Tout est duel dans l'attraction de la symétrie parfaite (1)

Voici l'acte 1 d'une série de 10 tableaux démontrant la légitimité du modèle OSCAR. Ce premier tableau montre que les valeurs numériques des grandeurs physiques  retenues, sont bien conformes à la mesure.

Ensuite, il sera progressivement montré comment sont apparues ces  constantes en les recoupant notamment avec les mesures les plus précises que nous avons à notre disposition telle que l'anomalie du moment magnétique de l'électron.

Contrairement à ce qu'il est souvent dit, l'univers ne cherche pas une énergie minimale mais une énergie strictement ramenée à zéro par l'application de la première lois physique, la  symétrie. Ce zéro n'a rien à voir avec le zéro mathématique impliquant des valeurs physiques infinies. 

L'application stricte de la loi première de symétrie, implique qu'il existe autant de positrons stables que d'électrons stables. Toujours pour raison de symétrie, les électrons stables et libres, sont compensés par des positrons stables,  toujours confinés dans les noyaux. Les paires {électron-positrons} stables, sont toujours confinés dans le particules composites. Cette forme ayant un statut de pseudo boson, elle compose les particules à l'instar des Condensats de Bose Einstein (BEC).  C'est ce que démontre largement la loi KOIDE-MAREAU. Ainsi l'énigme de l'origine de la masse est résolue.       


 
Voir  : modèle OSCAR, loi KOIDE-MAREAUSOMMAIRE , Les cinq clés de la physique, l'éclaté du modèledualité du zéro 

Commentaires

  1. On note ici les 5 premières graves erreurs du modèle standard :

    - 1) amalgame entre le zéro physique et le zéro mathématique (les deux jouent effectivement en physique mais le premier est relatif à la symétrie alors que le second est de nature absolue).

    - 2) utilisation de la fausse symétrie entre l'électron et le proton alors que ce dernier est composite et 1836 fois plus massique ! La vraie symétrie est le positron. Ce dernier, à l'instar de l'électron est instable en création locale mais originellement stable. Il n'est pas directement apparent, mais de nombreux indices concordants montrent qu'il est partenaire dans les paires neutres composant toutes les particules composites.

    - 3) classer l'électron sur des critères qui ne tiennent pas compte du paramètre essentiel de stabilité et de symétrie.

    - 4) projeter le principe d'exclusion de Pauli, à l'intérieur du noyau.

    - 5) considérer les quarks comme éléments constitutifs alors qu'ils sont induits dans le confinement des baryons. La faiblesse de leur masse n'est pas compensée par le boson de Higgs qui n'est qu'une réaction fugace de type di/dt issue du niveau subquantique. Il y a là une véritable supercherie concernant l'origine de la masse.

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  2. Quelques interrogations:

    1. Sceptique: "L'entité "masse" existe-t-elle vraiment?"
    A. Einstein a montré l'équivalence masse/énergie, pour ne pas dire qu'il s'agit de la même chose.
    Ne pourrait-on pas voir la masse plutôt comme l'énergie d'un espace (énergie potentielle de cet espace, ou bien énergie qu'il a fallu pour développer cet espace, ce qui revient certainement au même - cette énergie serait opposée à une autre afin de respecter le zéro relatif)?
    Si l'espace varie, son énergie varie, que ce soit en 1D, 2D ou 3D. Si cet espace vibre, son énergie vibre de la même manière. Les deux notions sont forcément indissociables.
    Ce qu'on appelle masse ne serait qu'un effet local, ou une interprétation humaine d'un phénomène physique non encore complétement maitrisé à cause des erreurs accumulées, comme par exemple le refus de la dualité de localité.

    2. Conséquence --> sceptique: "la dualité onde/corpuscule est-elle une certitude?"
    l'aspect corpusculaire n'est t-il pas un raccourci inexact, sans forcément remettre en cause la notion de quanta?

    3. La seule dualité importante n'est-elle pas "local/non local", "quantique/subquantique", c'est à dire "espace réel/espace imaginaire (d'un point de vue complexe)?

    4. L'énergie (ou l'espace) pourrait-elle représenter une information (au sens entropie)?
    L'entropie de l'univers est-elle infinie? Si on réduit l'entropie, même localement, ne reste-elle pas infinie?
    Quid de l'entropie de la bulle univers? Elle est forcément finie. Diminue t-elle pour atteindre une valeur minimale (1?) ou bien augmente t-elle? Si elle augmente, où prend-elle ses informations supplémentaires?

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  3. 1. La notion d'inertie (résistance au mouvement) et son dual amplitude (espace) sont incontournables puisque le zéro absolu de l'un produit l'infini de l'autre. L'intégrale de Dirac d'un tel couple, a une probabilité d'existence = 1. Ce qui le fait "vivre" est la dualité entre l'attraction du zéro absolu ET la probabilité infinie de son impossibilité.

    Fondamentalement, dans le cadre des oscillateurs dipolaires, la notion d''énergie n'existe pas encore. Le couple ML n'est pas une notion humaine car il contient tous les autres paramètres physiques, la charge, le temps.

    2. L'onde-corpuscule est l'expression vérifiable de ML (couple inséparable).

    3. la dualité de localité est en effet primordiale car elle inclut M (local) L (localité élargie).

    4. Il faut bien poser : UNIVERS = Matrice + Bulle. Dans la Matrice, la dualité essentielle s'exprime dans l'entropie de désordre : Nombre → infini = entropie max ; Nombre > 0 → 0 = entropie mini (synchronisation). La constante est : N s = n S qui veut dire "grand nombre stochastique" = "petit nombre synchro". C'est une autre facette de l'universalité de la dualité.
    Dans la Bulle, l'entropie de désordre part de quasi zéro (BEC) et augmente jusqu'à retrouver son niveau haut.
    Le terme "niveau d'information" est ambigu car s'il est lié à l'entropie de désordre (mode stochastique), il se comprend au sens d'avoir beaucoup de cas différents . C'est plus un ensemble de parasites. Si on parle "d'informations exploitables" alors pour le traiter, il faut partir d'un certain ordre c'est-à-dire le contraire de l'entropie de désordre. Dans le BEC synchro (fossile) l'entropie de désordre → 0 mais pas l'information car on en tire un nombre précis, des paramètres, et leur évolutions.

    Bien à vous.

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