L'exclusion de Pauli et le noyau

Où l'on montre :
1/ pourquoi l'exclusion de Pauli ne s'applique pas au cœur du proton
2/ pourquoi les couches d'électrons orbitaux sont reflets des positrons "célibataires" du noyau 
3/ pourquoi et comment la symétrie de l'univers est sauve
4/ pourquoi le neutrino est un puissant attracteur
5/ pourquoi le rayon du proton indique 4 groupes et donc 3 intervalles polarisés soit 3 quarks induits
6/ pourquoi les quarks sont induits et non constitutifs
7/ pourquoi Higgs n'explique pas la masse du proton
8/ pourquoi la charge du proton est juste celle du positron
9/ pourquoi la forte forte est de nature électrique
10/ comment le démasquage des charges induit son allure asymptotique.

cliquez pour agrandir (défilement 30 secondes)


Commentaires

  1. Devant autant de perplexité ambiante sur l'origine de la masse du proton, Higgs a proposé que le boson du même nom serait à l'origine de la masse du proton.

    En cela il a raison (sans le savoir) dans le cas unique des origines. En effet les bosons de jauge sont des extractions fugaces subquantiques (voir Bodys de l'espace-temps). Or à l'origine les paires électron-positrons sont issu des pôles de Bodys car séparés par mitose.

    Mais dans le cas présent, la masse des protons vient exclusivement de ses composants , les paires électron-positrons.

    La supercherie pousse plus loin car même en acceptant cette hérésie, il ne fait que repousser le problème de l'origine de la masse......

    Ne pas chercher à comprendre, éluder et faire des amalgames, sont les calamités de ce siècle.

    RépondreSupprimer
  2. Les couches de même charge dans le neutrino sont réparties en couches distinctes, soumises à la loi d'exclusion de Pauli. La force faible comprend le "déplacement neutre" des couches (boson Z) + le réarrangement global (boson W). Dans tous les cas, chaque élément composite reste couplé au Bodys sub ! Tout changement provoque un mode di/dt sous la forme d'un boson furtif.

    RépondreSupprimer
  3. L'association d'électrons et positrons en paires pour former des couches neutres, représente probablement un obstacle conséquent pour l'acceptation d'OSCAR. La notion de non localité pour en expliquer la faisabilité en représente un autre !

    - Comment voyez-vous physiquement une paire électron/positron?
    - Une seule paire est-elle stable (sans parler d'annihilation)?
    - Comment fonctionne l'empilement en couches neutres? (fréquence onde 10^-21s? phases? partie corpusculaire? spin? chiralité? Pauli?...)
    - Y a t-il des conditions de stabilité des couches neutres?
    - le démasquage des couches neutres explique la force forte, comment cela fonctionne t-il?
    - pour démasquer les couches neutres, il faut une forte perturbation. A la limite, quand toutes les couches neutres sont disloquées, que deviennent les paires électron/positron?


    RépondreSupprimer
  4. La notion de dualité de localité est totalement éludée par beaucoup ! Pour comprendre il faut admettre la dualité quantique subquantique . Mais on enseigne couramment que BELL a dit : pas de variables cachées..... donc pas de subquantique puisque la notion de "champ" permet la description parfaite (la techno est payante) sans l'explication (ça fait mal à la tête et ça ne rapporte rien) . Sauf que l'on ment aux élèves car BELL a dit : pas de variables cachées LOCALES ! L'élément clé est passé à la trappe. Parce que "local" implique "non local" ou localité élargie.

    Une métaphore sur la localité :
    un couple formé après longue recherche (localité élargie) sera très aimant et pourra vivre confiné sans souffrance. Il forme un corps (Bodys) sans masse.
    Si on le sépare, la souffrance (la masse) surgira et le poussera à se retrouver (gravitation).

    Un couple formé localement par intervention extérieure d'énergie, sera instable par nature. Il s'annihiliera rapidement !


    Vive le moyen âge !

    La réponse aux deux premières questions est : un neutrino électronique ! Il oscille comme un Bodys mais dans le domaine quantique. Donc sa masse s'annule sauf perturbation. C'est la forme la plus abondante et normale des particules. La clé est le zéro physique.

    Dans le muon par exemple (création locale) on trouve un seul groupe de couches empilées qui annulent leur charge dans la partie neutre . Elle suivent la règle de la dualité onde/corpuscule mais dans un cadre confiné et contraint . Ce seul groupe oscille vers le point central représenté par un canal subquantique. Ce montage (instable) modifie soudainement sa structure en deux pôles opposés qui s'annulent. le brusque changement extrait fugacement un boson W !

    La première condition de stabilité des couches neutres vient de sa création non locale (ou originelle). Toutes les créations locales sont instables ! La seconde condition est complexe car sels certains arrangements sont possibles (voir les nombres magiques).

