Enigme 52 : anomalie moment magnétique électron

 Voir  : sommaire des énigmes , les cinq clés de la physique fondamentale  et l'éclaté du modèle Oscar.



- Sceptique : de fameux expérimentateurs ont réussi à mesurer le taux de l'anomalie du moment magnétique de l'électron avec une précision record portant sur 12 chiffres significatifs, soit : 𝛼ₑ = 1,00115965218085 (76). Il est généralement considéré que cette anomalie soit causée par des perturbations quantiques. Par la méthode mathématique des diagrammes de Feynman mis sous la forme de développement en série de puissances de la constante de structure fine, un résultat approche cette mesure avec 10 chiffres significatifs. Cela représente 1/100 de la précision de la  mesure. 

- En effet la précisions de cette mesure représente un pilier fondamental de la physique mais on ne peut pas se contenter de l'approcher à 1% par une méthode qui élude la physique ! Comme on l'a déjà vu, la théorie quantique des champs, fait l'erreur de classer l'électron dans la famille des leptons avec le muon ou le tauon qui sont des particules composites et instables. Cette théorie, (pour des raisons anciennes) refuse de voir l'évidence à savoir que l'électron est la seule et unique particule élémentaire pouvant être stable à l'état libre. Ayant renoncé à expliquer la physique, les tenants du modèle standard font une utilisation perverse des mathématiques pour..... éluder la physique. Le premier acte de cette supercherie est l'exploitation de cette coïncidence : g = 2 𝛼ₑ – 2 = 0,002319  ~ 𝜋 / 𝛼 = 0,002322. Avec 𝛼 = 137,035999652. Cela ressemble plus à de la numérologie qu'à une démarche physique.  

- Sceptique : quelle est l'origine physique de la constante de structure fine  𝛼 ?

- Cette constante 𝛼 est un ratio physique fondamental et non un être mathématique. Comme pour toutes choses dans la Bulle-Univers, 𝛼 est liée à la saturation anisotropique du BEC fossile. Cette saturation a provoqué une annihilation primordiale dont le taux est 𝛼 = 137,035999. Comme la mitose, c'est un agrandisseur d'intervalle élémentaire ! Dans le même temps le ratio d'anisotropie des surfaces élémentaires s'élevait à 𝜉². Le BEC fossile a donc été forcé de s'équilibrer par divisions successives ou mitose fractale, en 5+1 étapes. Cette mitose possède donc un déclencheur 𝛼 et une intensité 𝜉² ! Ces deux causes différentes doivent absolument s'accorder au final. L'incrément de cette mitose est donc en puissance de (𝛼²)⁵⁺¹. Il existe donc une variable d'ajustement (voir ci-après) qui a permis de rendre cohérent le résultat de cette division en terme d'intervalle élémentaire. 

- Sceptique :  et concernant l'aspect perturbatif des couplages ?

- Il existe une perturbation liée au couplage avec les 𝓑𝓞𝓓𝓨s du tissu subquantique. Ces derniers sont les ancêtres non locaux des paires électron-positrons. La perturbation du couplage s'exprime par deux voies : a) l'anomalie de masse ou habillage ; b) l'anomalie du moment magnétique. La loi de KOIDE-MAREAU montre le lien indéfectible entre muon, tauon, proton, électron, où seul ce dernier est élémentaire. Le proton est un condensat de paires électron-positrons – par délocalisation primaire – alors que les deux autres sont de créations locales et sont donc instables. 

- Sceptique : y-a-t-il d'autres mesures qui attestent ce lien entre intervalles élémentaires et annihilation primordiale ?

- Oui et entre autres, l'énigme du "rayon classique" de l'électron est résolu car c'était le rayon avant annihilation précisément 𝛼 moins grand que son rayon de Compton actuel !   


- Sceptique : mais qui impose les masses des particules ?

- Pour la paire électron-positron, c'est le 𝓑𝓞𝓓𝓨 en rupture de localité élargie. Pour le proton, c'est le nombre brut arrondi en entier qui sert de variable d'ajustement (aléatoire donc non entière) entre les deux sources de mitose. Il a donc 3 unités de masses : a) la masse nue {électron entier}, soit 1841 ; b) la masse brute d'ajustement  : 1835,26 = (𝛼²)⁵⁺¹ / 𝜉² ; c) la masse mesurée ou habillée 1836,15. Ces 3 types de masses sont valables pour toutes les autres corpuscules composites ! 

