder un centre et un bord ! Or l'idée d'un bord parait absurde car elle induit ces questions ardues : a) qui y-a-t-il au-delà du bord ? ; b) de quoi est constitué ce bord ? ; c) l'isotropie de l'expansion autour de nous, milite pour l'exclusion d'un centre. Devant un tel dilemme, on a donc cherché un modèle géométrique qui soit cohérent avec la notion de courbure d'Einstein. Cette notion implique le continuum {masse-espace-temps}. Or il a vu que les courbes mathématiques propres à la géométrie de Riemann pouvaient faire l'affaire. On a pu ainsi éluder le problème de l'origine (exclusion du centre), le problème de l'issue (inclusion de l'infini) et le problème du bord (dématérialisation). Nous avons ici largement dénoncé la "redoutable efficacité des mathématiques" pour éluder la réalité physique. Elle applique les notions d'absolu (zéro et infini), à la physique ! Elle pratique couramment le très grave amalgame entre la description et l'explication. Elle admet des spéculations telles que les multivers, la très religieuse "singularité primordiale" et la mystérieuse inflation cosmique.  Elle n'a pas compris le rôle fondamental de la symétrie duale qui implique en premier lieu : a) la dualité des zéros (zéro absolu et zéro relatif) ; b) la dualité de l'univers [Matrice-univers] et [Bulle-Univers] ; c) la dualité de localité. Dans la première, existe en effet les notions d'infini de non centre, ce qui n'est pas le cas dans la seconde. Sans la notion de dualité de localité, on ne peut rien comprendre de la physique de notre mère univers.        

Le modèle OSCAR démontre que le modèle standard est prisonnier de sa démarche épistémologique. Cela vient d'une approche seulement locale. La dualité de localité est encore largement rejetée. C'est la raison pour laquelle ce modèle ne fait que soulever de nouvelles énigmes (plus d'un centaine) sur la base des observations.

Un modèle se juge à sa capacité à lever les énigmes plutôt que de les produire.

Centre et expansion isotrope : le rejet du centre est argumenté par : "s'il y avait un centre alors nous serions confondu avec lui puisque l'expansion est isotrope autour de nous. Nous n'avons aucune raison d'occuper la place privilégiée du centre". Il n'y a nul besoin de privilège pour démentir cela. Il suffit que l'expansion présente un gradient de vitesse avec la progression de  son rayon depuis son centre, pour que l'isotropie soit "presque" identique en tout lieu ! Justement le "presque" vient d'être observé ! De plus le modèle OSCAR, n'est pas une hypothèse de plus, mais la conséquence attendue d'un processus physique dont le dernier acte est la mitose fractale du BEC-fossile. Or ce dernier est observé à la taille conforme (voir trou éridan).  Cette publication montre que plus on s'éloigne dans le passé, plus les galaxies présentent un sens de rotation cohérent. Cela plaide nettement en faveur d'un centre euclidien qui fixe la direction de l'expansion à partir du BEC fossile.       

La matérialisation du Bord : le modèle OSCAR indique que l’œuf cosmique est un Condensat de Bose Einstein (BEC) issu de la synchronisation probabiliste d'un lot de Bodys de la Matrice  stochastique. Par nature, le centre est un point zéro commun de Bodys dont l'amplitude limitée matérialise le bord du BEC. Après sa mitose en BEC-étoiles, le tout forme une bulle de BECs enchevêtrés. Cette bulle possède un bord (en expansion) matérialisé par les bords des BECs périphériques. Si la courbure générée par le continuum [M,L,T] influe sur la dynamique du bord, elle ne le matérialise pas. Cette matérialisation dépend de la synchronisation des oscillateurs Bodys subquantiques. En revanche, la trame de l'espace-temps est bien déformée par le couplage de la matière ! Cette dernière perturbe la symétrie duale des Bodys. Selon la loi ML = Cte, la déformation L produit du M.

L'aporie de l'infini en physique : l'emploi de la mathématique comme éclaireur de la physique, est une très grave erreur.  Son rôle est d'affiner la description après l'explication physique. Depuis l'incapacité d'expliquer la physique quantique, cette saine chronologie a été inversée. La "dangereuse efficacité" des mathématiques ne produit que des êtres ...mathématiques ! C'est encore pire à l'échelle cosmique ! Le modèle standard considère que l'expansion s'arrêtera à l'infini car l'univers est soit-disant "plat".  Il y a là deux erreurs : a) l'application à la physique de la géométrie riemannienne est une spéculation ; b) on s'appuie sur des observations que l'on ne comprend pas ! En effet, l'accélération de l'expansion est ni attendue ni comprise ! Dans le processus cohérent OSCAR, la mitose fractale du BEC fossile, produit des couches de vitesses d'expansion allant de 0 à 5 c ! Il y a donc une vitesse moyenne (d'origine) à 2,5 c qui matérialise un attracteur ! La partie inférieure accélère pour compenser la décélération de la partie extérieure. Globalement, la vitesse moyenne ralentit car l'existence des masses ne peut-être que provisoire.         

La dualité entropique : le brassage des Bodys de la Matrice stochastique représente une entropie de désordre maximale. La probabilité de synchroniser un certain lot par fusion des points zéro de Bodys, est très faible mais non nulle. Comme le temps ne s'écoule pas cela arrive forcément. Parmi l'infinité de "Bodys = zéro" un lot se synchronise et forme le BEC-fossile qui va jusqu'à saturation et la perte de l'isotropie des intervalles internes. Le flux de synchronisation suit la loi exponentielle d'influence entre la densité interne et externe. On montre que  seul le BEC le plus avancé ne peut "éclore" dans la durée (relativement courte) de la Bulle-Univers. Cela exclut la spéculation des multivers. Dès le début d'expansion, l'entropie de désordre recommence à grimper et se termine par un éparpillement des BECs qui retrouvent le zéro M,L,T des Bodys stochastiques.       

Commentaires

  1. On montre par ailleurs, pourquoi un seul BEC-fossile ne peut être produit durant le cycle de la Bulle-Univers. La théorie des multivers est une spéculation.

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  2. On me demande : que fait la lumière au bord ? Comme elle progresse via les intervalles de la trame subquantique, elle ne peut que rebrousser chemin, au dernier intervalle radial (c'est un miroir !). Il ne faut pas faire l'amalgame entre la notion de bord via la courbure géométrique et la courbure d'Einstein, induite par les masses.

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