    Dans le "calme" l'empilage des couches est tel que les charges qui les lient, sont masquées.
    Mais dès que l'on essaye de les démasquer par choc, cela induit un début de démasquage des charges électriques Q+/- opposées qui tend à recouvrer l'empilage.
    Dans les chocs, on a plusieurs temps :
    1/ démasquage partiel q pour un espace l petit → force max car F = f(q²/l²)
    2/ le démasquage total Q pour L (encore petit) → force max Q²/L² = q²/l²
    3/ le démasquage large nL pour Q stable → décroissance de la force en fonction de 1/n².

    Quand l'énergie est très grande, il se forme un plasma qui accouche après dissipation de l'énergie, d'un proton cible et d'un proton incident.

    RépondreSupprimer
  5. merci pour vos éléments de réponse.

    Je ne trouve pas facile d'expliquer la notion de dualité de localité à quelqu'un que j'essaie d'intéresser à OSCAR. C'est donc probablement que je ne maitrise pas suffisamment cette notion.
    Il y a bien la dualité quantique/subquantique, mais elle ne représente pas totalement la notion de dualité de localité.
    En effet, il y a deux façons de voir les choses:

    1. La dualité de localité est représentée par le quantique et le subquantique. La localité quantique parait évidente; en revanche, il est très difficile de se représenter la localité subquantique, car il s'agit d'une localité très élargie (2*150 000 années lumières (maxi) pour notre bulle univers) et en apparence inaccessible.

    2. La dualité de localité pour deux particules intriquées: Elles sont séparées géographiquement (2 localités quantiques) mais une modification sur l'une l'une entraine quasi instantanément la même modification sur l'autre, comme s'il s'agissait de la même localité.

    La réalité du 1. expliquant la réalité du 2.

    Mais je ne suis pas certain que le 2. soit une dualité de localité tel qu'il faudrait le comprendre.

    Autre remarque: L'intrication a (semble avoir) une limite en L (300 000 années lumières), cela veut-il dire qu'elle a une limite en M et donc en T ?

    RépondreSupprimer
  6. Attention l'instantanéité n'existe pas ! Il y a juste une vitesse c (sub) qui est xi^2 fois plus rapide que c !

    L''intrication ne concerne par ML mais juste le sens du spin.

    RépondreSupprimer
  7. - Oui, l'instantanéité n'existe pas, d'où le mot "quasi"
    - Un BODY a une extension maximale totale de 300 000 années lumières, c'est pour cela que je parle de limite L pour intriquer des particules. Mais comme les BEC sont liés entre eux, cette limite n'existe peut-être pas. Mais si elle existe en L, c'est qu'elle existe en M.
    - vous n'avez pas fait de commentaires/corrections sur ce que j'ai écrit sur la notion de dualité de localité. Mais je comprends implicitement que le 2. est faux.

    - lors de la saturation/séparation, L est réduit de Xi^3 et donc M augment de Xi^3. Pourquoi la vitesse ne diminue que de Xi^2?

    RépondreSupprimer
  8. Ok je n'avais pas vu le "quasi" qui rend juste le propos.

    Sur l'intrication, il est possible qu'elle se prolonge au delà d'un BEC (10^21 m) . C'est un point noir pour moi et donc je ne peux être formel sur ce point. Mais non votre point (2) n'est pas faux !

    Le ratio xi² pour la vitesse a fait l'objet de beaucoups d'hésitations chez moi et voilà la dernière version :
    selon ML = Cte, si R (BEC) est xi^3 fois plus grand que L alors M est effectivement xi^3 fois plus petit. Mais attention il s'agit de moyenne.

    Mais pour la vitesse, elle part du point zéro PZ qui n'est que xi^2 fois plus petit que le BEC..... Mais je ne sais pas ce qui se passe en interne dans le point zéro commun ?

    En résumé, pour M on part du L intervalle donc xi^3 et pour c0 = xi^2 c, c'est le ratio BEC/ PZ.
    1/ pour le BEC originel : Le rayon PZ est xi fois plus grand que L (électron ou intervalle).
    Au point de rebroussement (PR) l'intervalle est contraint à : lo = L/xi pour avoir xi^4 pôles/couche. C'est pour cela que l'aire PZ doit contenir xi^4 pôles dans un temps de distribution de td =te/xi^4 ce qui revient à émettre xi^8 pôles par couche (moyenne).
    2/ Pour un BEC étoile : là au PR on a que xi^6 L et il faut autant au PR car l'intervalle doit être constant !!! Mais comme PZ n'en contient que xi^2 il faut le même temps de distribution que pour le BEC originel : td = te/xi^4.

    Dans les deux cas, la vitesse PZ = xi² PR = xi² c.

    Pourquoi cette contrainte de l'intervalle constant et isotrope* ? Parce que le modèle repose sur un espace-temps structuré avec un intervalle L élémentaire constant. C'est la cause de c car : L / te = c = Cte.