- Sceptique : pour fixer une masse il faut de l'énergie (le hard) et une information (le soft). Pour le proton le soft est cette variable d'ajustement mais pour le muon ?

- L'information gérant la masse du muon est liée au nombre initial total de 𝓑𝓞𝓓𝓨s délocalisés en paires électron-positrons et quasiment tous, annihilés en photons. Cette loi d'information est la forme canonique de la formule de Boltzmann S = k ln W le logarithme népérien du nombre total d'éléments de l'univers (𝜉⁸) donne le nombre brut du muon : 𝜇₁ = ln (𝜉⁸) = 206,1119.  La loi KOIDE-MAREAU le fixe à 207 (unités nues) alors que la mesure donne : 206,76 unités habillées. 

- Sceptique : quel est le rapport d'une part, entre les 3 types de masses du muon et celles du proton et d'autre part,  l'anomalie du moment magnétique de l'électron ? Peut-on comparer des paramètres qui n'ont pas la même unité soit des ampères × m² et des kg ?

- On ne compare ici que des anomalies qui sont exprimées par des ratios qui sont donc sans dimensions. Le tableau montre que le ratio du muon comporte les deux composantes alors que celui du proton ne comporte que la composante massique. Le ratio global annule donc la composante {anomalie massique} pour ne laisser apparaître la seule composante {anomalie moment magnétique} de l'élément universel qu'est l'électron.

- Sceptique : pourquoi le ratio 1841/1835.26 du proton ne prend en compte que la seule composante massique, alors que le muon possède les deux ?

- Le proton est de création originelle (non locale) alors que le muon est de création typiquement locale.  Au moment de la naissance des protons, la polarisation du vide n'est pas installée.... puisque c'est le proton qui l'induit ! En revanche le muon (de création locale) prend en compte l'ensemble des perturbations ou anomalies {habillage massique + anomalie du moment}.        

- Sceptique : le modèle standard met en avant ses dix chiffres significatifs concordants pour justifier leur méthode non physique. Faites-vous mieux en précision ? 

- Avec des centaines de corrections de plus en plus faibles, on peut faire dire ce que l'on veut à un calcul qui rappelons le, a été traité comme étant une supercherie par Feynman lui-même ! En second lieu  le  résultat OSCAR est 100 fois plus précis (il atteint donc exactement la précision de la mesure avec 12 chiffres significatifs). Il convient cependant de soustraire le taux d'annihilation naturelle, 𝜏𝛼 = 9,97×10⁻⁷, lié à l'intervalle angulaire normalisé entre galaxies primordiales. Ce même calcul est cohérent avec celui de l'anomalie du proton qui apparaît comme non ordinaire dans la théorie standard.

- Sceptique : peut-on avoir une précision sur le taux d'annihilation naturelle ? 

- La mitose du BEC-fossile (appelée naïvement Big-Bang) provoque 𝜉 groupements 1D en BEC-étoiles. Il existe un faible taux d'annihilation naturelle, relatif à l'angle 𝛼² / 𝜉 et au logarithme de la masse initiale des protons (soit 1835,26 exprimée en unité électron brut). Cela figure également dans le calcul du muon : 𝜇₁ = ln (𝜉⁸–2×1835,26) = 206,1119, mais est négligé car cela n'affecte que la 89ème décimale devant le très grand nombre 𝜉⁸.    

- Sceptique : comment peut-on faire ressortir du muon, le paramètre {anomalie moment} d'un électron libre alors que l'anomalie du muon est mesurée légèrement plus intense (1.001165... pour 1.001159...)  ?

- Le muon comme le proton, comporte une partie neutre et une partie célibataire chargée. Sa mesure prend en charge l'anomalie  de l'élément célibataire + les perturbations liées aux polarisations internes de sa partie réputée neutre. Mais le ratio des genres de masses, ne tient pas compte de cet ajout perturbatif. Le couplage quantique-subquantique se révèle sous cette double forme perturbative (anomalies massique et moment). 





         

Commentaires

  1. Il faut bien voir que le modèle OSCAR augmente la précision numérique de alpha à 14 décimales, soit à la hauteur de précision de xi. Avec les nombres entiers, l'anomalie du moment magnétique ne repose que sur ces deux constantes fondamentales.

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  2. Un tel résultat contraint fortement les valeurs numériques de alpha et xi. Mais nous verrons que alpha est fonction de xi.

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