    * isotropie garantie du BEC-fils mais pas du BEC originel qui l'obtient par mitose en BEC-fils.

    RépondreSupprimer
  9. Merci encore pour toutes vos précisions !
    Merci également de mettre des réserves quand vous avez des hésitations. Cette honnêteté est très respectable et renforce paradoxalement la crédibilité.

    Intuitivement (avec toutes ses réserves !), je dirais que la limite de l'intrication est ce que peut atteindre l'information subquantique en moins d'un cycle (10^-21s). Cela dépend donc des positions respectives par rapport au PZ, car selon la position, la vitesse n'est pas la même (seule la vitesse moyenne est connue).

    Pour les émissions de BODYs au PZ, il est probable que la vitesse maxi soit atteinte en sortie de PZ, ce qui laisse entrevoir que le rayon du PZ sert d'accélérateur. Une impulsion de Dirac commence t-elle spontanément par son maximum ou bien y a t-il une très brève phase d'accélération?

    Autre possibilité: les xi^8 BODYs émis en sortie de PZ sont tellement serrés, qu'ils s'influencent mutuellement pour s'affranchir au plus vite de cette oppression!
    Mais je ne suis pas sûr que les BODYS soient tous émis en même temps, notamment si le PZ est en rotation très rapide pour pourvoir séquencer les départs et réceptionner les arrivées.
    Peut être que la vitesse de sortie des BODYs dépend de la vitesse de rotation aux limites du PZ, plus de BODYS étant synchronisés, plus la rotation étant élevée.

    On ne peut avoir que des idées, les preuves expérimentales étant un peu difficiles à monter !

    RépondreSupprimer
  10. Je serais porté à croire qu'il s'agit de vitesse moyenne car il ne devrait pas y avoir de lieu privilégié. Donc, partant de cette moyenne (co = c xi²) le temps de passage d'un pôle) dans tout intervalle (fenêtre sub) est juste le temps de Planck !

    La durée de la médiation de l'intrication devrait-être en effet limité à 10^-21 s.

    Il est difficile de savoir ce qui se passe exactement dans la sphère PZ. Avec ML = Cte on voit que la vitesse c (PR) accélère à co (PZ) et elle doit continuer d'accélérer à l'intérieur du PZ .

    Attention les pôles se croisent à très grande vitesse au sein du PZ.

    En effet, plus la position x d'un pôle est petite par rapport à PR (rebroussement), plus M diminue. car l'impulsion p est constante ! Il y a un "centre approximatif" où les pôles (M très petit) se croisent à très grande vitesse !

    Le nombre dans le volume devient (xi^3)^3 = xi^9 soit le nombre de pôles d'un BEC-étoile (à son origine).

    Mais l'exigence est un intervalle isotrope dans le BEC (hors PZ). De ce fait son aire doit émettre xi^6 pôles par couches avec intervalle Compton (le). Comme l'aire n'en contient que xi^2, il doit en compenser en diminuant l'intervalle temps d'un facteur xi^4. et ainsi xi^4 × xi^2 = xi^6 par couche !

    Pour le BEC original, le PZ doit émettre xi^8 pôles par couche. Mais l'intervalle critique est lo = le /xi. Donc son aire en contient xi^4 ! Pour obtenir xi^8 il faut un intervalle temps diminué de xi^4 comme pour un BEC-fils. Pour un temps tz = te/xi^4 = tp/xi^2 il faut une vitesse interne moyenne vz =2 c xi^4. Cela veut dire que le point de croisement est à PZ / 2 xi^2 = lp xi /2. A cet endroit les masses ne valent plus que me / xi^4 car x est xi^4 fois plus petit que PR (l'amplitude max de l'oscillateur). Ce croisement est une zone floue = xi lp. Son aire floue contient donc xi^2 pôles en même temps est donc xi^6 dans le temps te/xi^4.

    Je vais pondre un billet un peu plus clair portant sur l'intérieur d'un PZ.

    RépondreSupprimer
  11. En gros il y a trois zones :

    BEC → intervalle isotrope (le)
    PZ interne → intervalle variable le → lp
    PZ croisement → le/xi ou lp xi

    RépondreSupprimer
  12. Tout cela est vraiment très difficile à mettre en place. Seule la cohérence à toutes les échelles reste un guide fiable.
    Pour le modèle OSCAR, avec le PZ, on touche à la limite du compréhensible/acceptable, car ce PZ concentre quelques énigmes:
    - comment sont émis les Xi^6 ou 8 BODYs?
    - comment s'effectue le retour (M?, vitesse?...)
    - y a t-il une rotation du PZ sur lui même? (la bulle univers ne serait peut être pas sphérique, mais plutôt aplatie) (dans la bulle univers, plus les objets stellaires sont petits, plus ils tournent sur eux-mêmes).
    - comment autant de couches et de BODYs peuvent-elles cohabiter dans un espace aussi petit?
    - l'énergie dans le point zéro d'un BEC étoile est-elle à zéro? Si non, participe t-elle à la fusion nucléaire?
    - comment les perturbations dans le BEC pour chaque BODYs sont-elles conservées pour le cycle suivant après être passées par le PZ ? (c'est la question qui me pose le plus de problème ! Comment est "stockée" cette info ?)
    (exemple de la particule type photon ou neutrino qui se déplace d'intervalle élémentaire en intervalle élémentaire: l'info est-elle conservée localement dans l'intervalle élémentaire ou est-elle transportée par l'onde pilote? est-ce cette même onde pilote qui va revenir, ou bien une nouvelle onde pilote créée par le point zéro? Si c'est le cas, comment a t-elle eu l'info si cette dernière n'est pas conservée localement ?)


    On peut alors se demander ce qu'est vraiment la dualité onde/corpuscule !

    Prenons un atome quelconque. Le volume de son noyau est le volume vibratoire de couches d'ondes (e+/e-) empilées. De même pour son nuage électronique en fonction des niveaux d'énergie d'excitation. Mais les ondes ne pèsent rien. En revanche toutes ces ondes créent des perturbations subquantiques engendrant des déformations de trajectoire et/ou de l'extraction de "masse". Cela explique à la fois la "masse" et la gravitation.
    C'est pour cela que certains déclarent que la matière n'existe pas et que tout est vibration/champ vibratoire.
    On peut répondre par l'évidence de la matière macro (étoiles, planètes, éléphant, voiture...) mais tous ces "objets" ne sont que des arrangements cohérents d'éléments infinitésimaux dont nous n'avons pas encore percé tous les mystères.

    Comment OSCAR se positionne t-il face à la nature de la matière? (car avec ML=Cte, on parle d'espace et d'inertie, mais la notion de masse (ou poids dans un champ gravitationnel) a plutôt une nécessité macro de force et de direction, ou de quantité de matière dans un volume défini).

    RépondreSupprimer
  13. - Le PZ est une centre de croisement à très grande vitesse.

    - L'intervalle genre temps y est très petit pour combler la différence de surface avec le PR.

    - Un retour = une émission de l'autre côté.

    - Du point de vue du moment il n'y a aucune raison pour un rotation puisque entrées = sorties

    - Au PZ l'énergie est à zéro (comme partout ailleurs sauf .... la perturbation due à la matière !

    - La mémoire d'une perturbation se traduit au PZ par une légère asymétrie entre les deux pôles en cours de croisement. Elle reste donc "imprimée". On peut assimiler l'onde pilote de BOHM à cette asymétrie. Il ne faut pas oublier la clé "dualité". En effet, l'espace-temps serait complétement transparent sans la matière . Il n'existe que grâce aux perturbations de la matière.

    - la matière n'existe que sous la forme duale "onde/corpuscule" et chaque atome laisse un longue trace danstoute la structure étendue du BEC. La formule vérifiable F(EM) / F(G) = xi^4 montre que la gravitation est née de la séparation initiale.

    La matière est née de pôles de Bodys séparés. Donc elle se confond avec les Bodys de l'espace-temps. Tout évènement laisse une trace dans le BEC visé et peut-être* au delà via les enchevêtrements de BECs. La matière est indivisible de l'espace-temps. On ne peut parler de l'un sans l'autre.

    * j'ai mis "peut-être" mais j'ai quelques indices qui tendent à montrer que la mémoire évènementielle restent dans la structure du BEC. Il faut bien prendre conscience que pour 1 électron il y a a² xi^3 =10^38 Bodys pour stocker ses frasques présentes et passées. Pour un atome hydrogène, on a 10^41 Bodys et 10^42 pour 1 carbone. LE BEC est un grand computer codé en taux de perturbation.


    RépondreSupprimer
  14. L'exclusion de Pauli est forcement atteinte lorsque nous parlons d'oscillateur. En effet aucune des valeurs sera semblables lors du défilement de Δt suivant l'axe des x.

    Toujours et avec l'oscillateur :

    Le neutrino représente le retour de la particule jusqu'à la singularité, sans sa charge électrique, en sachant que leurs contraire sont les particules émises par le rayonnement de Hawking jusqu'à nous. Merci Stephen, car cela complète bien le cycle de l'oscillation :

    https://drive.google.com/file/d/1c2tKrddDwp5Vy4U1t1DGLOJmqPzSwXz5/view

    RépondreSupprimer

Enregistrer un commentaire

Posts les plus consultés de ce blog

L'atome Schrödinger-Oscar

La Bulle Univers est un trou noir

D'où vient la fameuse constante de structure fine = 1/137,03599.. ?